Armide (Lully) – Hidraot
Opéra de Dijon, 2023
« L’Armide de Stéphanie d’Oustrac est bien soutenue par le magicien Hidraot, chanté par Tomislav Lavoie. Leurs deux voix s’épousent jusqu’à leurs “esprits de haine et de rage”. Le chanteur québécois offre la maîtrise prosodique du texte et dramatique du rôle avec une voix agile et séduisante, ainsi que le travail des récitatifs en solo, clé de l’œuvre. » Mark Everist – Ôlyrix
« Tomislav Lavoie est un solide Hidraot aveugle. » Jean-Luc Clairet – ResMusica
« Hidraot de belle tenue de Tomislav Lavoie » Vincent Borel – ConcertClassic
Le Songe d’une nuit d’été – Theseus
Opéra de Lille, 2022
« Rôles courts mais interventions saisissantes pour le duo princier formé par Tomislav Lavoie (Theseus) et Clare Presland (Hippolyta) » Marie-Aude Roux – Le Monde
« Comme il se doit, Tomislav Lavoie (Theseus) et Clare Presland (Hippolyta) duettent en majesté » Emmanuel Dupuis – Diapason
« La basse Tomislav Lavoie fait montre de l’autorité vocale qui sied à Thésée, le duc d’Athènes. » Joëlle Heuillon – Ôlyrix
« Tomislav Lavoie est un noble Thésée » Laurent Bury – Concert Classic
« Côté couple royal, le Theseus éclatant de Tomislav Lavoie fait pâlir la plus modeste Hippolyta de Clare Presland. » François Lehel – Opéra Magazine
Ariane et Bacchus (Marin Marais) – Le Roi, Le Sacrificateur
Théâtre des Champs-Elysées, 2022
« Tomislav Lavoie possède le registre de basse idoine pour le rôle du Roi, une projection altière et un timbre richement coloré. » Frédérique Epin – Ôlyrix
« belle présence vocale, le solide baryton [sic] Tomislav Lavoie aux belles couleurs, à la déclamation assurée conférant noblesse et prestance à sa double incarnation du Roi et du Sacrificateur » Brigitte Maroillat – Forum Opéra
« Et quelques mentions bien spéciales : Tomislav Lavoie, basse formidablement campée » Diapason Mag
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Les Contes d’Hoffmann – Luther / Crespel
Palau de les Arts Reina Sofía, Valence
« Bravissimi per una volta tutti ma tutti i personaggi secondari, a cominciare […] del Crespel e Luther di Tomislav Lavoie […]. » Jorge Binaghi – Iteatridellest
« De los papeles secundarios, todos interpretados por excelentes cantantes, señalar especialmente […] Tomislav Lavoie como Crespel […]. » Javier del Olivo – Plateamagazine
Israël en Egypte (Haendel)
Festival Berlioz, 2021
« Le superbe duo de basses soulève l’enthousiasme tant les voix de Tomislav Lavoie et Andreas Wolf, possédant chacune un grain certes différent mais de même densité, s’harmonisent et se complètent avec ferveur. » José Pons – Ôlyrix
La Flûte enchantée – Sarastro
Opéra royal de Versailles, 2019 / DVD, 2021
« Sarastro de Tomislav Lavoie, impeccable d’autorité scénique et vocale » Claire-Marie Caussin – Wanderer
Ariane et Barbe-Bleue – Barbe-Bleue
Opéra de Lyon, 2021
« La basse canadienne affiche un brio et une autorité qui habitent le rôle » David Verdier – Wanderer
« Enfin, bien que sa courte partition ne lui donne pas toute la liberté d’exprimer tout son talent, Tomislav Lavoie est un Barbe-Bleue que l’on a finalement du mal à détester, presque hypnotisant. » Elodie Martinez – Opera Online
« Seule scène où on entendra la voix (belle, mais il n’a que huit répliques) de Tomislav Lavoie, à la silhouette impressionnante (il jette Ariane à terre dans un brusque et unique déferlement de violence, sur les éclats des cuivres et un chœur masculin à bouches fermées). » Charles Sigel –Forum Opera
« Tomislav Lavoie met sa plastique au service d’un Barbe-Bleue de belle prestance, sa voix ne faisant qu’une bouchée de bien chiches répliques. » Jean Luc Clairet – ResMusica
« Il basso Tomislav Lavoie si trova a interpretare il personaggio più enigmatico; Barbe-Bleue compare in carne e ossa molto meno di quanto ci si aspetterebbe, eppure la sua presenza è sempre tangibile: nelle parole, nelle azioni, nelle paure, nei pensieri degli altri personaggi. Lavoie è bravissimo nell’imporsi all’attenzione del pubblico, lasciando una tangibile orma di sé, complici una presenza scenica che non lascia indifferenti e un fraseggio pulito e incisivo. » OperaClick – Luca Fialdini
« Le Barbe-Bleue de Tomislav Lavoie, pour les quelques mesures que Dukas lui a concédé, s’affirme en premier lieu par son indéniable présence physique. » Jose Pons – Ôlyrix
Guillaume Tell – Melcthal
Opéra de Lyon, 2019
« Les trois basses, Melcthal, Gessler et Walter sont irréprochables. Tomislav Lavoie, résolu, Jean Teitgen, impérieux, Patrick Bolleire, sombre, forment une brochette aussi exemplaire que caractérisée. » Yvan Beuvard – Forum Opéra
« Parmi les rôles secondaires, on n’aura garde d’oublier l’impeccable Melcthal de Tomislav Lavoie » Emmanuel Dupuy – Diapason Mag
Les Huguenots – Retz
Opéra national de Paris, 2018
« Sa voix large et sombre s’appuie sur un beau souffle et un ancrage profond. Tomislav Lavoie (Retz) laisse entendre un beau timbre, fin, agile dans les sauts de notes. » Damien Dutilleul – Ôlyrix
Rinaldo – Il Mago
Théâtre des Champs-Elysées, 2018
« Pour compléter la distribution, Tomislav Lavoie se fait joliment remarquer dans le rôle très court du Mago. On regretterait presque qu’il n’ait qu’un malheureux air à chanter. » Laurent Amourette – Classicagenda
« Pour lutter contre les sorts de cette dernière, le Mage, incarné par Tomislav Lavoie, est porté par une heureuse prestance scénique et par une voix ample et juste. Dans son unique aria « Andate o forti« , il montre des médiums chantants et des vocalises aux notes légèrement appuyées. » Nicolas Mathieu – Ôlyrix
« Tomislav Lavoie est un Mage de luxe qui démontre dans son unique air de très belles qualités de chant et une voix puissante, très bien conduite et au medium très séduisant. » Jean Luc – Operaphile
La Traviata – Il Dottore Grenvil
Opéra national de Paris, 2018
« Malgré des interventions très courtes, Julien Dran, en Gastone, et Tomislav Lavoie, en Docteur Grenvil, ne déméritent pas. » Caroline Mounier-Vehier – Ôlyrix
« On remarquera aussi (…) le docteur Grenvil de Tomislav Lavoie, captivant malgré son court rôle. » Cinzia Rota – Classicagenda
« Pour une fois, il semble juste de souligner la qualité des comprimari de très grand luxe proposés par l’Opéra de Paris : l’Annina d’Isabelle Druet et le Grenvil de Tomislav Lavoie sont tous deux très émouvants et sortent leurs rôles du simple faire-valoir, avec des interventions toujours très incarnées et bien chantantes. » Steeve Boscardin – ResMusica
La Reine de Chypre – Un héraut d’armes
Théâtre des Champs-Elysées, 2017
«Incluso en el rol menor de un heraldo destacó otro barítono del Canadá, Lavoie, seguramente destinado a otros papeles de mayor enjundia. »
Même dans un rôle secondaire d’un Héraut le baryton canadien Lavoie se distingue, mais il est destiné avec certitude à des rôles avec plus d’envergure
Jorge Binaghi – Mundo Clasico
Alceste – Apollon / Le Héraut
Opéra national de Lyon, 2017
« Profond et mystérieux, Tomislav Lavoie interprète Apollon ainsi que le Héraut, confirmant la beauté de son timbre. » Emmanuel Deroeux – Ôlyrix
« Florian Cafiero et Maki Nakanishi tirent leur épingle du jeu avec un Évandre solide et un Coryphée gracieux, au chant soigné, de même que Tomislav Lavoie, Héraut et Apollon, renouvelant avec bonheur sa prestation saluée en 2015 au Palais Garnier. » Fabrice Malkani – Forum Opéra
« Beau chant de Tomislav Lavoie, Héraut et Apollon de haute tenue. Tous se souviennent au fond d’un des principes fondateurs de l’esthétique du compositeur : tendre autant que faire se peut « vers une noble simplicité ». Jean-François Lattarico – Classique News
« Tomislav Lavoie en Apollon (et en héraut), voix sonore et beau timbre de basse » Wanderer
Leonore (Gaveaux) – Roc
New-York, 2017 ; DVD Naxos, 2021
« Avec son ample basse, Tomislav Lavoie (Roc) domine également une distribution que complètent, dans les rôles secondaires, Alexandre Sylvestre (Dom Fernand), tendrement sonore, et Dominique Côté (Pizare). » Laurent Bergnach – Anaclase
La Messe pour le Sacre de Napoléon (dite de Méhul)
Opéra royal de Versailles, 2017
« Tomislav Lavoie happe l’attention dès sa première note tonnante. Son intensité dramatique est digne d’un personnage d’opéra. Statue de commandeur, la voix est pleine d’une énergie noble, presqu’intimidante et remplie d’un mouvement vital vrombissant. Dans une symbolique parfaite, le baryton quitte la scène sur le Resurrexit, comme le Christ quitte le sol. » Charles Arden – Ôlyrix
Laon, 2016
« Un autre qui parvient tout à fait à exister, c’est le baryton-basse canadien Tomislav Lavoie, beau timbre et diction incisive » Laurent Bury – Forum Opéra
Armide – Ubalde/Aronte
Festival de Potsdam, 2016
« Le Ubalde/Aronte de Tomislav Lavoie (pour nous la révélation de la soirée) [a] compris le sens de la notion de discours classique, essentiel dans l’opéra français » Jean-François Lattarico – ClassiqueNews
« In den Nebenrollen glänzen Pietro di Bianco und Tomislav Lavoie mit kraftvollen Bässen. » Dans les seconds rôles, resplendissent Pietro di Bianco et Tomislav Lavoie avec leurs puissantes voix de basses.
Antja Rößler – Märkische Allgemeine Zeitung
Faust – Wagner
Amsterdam DNO, 2014
« Bravo anche il Wagner di Tomislav Lavoie. » Edoardo Saccenti – OperaClick
Don Giovanni – Leporello
Opéra de Tours, 2013
« Tomislav Lavoie qui, de sa superbe voix de basse aussi souple que sa silhouette, renouvelle le personnage de Leporello. » Philippe Haller – La nouvelle République
« Le Leporello de Tomislav Lavoie pourrait sembler un rien trop aristocratique pour un valet, mais ce serait alors méconnaître l’effet de fascination et de gémellité qui le lie à son employeur. Peur, flagornerie, fascination et un reste de la « sagesse des nations » s’entremêlent pour créer une figure tout aussi passionnante que celle de son maître, servie par un chant subtil et plein de gouaillerie. Un rigolard « air du catalogue » achève d’emporter le morceau (de faisan). » ODB Opéra
« A son côté, le Leporello du Canadien Tomislav Lavoie, basse sans lourdeur et physique attrayant, plus que le faire-valoir de son maître, constitue son véritable double. » Michel Le Naou – Concert Classic
« Leporello vif et bondissant, Tomislav Lavoie impose un personnage haut en couleurs, têtu et plein dʼhumour, en parfaite complémentarité avec la dérision détachée de son maître. La jeune basse se tire avec les honneurs des embuches du rôle. » Classical news
La Muette de Portici – Borella
Opéra Comique, 2012
« Parmi les seconds rôles, on relève d’abord le nom de Tomislav Lavoie, jeune basse canadienne dont le Borella s’impose en peu de répliques. » Christophe Rizoud – Forum Opéra