Revue de presse – Fortunio

Fortunio – Jacqueline

Opéra National de Lorraine (Nancy), 2022

« On y retrouve avec plaisir la Jacqueline si fine et charmante d’Anne-Catherine Gillet, jouant à la perfection avec une aisance vocale parfaitement adaptée au rôle et dont le fin vibrato assure substance et projection. » Michel Thomé – Resmusica

« Une autre Belge, bien connue du public lyrique, Anne-Catherine Gillet, déjà Jacqueline à Paris, retrouve son personnage avec bonheur. Adorable, juste, fraîche et fine sans jamais la moindre outrance, elle donne vie à cette jeune femme prisonnière de son mariage et des conventions. « Hélas, rien qu’un mot, vous ne m’aimez plus… » alors qu’elle trompe son notaire de mari, pour aboutir au pathétique « Je ne vois rien, tout est sombre », qui ouvre le dernier acte, la maturation progressive, la vérité du jeu comme du chant ne peuvent laisser insensible. » Yvan Beuvard – Forum Opéra

« Il retrouve à ses côtés la magnifique Jacqueline d’Anne-Catherine Gillet, actrice autant que chanteuse. Elle assume pleinement les contradictions et les ambiguïtés d’un personnage attaché à la fois à la protection paternelle que lui assure son vieux mari, aux plaisirs physiques que lui procure son amant Clavaroche et à la passion amoureuse que lui voue Fortunio. Arborant ce délicieux vibrato qui donne à son chant toute sa fraicheur, la voix séduit à la fois par son timbre fruité et charnu ainsi que par la longueur et la sensualité de ses phrasés. » Pierre Degott – Olyrix

«  La Jacqueline d’Anne-Catherine Gillet est successivement savoureuse en épouse confite en affection pour son « papa » de notaire, en amante inventive et en amoureuse emportée et tout aussi inventive […]. » Jean-Louis Fernandez – Crescendo Magazine 

 

Opéra Comique, 2019

« Avec lui, Anne-Catherine Gillet est une Jacqueline ambivalente à souhait. Fraîche et manipulatrice, impulsive et profonde. Et le chant est au diapason. Exposant un délicieux vibratello, la voix séduit par son homogénéité, ses aigus faciles et un phrasé de coquette qui n’est pas sans rappeler ces vieux enregistrements que nous écoutions sur des vinyles étant jeunes. Et c’est un compliment car cette chanteuse séduit tant dans ce répertoire que l’on aurait du mal à citer une autre artiste qui pourrait aussi bien l’endosser. » Steeve Boscardin – ResMusica

« Anne-Catherine Gillet, Jacqueline double face, farouche ou ardente, au port altier dans ses magnifiques costumes signés Christian Lacroix. Sa voix fine, d’une pureté légèrement acidulée et au vibrato rapide et dense, dispose d’une expressivité de la force d’une Blanche dans les Dialogues des Carmélites, rôle dont elle est l’une des références actuelles. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Anne-Catherine Gillet est tout aussi remarquable. À mesure que la frivolité de Jacqueline cède la place au véritable amour, la voix quitte sa légèreté pour se faire plus corsée, plus charnue, plus ample. Les aigus, tantôt tranchants, tantôt veloutés, sont émis avec vaillance et font toujours mouche. » Jean-Marc Piriou – Bachtrack

« Jacqueline trouve en Anne-Catherine Gillet une interprète exemplaire. Retenue et coquette à la fois, un peu perdue entre tous ces hommes qui sont à ses pieds, elle trouve une manière très belle et fine de montrer les sentiments qui grandissent en elle, progressivement, pour Fortunio. Son air de l’acte IV est chanté avec une simplicité et une sincérité remarquables, donnant au rôle une épaisseur qui la fait définitivement sortir de l’archétype boulevardien de la femme infidèle ; le tout d’une voix radieuse, homogène, bien projetée, avec une attention de tous les instants au mot qu’elle prononce. » Claire-Marie Caussin – Forum Opéra

« Que de caractère dans la Jacqueline d’Anne-Catherine Gillet qui, sous les dehors de la fraîcheur et du charme, sait exprimer les mouvements d’un cœur pris entre Fortunio, un viril capitaine et son mari-père sexagénaire. » Alain Cochard – Concert Classic

« Anne-Catherine Gillet, à qui ce répertoire va comme le plus joli des gants. » Nicolas d’Estienne d’Orves – Le Figaro

« Lui répond la Jacqueline stylée au timbre immaculé d’Anne-Catherine Gillet incarnant avec sensibilité son personnage de jeune femme qui découvre soudain l’amour et la vanité du libertinage dont elle comblait sa solitude, avec une touche d’amertume et de honte. » Frédéric Nora – Musicologie.org

« Anne-Catherine Gillet en Jacqueline déploie merveilleusement ses ressources vocales. Son timbre clair et droit, qui n’en est pas moins dépourvu d’élasticité, convient parfaitement à cette femme qui navigue dans un premier temps entre son vieux époux et son amant, mais s’éveille finalement au véritable sentiment d’amour désintéressé au contact de Fortunio. » Victoria Okawa – ToutelaCulture

« Anne-Catherine Gillet interprète une merveilleuse Jacqueline, douce et coquette, innocente sans être pour autant insensible au charme de Clavaroche. Son jeu raffiné, ses aigus perçants et son vibrato aérien confèrent un charme fou et une vraie fraîcheur au personnage. » Maxime Grandgeorge – Les Trois Coups

« Il soprano Anne-Catherine Gillet, che infonde alla finta innocente Jacqueline una gamma espressiva che va dal comico al sentimentale con scoppiettante vivacità. »
La soprano Anne-Catherine Gillet, qui donne à la fausse innocente Jacqueline une palette expressive qui va du comique au sentimental avec une vivacité crépitante.
Stefano Nardelli – Il Giornale della musica



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