Anne-Catherine Gillet – Revue de Presse

Dialogues des Carmélites – Blanche de la Force

Opéra National de Bordeaux, 2023

« Anne-Catherine Gillet, toujours une des meilleures interprètes actuelles du rôle » Jean-Luc Clairet – Resmusica

« Anne-Catherine Gillet incarne Blanche de la Force avec beaucoup de finesse, à la fois musicale et dramatique. Sa voix perlée dispose d’un timbre d’une grande pureté. Sa prosodie précise exalte l’expressivité du texte. Sa naturelle candeur joviale correspond parfaitement au personnage auquel elle prête une délicate sensibilité. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Anne-Catherine Gillet reste une Soeur Blanche habitée par la grâce. La pureté d’émission pourrait tirer la proposition vers un angélisme de circonstance. Tiraillée entre orgueil et ferveur, la subtilité de la caractérisation sait éviter toute dérive sulpicienne. » Christophe Rizoud – Forum Opéra

« On lui préfère grandement les phrasés rayonnants d’aisance et de souplesse d’Anne-Catherine Gillet (Blanche), qui sculpte les mots avec une attention exemplaire au sens [et] reste certainement l’une des meilleures interprètes actuelles du rôle. » Florent Coudeyrat – Classique News

« Dans le rôle de Blanche de la Force, la soprano wallonne Anne‑Catherine Gillet convainc par un chant d’une parfaite musicalité et un jeu habité. D’une présence faite autant de délicatesse que de ténacité, elle délivre une émotion et une force intérieure rares. » Emmanuel Andrieu – ConcertoNet

Théâtre de La Monnaie, Bruxelles, 2017

« Nous avions assisté aux débuts d’Anne-Catherine Gillet en Blanche de la Force en 2011. Depuis, la voix a encore gagné en rayonnement, dans un rôle idéalement taillé aux mesures de la soprano belge, qui réussit l’exploit de se glisser dans le costume de Patricia Petibon en dessinant un personnage moins lunaire, mais tout aussi attachant. » Richard Martet – Opéra Magazine

« Anne-Catherine Gillet incarne avec intensité et délicatesse une Blanche pure et rayonnante. » Sébastien Foucart – ConcertoNet

« Blanche de la Force, ou Blanche de l’agonie du Christ, héroïne partagée entre Patricia Petibon et Anne-Catherine Gillet revêt une fascinante personnalité […] Anne-Catherine Gillet (certainement l’une des Blanche les plus convaincantes du moment) prend plutôt le parti de la jeunesse et de la passion divine, créant un dialogue intéressant en comparaison. La voix de cette dernière semble plus ronde, moins acide, plus douce peut-être, et les aigus semblent ne pas avoir de limite. » Soline Heurtebise – Ôlyrix

« à commencer par la Blanche de la Force d’Anne-Catherine Gillet qui fait parfaitement sentir comment son personnage mûrit jusqu’à rejoindre volontairement les autres sœurs sur l’échafaud. » Patrice Lieberman – Bachtrack

« uitmuntende Anne-Catherine Gillet als Blanche. »
Exceptionnelle Anne-Catherine Gillet en Blanche.
Bert Hertdogs – Concertnews.be

Angers-Nantes Opéra, 2013

« La production des Dialogues des Carmélites mise en scène par Mireille Delunsch est irradiée par la soprano Anne-Catherine Gillet. Elle a tout pour incarner le personnage tourmenté et magnétique de Blanche de la Force. Le physique gracieux et le port très élégant ; l’intensité du jeu et les nuances de la palette psychologique ; et, surtout, un chant idéal par la qualité si originale du grain vocal, la souplesse et la maîtrise de la ligne, la diction irréprochable. Des graves aux aigus, des tendres pianissimi aux forte percutants, la soprano Anne-Catherine Gillet – qui ne déçoit jamais, qu’elle interprète Mozart ou Verdi, Bizet ou Massenet – trouve en Blanche de la Force un rôle à sa mesure. La musicienne déclarait récemment au micro de Radio Classique se « sentir à l’aise et désormais capable de contrôler l’immense émotion » de cette partition ardente et généreuse. Pas un instant, l’auditeur ne doute de l’adéquation entre les qualités de l’artiste et les exigences imposées par Bernanos et Poulenc. Du « petit lièvre » effrayé par les bruits du monde à la carmélite perfectionniste et jusqu’à la martyre inattendue rejoignant ses sœurs au pied de la guillotine, tous les méandres de cette âme complexe sont traduits avec une finesse rarement égalée. » Emmanuelle Giuliani – La Croix

« Reconnaissons à Anne-Catherine Gillet sa très fine incarnation de la jeune Carmélite. La précision du verbe, l’élégance de sa déclamation (Sophie Juncker) rivalise presque en éclat et en sincérité avec celle de sa partenaire, Anne-Catherine Gillet : leur duo dans la blanchisserie reste l’un des moments vocaux les plus sidérants de cette production : naturel, flexibilité, justesse émotionnelle, surtout intelligibilité idéale. Deux jeunes religieuses s’y dévoilent dans leur fragilité, leur angélisme tendre, leur innocence confrontée et inquiète. » Alexandre Pham – Classiquenews

« Première d’entre toutes, Anne-Catherine Gillet (Blanche de la Force) impose son insolent talent de comédienne et sa désarmante clarté vocale pour incarner avec beaucoup d’émotion cette fille simple, habitée naturellement. Une fille pour qui le Carmel est l’évidence de son chemin de vie. Dans ce rôle, la très belle Sophie du récent Werther de Lyon est admirable. Dès l’ouverture du rideau, sa présence apparait miraculeuse. La fraicheur de sa voix, étoffée d’une puissance nouvelle, d’aigus lumineux, se love dans la vérité de son personnage, empreint du sacré. Tout en lui respire la maturité de sa démarche spirituelle. » Jacques Schmitt – ResMusica

« Tourmentée, hallucinée, hystérique parfois, Anne-Catherine Gillet, qui prend aussi ce rôle pour la première fois, avec une fièvre on ne sait si mystique ou maladive dans le regard, avec une voix pure que ne dépare pas la violence parfois explosive du personnage, du porte sur ses frêles épaules le rôle si lourd de la légère Blanche, gestes nerveux, bouleversante dans ses aveux de biche apeurée, harcelée par la violence du monde. » Benito Pelegrin – RMT news

« Très attendue également dans un rôle qu’elle n’avait jamais chanté, Anne-Catherine Gillet propose de Blanche de La Force une interprétation à la hauteur des espoirs que ses Vincenette, Sophie et Micaëla parisiennes avaient suscités. Là aussi, la présence et l’attention portée au texte font la différence. Puis, il y a chez celle qui il n’y a pas si longtemps encore était Constance, une jeunesse, un charme qui allègent un personnage trop souvent empesé d’angoisse. Et la voix, toujours aussi rayonnante dans l’aigu, possède désormais assez d’ampleur pour rendre justice à une partition taillée à la mesure du soprano lyrique de Denise Duval. » Christophe Rizoud – Forum Opera

 

La Vie parisienne – Gabrielle

Halle aux grains (Toulouse), 2023

« Anne-Catherine Gillet prête son riche timbre de soprano à Gabrielle, la bottière. La voix est précise et concentrée, avec une agilité qui semble passer sans difficultés les vocalises les plus touffues de la partition, et il est à noter que même ses graves poitrinés sont sonores. Sa maîtrise des consonnes et la précision de ses voyelles lui permet d’être presque toujours intelligible et d’articuler très bien le texte en général sans perdre son phrasé, chose difficile à faire pour une voix de soprano, plus éloignée du registre de la voix parlée et étant souvent dans des tessitures où il est nécessaire de couvrir -c’est à dire arrondir- les voyelles, ce qui se traduit automatiquement par une perte de clarté dans le texte. Son jeu parlé est simple et convainquant.» Timothé Bougon – Olyrix

« Anne Catherine Gillet se montre une explosive Gabrielle, sensuelle en gantière dont elle pare le chant d’une voix ample, souple et musicalement conduite. » Robert Pénavayre – Culture 31

« La grande diva est donc sans contestation Anne-Catherine Gillet : Gabrielle la gantière, une artiste aussi superbe que virtuose. Son énergie semble illimitée ; des changements de costumes à vue, des sourires charmeurs : son jeu est sensationnel. D’autant que cela se passe sur moins d’un mètre carré ! La voix est d’une beauté délicieuse, ronde, irisée de couleurs fleuries avec des aigus cristallins et une homogénéité de tessiture très agréable. Son aisance avec le texte dans une diction parfaite, fait également le charme de son personnage. Et son humour est tout à fait jubilatoire. » Hubert Stoecklin – Classiquenews.com

Opéra de Bordeaux, 2017

« La Gabrielle d’Anne-Catherine Gillet est piquante à souhait, forte d’un timbre fruité et pourtant très percussif, aux aigus aisés. » Tania Bracq – ForumOpera

« Au sommet, la gantière d’Anne-Catherine Gillet évolue comme un poisson dans l’eau, mais qui chanterait avec un équilibre délectable entre chic et chien, et un tact extraordinaire dans le tour parodique, en harmonie en somme avec l’orchestre maison. » Jean-Philippe Grosperrin – Diapason

« La gantière Gabrielle, voix et mine radieuses d’Anne-Catherine Gillet, a un vibrato rapide, mais qui convient avec l’expressivité colorée de la ligne. De ses aigus sonores, elle peut au choix sculpter un cristal placé finement dans les aigus, ou bien l’asseoir sur de profondes résonances. Le bouchon de champagne qui éclate à la fin de sa vocalise « Qui va piano va sano » ne saurait être plus belle métaphore. De surcroît, quelque chose de finement râpeux et sombre sourd derrière cette voix, donnant une profondeur bienvenue à ce répertoire et l’envie de l’entendre en tragédienne. » Charles Arden – Olyrix

 

Don Pasquale 

Opéra de Québec, 2022

« Le plateau (…) est illuminé par la présence d’Anne-Catherine Gillet. Déjà magnifique dans Faust, la soprano est venue remplacer Hélène Guilmette et emporte la mise par son esprit, sa justesse et son charme. » Christophe Huss – Le Devoir

« En Norina, Anne-Catherine Gillet brûle les planches grâce à une énergie débordante et un abattage scénique exceptionnel. Pétulante dans sa mini-jupe et ses longues bottes blanches, elle fait irrésistiblement penser en Sofronia à une Jackie Kennedy introvertie, puis devient une mégère hilarante après la signature du contrat de mariage. En superbe forme vocale, elle se joue des difficultés de l’écriture donizettienne sans jamais forcer son instrument. » Louis Bilodeau – Avant-scène Opéra

« La soprano belge est immense et elle s’impose dès son arrivée, avec toute une entrée, dans la salle d’attente de l’hôpital. Elle excelle par son jeu et a une puissance vocale qui lui permet de percer les couches sonores parfois trop fortes déployées par les musiciens de l’OSQ. » Yves Leclerc – Le Journal de Québec

« L’étoile de la soirée va toutefois à la soprano Anne-Catherine Gillet. Elle s’amuse comme une folle dans la peau de Norina, notamment dans une savoureuse scène dans une salle d’attente d’hôpital. La chanteuse est également tout à fait à sa place sur le plan vocal. » Emmanuel Bernier – Le Soleil

 

Phryné – Rôle-titre

Opéra Comique, 2022

« Très crédible en courtisane irrésistible dans sa longue robe verte, elle est aussi celle qui se détache le plus de sa partition, cherchant véritablement à s’adresser aux autres chanteurs, composant un personnage piquant et attachant. […] Le timbre est fruité avec un vibrato un peu serré qui souligne davantage l’esprit que la sensualité de la courtisane. » CJM – Olyrix

« Anne-Catherine Gillet apporte toute la richesse de sa voix au rôle-titre et en offre une approche voluptueuse et sensuelle […] » Alain Cochard – Concert Classic

« C’est Anne-Catherine Gillet qui chante le rôle exigeant de Phryné en lieu et place de Florie Valiquette. Elle le fait avec une grande élégance et une voix de soprano lyrique très à l’aise dans l’aigu. » Christian Wasselin – Webtheatre

 

Fortunio – Jacqueline

Opéra National de Lorraine (Nancy), 2022

« On y retrouve avec plaisir la Jacqueline si fine et charmante d’Anne-Catherine Gillet, jouant à la perfection avec une aisance vocale parfaitement adaptée au rôle et dont le fin vibrato assure substance et projection. » Michel Thomé – Resmusica

« Une autre Belge, bien connue du public lyrique, Anne-Catherine Gillet, déjà Jacqueline à Paris, retrouve son personnage avec bonheur. Adorable, juste, fraîche et fine sans jamais la moindre outrance, elle donne vie à cette jeune femme prisonnière de son mariage et des conventions. « Hélas, rien qu’un mot, vous ne m’aimez plus… » alors qu’elle trompe son notaire de mari, pour aboutir au pathétique « Je ne vois rien, tout est sombre », qui ouvre le dernier acte, la maturation progressive, la vérité du jeu comme du chant ne peuvent laisser insensible. » Yvan Beuvard – Forum Opéra

« Il retrouve à ses côtés la magnifique Jacqueline d’Anne-Catherine Gillet, actrice autant que chanteuse. Elle assume pleinement les contradictions et les ambiguïtés d’un personnage attaché à la fois à la protection paternelle que lui assure son vieux mari, aux plaisirs physiques que lui procure son amant Clavaroche et à la passion amoureuse que lui voue Fortunio. Arborant ce délicieux vibrato qui donne à son chant toute sa fraicheur, la voix séduit à la fois par son timbre fruité et charnu ainsi que par la longueur et la sensualité de ses phrasés. » Pierre Degott – Olyrix

«  La Jacqueline d’Anne-Catherine Gillet est successivement savoureuse en épouse confite en affection pour son « papa » de notaire, en amante inventive et en amoureuse emportée et tout aussi inventive […]. » Jean-Louis Fernandez – Crescendo Magazine 

Opéra Comique, 2019

« Avec lui, Anne-Catherine Gillet est une Jacqueline ambivalente à souhait. Fraîche et manipulatrice, impulsive et profonde. Et le chant est au diapason. Exposant un délicieux vibratello, la voix séduit par son homogénéité, ses aigus faciles et un phrasé de coquette qui n’est pas sans rappeler ces vieux enregistrements que nous écoutions sur des vinyles étant jeunes. Et c’est un compliment car cette chanteuse séduit tant dans ce répertoire que l’on aurait du mal à citer une autre artiste qui pourrait aussi bien l’endosser. » Steeve Boscardin – ResMusica

« Anne-Catherine Gillet, Jacqueline double face, farouche ou ardente, au port altier dans ses magnifiques costumes signés Christian Lacroix. Sa voix fine, d’une pureté légèrement acidulée et au vibrato rapide et dense, dispose d’une expressivité de la force d’une Blanche dans les Dialogues des Carmélites, rôle dont elle est l’une des références actuelles. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Anne-Catherine Gillet est tout aussi remarquable. À mesure que la frivolité de Jacqueline cède la place au véritable amour, la voix quitte sa légèreté pour se faire plus corsée, plus charnue, plus ample. Les aigus, tantôt tranchants, tantôt veloutés, sont émis avec vaillance et font toujours mouche. » Jean-Marc Piriou – Bachtrack

« Jacqueline trouve en Anne-Catherine Gillet une interprète exemplaire. Retenue et coquette à la fois, un peu perdue entre tous ces hommes qui sont à ses pieds, elle trouve une manière très belle et fine de montrer les sentiments qui grandissent en elle, progressivement, pour Fortunio. Son air de l’acte IV est chanté avec une simplicité et une sincérité remarquables, donnant au rôle une épaisseur qui la fait définitivement sortir de l’archétype boulevardien de la femme infidèle ; le tout d’une voix radieuse, homogène, bien projetée, avec une attention de tous les instants au mot qu’elle prononce. » Claire-Marie Caussin – Forum Opéra

« Que de caractère dans la Jacqueline d’Anne-Catherine Gillet qui, sous les dehors de la fraîcheur et du charme, sait exprimer les mouvements d’un cœur pris entre Fortunio, un viril capitaine et son mari-père sexagénaire. » Alain Cochard – Concert Classic

« Anne-Catherine Gillet, à qui ce répertoire va comme le plus joli des gants. » Nicolas d’Estienne d’Orves – Le Figaro

« Lui répond la Jacqueline stylée au timbre immaculé d’Anne-Catherine Gillet incarnant avec sensibilité son personnage de jeune femme qui découvre soudain l’amour et la vanité du libertinage dont elle comblait sa solitude, avec une touche d’amertume et de honte. » Frédéric Nora – Musicologie.org

« Anne-Catherine Gillet en Jacqueline déploie merveilleusement ses ressources vocales. Son timbre clair et droit, qui n’en est pas moins dépourvu d’élasticité, convient parfaitement à cette femme qui navigue dans un premier temps entre son vieux époux et son amant, mais s’éveille finalement au véritable sentiment d’amour désintéressé au contact de Fortunio. » Victoria Okawa – ToutelaCulture

« Anne-Catherine Gillet interprète une merveilleuse Jacqueline, douce et coquette, innocente sans être pour autant insensible au charme de Clavaroche. Son jeu raffiné, ses aigus perçants et son vibrato aérien confèrent un charme fou et une vraie fraîcheur au personnage. » Maxime Grandgeorge – Les Trois Coups

« Il soprano Anne-Catherine Gillet, che infonde alla finta innocente Jacqueline una gamma espressiva che va dal comico al sentimentale con scoppiettante vivacità. »
La soprano Anne-Catherine Gillet, qui donne à la fausse innocente Jacqueline une palette expressive qui va du comique au sentimental avec une vivacité crépitante.
Stefano Nardelli – Il Giornale della musica

 

Carmen – Micaëla

Grand Théâtre de Luxembourg, 2022

« Anne-Catherine Gillet donne au personnage de Micaëla, devenue épouse délaissée en lieu et place d’une vierge amoureuse éconduite, beaucoup de substance vocale. Sa voix ravissante, avec un petit vibrato serré du meilleur effet, se joue de toutes les difficultés vocales, et sa présence scénique un peu hystérique, totalement à l’opposé de ce qu’on attendrait, fait merveille. » Claude Jottrand – Forum Opéra 

« Ann-Catherine Gillet war eine wundervoll expressive und sehr lyrische Micaëla […]. » Remy Franck – Pizzicato

Opéra de Dijon, 2019

« La soprano belge livre une magnifique prestation vocale. Délicatesse de phrasé, luminosité du timbre, nuances infinies dans l’expression : tout ici force l’admiration. » Jean-Marc Proust

 

La Voix humaine / Point d’orgue – Elle 

Opéra National de Bordeaux, 2021

« Le long lamento qu’est l’œuvre de Poulenc permet à la soprano Anne-Catherine Gillet (qui succède à Patricia Petitbon dans ce rôle), de démontrer sa performance vocale. La lecture du texte en surtitres est rendue inutile par la clarté de sa diction. Son timbre chaleureux est agrémenté d’un vibrato dosé avec pertinence. Ne faisant également pas défaut de présence scénique, la chanteuse réussit à garder tout le long l’attention du public, dans ses moments de folie comme dans ceux plus tendres, particulièrement durant la seconde partie où Elle apporte une certaine sérénité. » Emmanuel Deroeux – Olyrix

« Anne-Catherine Gillet, pour une prise de rôle, est Elle dans les deux ouvrages. Vêtue d’une chemise de nuit satinée rouge, les yeux dégoulinant de maquillage, elle capte l’auditoire dès les premières répliques, justes et percutantes. Comédienne jusqu’au bout des ongles, à la diction parfaite, elle occupe l’espace du décor très accidenté en criant son amour sans se départir d’une élégance naturelle. » Jean-Claude Meymerit – Forum Opéra

« Anne-Catherine Gillet, bouleversante de fragilité chez Poulenc, y renaît, la musique d’Escaich nimbe ses répiliques d’un halo tendre » Pierre Brévinon – Première Loge 

« Cette concentration dans l’expression est relayée par l’incarnation d’Anne-Catherine Gillet, qui équilibre pudeur et mise à nu. La concentration de l’émission et la sobriété de la ligne contribuent à une retenue idéale pour cette vulnérabilité sur le fil, au bord du gouffre. […]Les quelques répliques de Elle permettent de réentendre les qualités d’Anne-Catherine Gillet » Gilles Charlassier – Toute La Culture

« La voix claire et étincelante d’Anne-Catherine Gillet fait exister la femme sans nom. Sa voix résonne dans cette chambre aux portes condamnées, perchée en hauteur, renforçant ainsi cette impression d’incommunicabilité entre le monde des morts et celui des vivants. » Auguste Poulon – Io Gazette 

« L’autre nouveauté est la présence d’Anne-Catherine Gillet. Sa voix est plus légère que celle de Patricia Petibon, mais sa diction tout aussi impeccable. […] Elle met la clarté de son timbre au service de sa fragilité, qui fait de la Voix humaine moins un corps-à-corps qu’un drame de la solitude. Ses interventions dans Point d’orgue n’en ont que plus de force : elle est celle qui sait où trouver la lumière dans ce superbe univers sans illusion. » Christian Wasselin – Opéra Magazine

 

Madame Favart – Suzanne

Opéra de Limoges, 2019

« En Suzanne, Anne-Catherine Gillet est absolument rayonnante. La soprano belge ravit par son timbre de voix si spécifique, empreint d’un sens constant de la musicalité, toujours agréablement vibrant et projeté avec une égale sensibilité sur la largeur de la tessiture. L’artiste démontre aussi qu’elle est une comédienne, et même une gymnaste allant jusqu’à se prêter à l’exercice du grand écart pour mieux susciter surprise et hilarité. » Pierre Géraudie – Olyrix

Opéra Comique, 2019

« Anne-Catherine Gillet est une parfaite Suzanne. Qui mieux que la soprane belge parvient à retranscrire simultanément une certaine candeur, de l’élégance et de la juvénilité ? La voix a gardé toute sa ductilité et sa fraicheur » Antoine Brunetto – Forum Opera

 

La Flûte enchantée – Pamina

Opéra de Marseille, 2019

« Le plateau porte le chant lyrique avec engagement et jubilation. Côté dames, la Pamina de la soprano belge Anne-Catherine Gillet, démontre avec naturel les émotions du personnage, par une posture physique et une présence vocale accomplies. Le timbre est princier (…) L’incarnation ancre alors une maturité certaine et un caractère sérieux. » Florence Lethurgez – Olyrix

« Le couple Tamina/Pamino déploie les charmes très mozartiens dont Anne-Catherine Gillet, toute en fraîcheur. » Patrick de Maria – La Marseillaise

« Anne-Catherine Gillet – adorable dans son sari doré – une Pamina lumineuse, dont on comprend qu’on puisse en tomber amoureux au premier regard. » Catherine Scholler – Resmusica

« La soprano [Anne-Catherine Gillet] campe une Pamina à la séduction immédiate, dont les émois et les élans sonnent juste et touchent droit. La voix est homogène et conserve la pureté qui exprime l’innocence et la fragilité de la victime » Maurice Salles – Forum Opera

« Pamina rayonnante d’Anne-Catherine Gillet, soprano d’une belle amplitude et au vibrato ravissant » FC – Anaclase

Opéra de Nice, 2016

« Sans surprise, Anne-Catherine Gillet incarne une merveilleuse Pamina, portée par un timbre radieux, fièrement projeté quand il le faut, et par une assurance qui éclate quand, au finale du I elle proclame, en front de scène, « Die Wahrheit ! » » Jean-Luc Macia – OpéraMagazine

« Dans le rôle de Pamina, prenant les traits d’une poupée prisonnière dans sa cage, et un peu tendue au départ, Anne-Catherine Gillet se libère dans le deuxième acte pour venir illuminer la scène dans les envolées lyriques, donnant à son personnage intensité et charme. » Pierre Jassogne – Forumopera

 

Le Nozze de Figaro – Susanna

Opéra de Marseille, 2019

« Malicieuse et dotée d’un timbre chaleureux, la Susanna impeccable d’Anne-Catherine Gillet est l’essence même du chant mozartien. »Patrick De Maria – La Marseillaise

« Le timbre agile, pur et léger d’Anne-Catherine Gillet porte le rôle de Susanna. La soprano belge déborde de fraîcheur »Paul Canessa – Olyrix 

« Anne-Catherine Gillet est une Susanna absolument délicieuse, belle à regarder » Catherine Scholler – Resmusica

« La Susanna d’Anne-Catherine Gillet, dont on avait apprécié la prise de rôle à Liège, est une merveille d’esprit et de beauté vocale. L’instrument se projette idéalement, la comédienne est pétillante, et rien ne manque dans la grâce, ni la virtuosité. » Jean-Luc Macia – Opéra Magazine

 

Faust – Marguerite

Festival d’opéra de Québec, 2022

 » Marguerite a trouvé en Anne-Catherine Gillet une interprète touchante, qui a bien saisi la vulnérabilité de la jeune fille et la force de sa piété, qui la sauvera de la damnation. Elle a mis beaucoup d’expression et de mélancolie dans la ballade du roi de Thulé, et son soprano flûté et léger convenait parfaitement à l’air des bijoux. Les deux derniers actes ont montré sans l’ombre d’un doute tout son potentiel dramatique. » Irène Brisson – Revue L’Opéra

 » Dans le rôle de Marguerite, Anne-Catherine Gillet se distingue avec Il était un roi de Thulé et elle offre ensuite une remarquable interprétation de l’Air des bijoux, faisant oublier totalement la caricature de la Castafiore dans Tintin. Sa diction, comme celle de tous les chanteurs de la distribution, est précise et parfaite. » Yves Leclerc – Le Journal de Québec

 » Sans faute, donc, pour ce Faust (…) merveilleux musicalement grâce, par exemple, à Anne-Catherine Gillet, merveilleuse Marguerite, parfaitement expressive, dont on perçoit si bien l’évolution du personnage. Elle est parfaite, même quand elle ne chante pas. Ainsi, lorsqu’elle ramasse le collier laissé par Valentin, elle joue une « scène de la folie » en quelques secondes, sans la moindre parole. » Christophe Huss – Le Devoir 

Opéra royal de Wallonie, 2019

« Anne-Catherine Gillet, formidable en pucelle maudite, ambiguë, frivole, séduite et infanticide » Valérie Colin – L’Écho

« Anne-Catherine Gillet compose une magnifique Marguerite, par la beauté du physique, la saveur du timbre et le raffinement de la ligne vocale. La soprano s’illustre également par la souplesse de l’émission et la précision de l’élocution » Sébastien Foucart – ConcertoNet

« Ses admirateurs qui guettaient avec intérêt la prise de rôle d’Anne-Catherine Gillet n’auront pas été déçus, car ils auront retrouvé, […] les qualités de phrasé et de sincérité qui font tout le prix de ses incarnations d’héroïnes d’opéra et d’opéra-comique français. […] Celle-ci est bien demoiselle, pas matrone, et les aigus ne lui posent aucun problème. » Laurent Bury – Forum Opéra

 

Pelléas et Mélisande – Mélisande

Opéra national du Rhin, 2018

« Face à lui, la Mélisande parfaite de la soprano belge Anne-Catherine Gillet remporte tous les suffrages, réellement innocente, subissant les évènements qu’elle provoque. Toujours en costumes accordés au lieu où elle se trouve, elle devient ainsi la fontaine des aveugles, avalant elle-même la bague donnée par Golaud sous le regard ébahi de Pelléas. Elle semble également prendre possession des hommes du château, ses mains paraissant traverser littéralement les corps masculins qu’elle côtoie. Constamment en mouvement, debout ou à terre, elle se meut et joue avec un parfait naturel. Exactitude de chaque mot, pureté d’émission vocale. Un vrai bonheur. » Nicolas Grienenberger – Webthéâtre

« La Mélisande d’Anne-Catherine Gillet est aérienne dans le chant mais très incarnée et captivante dans son jeu d’actrice, tout aussi frappant. Le trouble du personnage mystérieux se révèle davantage dans cette production. » Sabino Pena – ClassiqueNews

« Anne-Catherine Gillet est une Mélisande émouvante à l’aigu lumineux, lisse et impénétrable » Michel Thomé – ResMusica

« Anne Catherine Gillet vit Mélisande, lumineuse, ambigüe, malheureuse, traumatisée, femme-enfant, innocente et sensuelle, brûlante. La voix étincelante et colorée correspond idéalement au rôle. Plus encore, les talents de comédienne habitée donnent à son expression quelque chose qui nous étreint, son pardon final, émis déjà de l’au-delà, tout particulièrement. » Yvan Beuvard – Forum Opéra

« Mélisande n’est pas une silhouette évanescente et fragile, mais une fée Mélusine qui mène le jeu dès sa rencontre avec Golaud, une épouse et une amante aux sentiments également sincères, une femme très enceinte (que son accouchement tuera), et une vivante qui voudrait bien le rester. On y croit d’emblée grâce à la soprano Anne-Catherine Gillet, rayonnante et sensuelle jusque dans son timbre, volontiers farceuse (elle avale son anneau), irradiant une lumière qui ressuscite Pelléas autant qu’elle effraie Golaud. » Sophie Bourdais – Télérama

« Dans cet environnement névrosé, la Mélisande d’Anne-Catherine Gillet, chant admirable de lyrisme et de délicatesse, irradie une féminité radieuse. » Philippe Venturini – Les Echos

« La Mélisande de la soprano Anne-Catherine Gillet s’associe par une portée réduite à Jean-François Lapointe pour sa première scène. La diction précise ne fatigue jamais et malgré le rôle très physique imposé, elle ne perd pas non plus en palette de couleurs vocales. Le timbre est clair lorsqu’elle s’amuse avec l’anneau, éclatant pour la scène de la chevelure, le vibrato employé sans excès. Justice est rendue par le souffle presque haché à la folie qui s’empare d’elle avant de mourir et à son discours décousu. » Céline Wadoux – Ôlyrix

« Pas le moindre défaut en revanche pour la Mélisande d’Anne Catherine Gillet: tout est disponible, fraîcheur des moyens, aplomb de la respiration et de la diction… » Laurent Barthel – ConcertoNet

« Mystérieuse mais incarnée, la Mélisande d’Anne-Catherine Gillet, domine tout le monde, avec un médium charnu. » Didier Van Moere – Diapason

« Anne-Catherine Gillet n’en est pas moins désarmante, grâce à cette émission franche et claire, qu’avive, rapide mais jamais crispé, un vibrato d’un autre temps, qui laisse transparaître l’ambiguïté. » Mehdi Mahdavi – Opéra Magazine

Opéra de Oviedo, 2018

« es justo señalar la dulzura y el bello color de Anne-Catherine Gillet, que aportaba una inocencia no exenta de picardía. »
il est juste de signaler la douceur et les belles couleurs du timbre d’Anne-Catherine Gillet, qui a apporté au personnage une innocence non sans malice » Alejandro G. Villalibre – Opera World

« Respecto a los intérpretes, la soprano belga Anne-Catherine Guillet debutó ayer en Oviedo en su papel de Mélisande, demostrando que es una buena intérprete dramática, que se mueve bien en el escenario y que vocalmente tiene facilidad para las notas agudas, aunque le faltan un poco de densidad en el registro grave y también potencia. Hizo su papel con bastante solvencia y fue muy aplaudida. »
En ce qui concerne les interprètes, la soprano belge Anne Catherine Gillet, dont ce sont les débuts à Oviedo dans le rôle de Mélisande, démontre qu’elle est une bonne interprète dramatique, avec une bonne présence scénique, et qui tient avec facilité les aigus (…). Elle a soutenu son rôle avec une qualité convaincante et a été très applaudie ». Ramon Avello – El Comercio

 

Kassya – Sonia

Festival Radio France Occitanie Montpellier, 2018

« La soprano Anne-Catherine Gillet a chanté Sonia, la jeune et fidèle amie de Cyrille, personnage inventé par les librettistes, avec une grâce juvénile, une musicalité naturelle tout en nuances qui font corps avec la langue et le style mélodique français. » Marguerite Haladjian – Backtrack

« Anne-Catherine Gillet incarne quant à elle la candide Sonia, amoureuse constante de Cyrille, auquel le bonheur est promis. Sa voix fine aux aigus ronds et agiles dispose d’un charmant et long vibrato. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Anne-Catherine Gillet compose une Sonia fraîche, jeune (18 ans dans le livret), émouvante. La jeune fille discrète, pudique, du premier acte se fait progressivement femme pour exprimer toute sa passion au dernier. Son air de l’hirondelle « Il suffit d’attendre », suivi du trio des retrouvailles (acte III) est chanté d’une voix naturelle, dépourvue d’affectation, cependant colorée, qui lui confère une vérité sensible. » Albert Dacheux – Classique News

« Anne-Catherine Gillet (Sonia) assume [cette stylisation] quant à elle avec un naturel et une aisance remarquable, servant à merveille le style français, avec la fraîcheur requise et l’ampleur lyrique de la voix. » Michèle Tosi – Resmusica

« La Sonia que chante Anne-Catherine Gillet est touchante, d’une évidente vérité. Son évolution psychologique, de la jeune fille timide, réservée, à la jeune femme épanouie du dernier acte est remarquable, servie par une voix claire, sonore, parfaitement maîtrisée. Son air de l’hirondelle (acte III) est un bijou. Sa participation à de nombreux ensembles est idéale. » Yvan Beuvard – Forum Opéra

 

Récitals et Concerts

Instant Lyrique – Elephant Paname, 2019

« Si le medium d’Anne-Catherine Gillet a acquis l’épaisseur suffisante pour partir à la conquête de rôles plus lyriques, la fraîcheur de la voix reste indemne et l’aigu intact. Loin des débordements castafioresques, Faust de Gounod est rendu à sa simplicité première d’opéra-comique. Hergé à l’écoute de cette Marguerite délicatement éclose aurait assurément changé son crayon d’épaule. Les partitions Belle Epoque et au-delà s’écoulent comme un ruisseau joyeux à travers ce chant colorisé comme une carte postale ancienne. Madame Chrysanthème, Pas sur ta bouche : aucune entorse au naturel, aucun faux pas et l’on voudrait qu’un directeur présent dans la salle prenne là des idées pour ses prochaines programmations. Ce répertoire en a besoin. »Christophe Rizoud –Forum Opéra

« Anne-Catherine Gillet prend le soin de vibrer chaque note pour ne jamais en favoriser une plus qu’une autre. La Reine joyeuse de Charles Cuvillier se trouve alors choyée de sincérité, de mélancolie et de recherches sur le rythme, qui continueront à être essaimées durant la soirée. (…)  La soprano ne s’asseoit pas sur ses acquis : les tonalités et les modes vivent de l’intérieur et s’alimentent avec parcimonie.Thibault Vicq –Opera Online

« Dans un répertoire principalement consacré à la musique légère (Messager, Yvain, Lecocq), la soprano belge fait montre de ce charme singulier qui la caractérise, de son timbre si particulier, et de la sincérité et la fraîcheur de ses incarnations. » Catherine Scholler – Opéra Magazine

Festival Avenches Opéra, Opéra en Fête, 2018

« À Avenches, la lumineuse Anne-Catherine Gillet.
(…) C’est la présence de la soprano Anne-Catherine Gillet qui aura marqué les esprits. Avec l’évidence de son chant, la simplicité du discours musical et l’intelligence interprétative, c’est la lumière qui jaillit quand elle transmet l’éclosion joyeuse d’une âme dans un « Je veux vivre » de Roméo et Juliette de Gounod, qu’elle exhale du plus profond d’elle-même. Comme si le bonheur de la perfection de son chant lui donnait la joie de la transmettre à chacun.
Le public ne s’y méprend pas quand il ovationne la jeune soprano française. On en redemande. Dans la barcarolle des Contes d’Hoffmann de Jaques Offenbach, elle porte la manière de s’effacer derrière la voix de Kate Aldrich avec une musicalité et une évidence bouleversantes. Mais c’est dans le fameux « Air des bijoux »  où l’on déguste l’humilité joyeuse qu’elle imprime à cet air si caricaturé. Quel émerveillement ! Elle fait apparaître l’or et les diamants de la cassette de Marguerite avec sa seule voix et le sourire qui complète ces moments de grâce absolue. » Jacques Schmitt – Resmusica

Opéra-Comique de Paris, 2018

« Par ce conte fantastique à fin heureuse en 16 chansons et mélodies, Anne-Catherine Gillet offre aux spectateurs de l’Opéra Comique un récital original à tout point de vue, dans le choix des pièces musicales retenues, comme dans sa mise en forme.

(…) Versant classique, les réussites sont nombreuses : on connaît la voix d’Anne-Catherine Gillet, très spéciale en ceci qu’elle possède certaines couleurs propres aux sopranos légers tout en ne se confondant nullement avec ce type de voix, en raison notamment d’une belle puissance dont la chanteuse fait preuve plus d’une fois, comme dans sa version de la Villanelle d’Eva Dell’Acqua : pas de suraigus extrapolés, de notes piquées, de pianissimiaériens. C’est que l’interprétation de la chanteuse donne à entendre, plus que le vol éthéré de l’hirondelle, le chant d’une jeune femme de chair et de sang éprise de liberté et d’émancipation. (…) La pulpe de sa voix évoque celle d’un fruit sucré comportant juste ce qu’il faut de légère acidité pour titiller agréablement le palais. Plus d’une fois, elle donne l’impression d’une corde que fait vibrer un archet, et inversement, rarement les sonorités du violoncelle auront à ce point paru proches de la voix chantée, surtout lorsque les lignes de l’instrument et celles du chant s’entremêlent, comme dans Les Chemins de l’amour où la soprano laisse le violoncelle chanter à sa place les premiers vers du second couplet.

Ce beau concert soulève le juste enthousiasme d’un public conquis, qui réclamera trois bis, ce qui lui vaudra une belle interprétation, tendre et amusante de « Vous qui passez sans me voir » de Trénet. »
Stéphane Lelièvre – Ôlyrix

« Le dévoilement de ses cartes progresse : des piano fermes et énoncés en nénuphars perlés et flottants magnifient Debussy, alors que les mezzo et les fortedeviennent également bouleversants dans Fille d’acier, de Joseph Kosma. Le vibrato aéré lui ouvre un sas de phrasé parcellaire et distingué. Anne-Catherine Gillet peut devenir enjouée dans des cadences virevoltantes et dans des soutiens de temporalité variable (Villanelle d’Eva Dell’Acqua), opter pour la douce fièvre habitée chez Ravel, ou parier sur une double face – l’une cachant des pensées secrètes et l’autre exprimant des facéties reposées – dans L’heure exquise de Reynaldo Hahn. Le souffle vainqueur, les trilles gracieux, la soprano se régale à l’instar d’une fée clochette à l’éclat inaltéré. » Thibault Vicq – Opera Online

 

Le Domino Noir (Auber) – Angèle de Olivarès

Opéra-Comique de Paris, 2018

« Peut-on rêver Angèle (que Berlioz appelle Angela) plus séduisante qu’Anne-Catherine Gillet ? Légère mais corsée, habilement conduite, la voix de la soprano belge n’hésite pas devant les vocalises les plu hardies, sans perdre le contrôle d’une ligne de chant mise en valeur par u timbre exquisément fruité. » Michel Parouty – Opéra Magazine

« Anne-Catherine Gillet s’octroie la part du lion dans la partition, dans le rôle omniprésent d’Angèle, taillé par Auber aux côtes de Mademoiselle Cinti-Damoreau (créatrice entre autres de la Comtesse Adèle dans Le Comte Ory). Quel abattage scénique, quel charme ! On la sent jubiler à contrefaire son apparence et sa voix (notamment en abbesse chenue) pour dérouter le pauvre Horace. Un charme dont la fraicheur du timbre, intacte, conjuguée à des aigus épanouis et à une agilité sans faille ne sont certes pas étrangers. »  Antoine Brunetto – ForumOpera

« AnneCatherine Gillet possède l’ensemble des atouts indispensables avec une présence scénique toute d’élégance et pleine de surprises, comme sa métamorphose en vieille abbesse cassée en deux par les rhumatismes lors de son entretien avec Horace au parloir du couvent. La voix apparaît ravissante, avec un aigu rayonnant et d’une parfaite agilité sur toute la tessiture. »  José Pons – Olyrix

« Une fois encore, la soprano Anne-Catherine Gillet enchante par sa voix adorable aux aigus irrésistibles et par son talent de comédienne. À cette Angèle lumineuse, il fallait un Horace de haute lignée (…)  » Emmanuelle Giuliani – La Croix

« La soprano belge Anne-Catherine Gillet endosse le domino noir et le rôle d’Angèle avec une prestance enthousiasmante, un timbre corsé et une agilité sans faille. »
Philippe Venturini – Les Echos 

« L’Angèle d’Olivarès, pétillante comme du champagne frais de la soprano Anne-Catherine Gillet est brillante de bout en bout de ce rôle exigeant écrit pour la Cinti-Damoreau. La voix est belle, iridescente au possible. » Pedro Octavio Diaz – Classique News

« L’Angèle d’Anne-Catherine Gillet (qui avait été une superbe Minerva dans Le retour d’Ulysse dans sa patrie) est une héroïne réussie, théâtralement “caméléonique” et musicalement irréprochable, avec sa voix fluide et extrêmement agile, qui contraste avec celle plus large d’Antoinette Dennefeld, une convaincante Brigitte de San Lucar. » Cinzia Rota – Classic Agenda

 

Opéra Royal de Wallonie-Liège, 2018

« Autre triomphatrice de la soirée, Anne-Catherine Gillet s’empare à la perfection du rôle d’Angèle, qui semble presque écrit pour elle : virtuosité vocale constante, aigus souverains, qualité de diction impeccable et abattage scénique à toute épreuve – en ce compris des transformations physiques successives –, toutes qualités qu’a l’Ardennaise et auxquelles elle ajoute ici une sorte de classe et d’évidence qui forcent l’adhésion. » Nicolas Blanmont – LaLibre.be

« Dans le rôle-titre, la soprano liégeoise Anne-Catherine Gillet – applaudie l’an passé dans La Chauve-Souris à Marseille et Don Giovanni à Lausanne – rend parfaitement justice au personnage d’Angèle tant par l’étendue de la voix que par son tempérament hors-pair. La classe malicieuse de sa féminité, la sensualité dont elle teinte sa voix au fur et à mesure de ses transformations et la délicatesse de son phrasé sont les marques de son grand talent. » Emmanuel Andrieu – Opéra Online

« La soprano belge domine son sujet dans Je suis sauvée chanté d’un seul souffle, avec une aisance et un babil quasi-chorégraphique. La voix est délicate et frissonne avec gourmandise une langueur amoureuse de bon aloi. » David Verdier – Wanderer

« Quoiqu’il en soit, l’ouvrage repose tout entier sur le rôle très lourd d’Angèle, omniprésente pendant toute l’action. Anne-Catherine Gillet s’impose à force de souplesse dans l’émission et d’attention au texte » Florent Coudeyrat – Classiques News

« Il soprano belga Anne-Catherine Gillet è un’elegantissima Angéle de Olivares, misurata nel gesto quanto nelle ben rifinite espressioni vocali, ma che sa essere pure molto più prorompente quando si traveste nella nipote, appena arrivata dalla campagna spagnola. »
La soprano belge Anne-Catherine Gillet est une Angèle de Olivares d’une grande élégance, mesurée dans la gestuelle aussi bien que dans les subtiles expressions de sa voix, mais qui sait aussi se montrer éclatante lorsqu’elle endosse le costume de la petite-fille, tout juste débarquée de la campagne espagnole.
Alma Torretta – Giornaledellamusica.it

« Anne-Catherine Gillet prête à Angèle sa grâce et son soprano (…), conforme à ce que demandent au chant français en termes d’intelligibilité des oreilles francophones, brillant dans les passages virtuoses (…) idéal qu’il s’agisse de flirter, de jouer une nièce aragonaise ou, la dignité de sa charge d’abbesse retrouvée, de tracer au-dessus de la harpe une prière fervente d’un trait pur et droit. » Christophe Rizoud – Forum Opéra

« Avec son timbre acidulé, son agilité ailée et sa musicalité souriante, Anne-Catherine Gillet met fièrement ses pas dans ceux de Laure Cinti-Damoreau, l’illustre créatrice d’Angèle .» Emmanuel Dupuy – Diapason

« Angèle s’incarne dans la voix fine, pure et agile d’Anne-Catherine Gillet. Si le filet de voix est ténu, il est projeté avec intensité sur un phrasé gracieux. Les suraigus sont atteints avec une apparente facilité et les trilles développés avec délicatesse. Son souffle long lui permet de maintenir la beauté de son timbre sur des notes longuement tenues. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Enfant du pays, issue du Conservatoire de Liège, Anne-Catherine Gillet incarne une Angèle pleine de chic et de séduction et d’une merveilleuse agilité vocale. » Alain Cochard – Concertclassic.com

« Anne-Catherine Gillet stattet die Partie der Angèle mit leuchtendem Sopran und sauberen Koloraturen aus. In ihren Couplets begeistert sie durch glasklare Spitzentöne und spielt die schwankenden Gefühle der jungen Novizin, die Horace liebt und gar nicht zur Äbtissin ernannt werden möchte, glaubhaft aus. »
Anne-Catherine Gillet dote le rôle d’Angèle d’un soprano brillant et de coloratures propres. Dans ses couplets, elle nous ravit avec des notes aiguës cristallines et joue de manière crédible les sentiments hésitants de la jeune novice, qui aime Horace et ne veut pas être nommée abbesse. Von Thomas Molke – Online Muzik Magazin

 

 

La Vie parisienne – Gabrielle

Opéra de Bordeaux, 2017

« La Gabrielle d’Anne-Catherine Gillet est piquante à souhait, forte d’un timbre fruité et pourtant très percussif, aux aigus aisés. » Tania Bracq – ForumOpera

« Au sommet, la gantière d’Anne-Catherine Gillet évolue comme un poisson dans l’eau, mais qui chanterait avec un équilibre délectable entre chic et chien, et un tact extraordinaire dans le tour parodique, en harmonie en somme avec l’orchestre maison. » Jean-Philippe Grosperrin – Diapason

« La gantière Gabrielle, voix et mine radieuses d’Anne-Catherine Gillet, a un vibrato rapide, mais qui convient avec l’expressivité colorée de la ligne. De ses aigus sonores, elle peut au choix sculpter un cristal placé finement dans les aigus, ou bien l’asseoir sur de profondes résonances. Le bouchon de champagne qui éclate à la fin de sa vocalise « Qui va piano va sano » ne saurait être plus belle métaphore. De surcroît, quelque chose de finement râpeux et sombre sourd derrière cette voix, donnant une profondeur bienvenue à ce répertoire et l’envie de l’entendre en tragédienne. » Charles Arden – Olyrix

 

Il Ritorno d’Ulisse in Patria – Minerva/Amore

 Théâtre des Champs Elysées, 2017

« Anne-Catherine Gillet pétille en Minerve » Laurent Bury – Forumopera 

« The fire of Anne-Catherine Gillet’s Minerva… » Shirley Apthorp – Financial Times

« Vêtue de son soprano radieux et ductile, l’enchanteresse Anne-Catherine Gillet a paré la cuirasse de Minerve d’un airain lumineux. » Marie Aude Roux – Le Monde

« Seule la prestation d’Anne-Catherine Gillet (L’Amour et Minerve) nous donne la sensation que la soprano peut s’épanouir pleinement dans les rôles qui lui ont été attribués dans cette production, au contraire de la majorité de ses partenaires. Sa parfaite projection et sa voix agile permettent d’apprécier sans mesure des trilles et des vocalises parfaitement maîtrisées. » Charlotte Saulneron-Saadou – Resmusica

« The star of the show was, for me, Anne-Catherine Gillet. “Fabulous! Fruity voice and at home on stage,” e-mailed a friend. Quite right: her voice has filled and rounded out over the years, and as an actress she simply sparkles. » NPW

« Particulièrement remarquable est la Minerve de Anne Catherine Gillet. La voix est pure et d’une grande agilité, le jeu pétille et chacune de ses interventions dynamise le plateau. » Jean Luc – Operaphile.com

« Anne-Catherine Gillet campe une espiègle et facétieuse Minerve, étourdissante de brio dans la maîtrise de ses aigus. » David Verdier – Altamusica

« Que dire d’Anne-Catherine Gillet, Amore et Miverva cristalline et scintillante, si ce n’est qu’elle est irrésistible ? »  Michel Parouty – Wanderer

« On relèvera notamment la prestation d’Anne-Catherine Gillet, Amour piquant puis Minerve électrique, elle affiche un port de tête autoritaire, déclenche un enthousiasme de chaque instant. » Kevin Lerou – Opera Online

« Minerve dont Anne-Catherine Gillet fait une fée pétillante de malice, la voix toujours fine, les trilles papillonnants, les vocalises vaporeuses. » Caroline Alexander – Webtheatre

« Anne-Catherine Gillet, Minerve piquante d’esprit mais brillante de timbre (également l’Amour dans le Prologue) » Chantal Cazaux – Avant-scène Opéra

« Anne-Catherine Gillet obtient également un grand succès grâce à son jeu pétillant et à sa voix fine, pure et agile, qui lui permet d’enchaîner avec délicatesse ses trilles, vocalises, mélismes et notes piquées. Elle parvient à dynamiser les scènes auxquelles elle prend part par la vitalité de ses interventions, qui montrent les progrès éblouissants qu’elle a faits dans son expression scénique en l’espace de quelques années. » Damien Dutilleul – Olyrix 

« La Minerve d’Anne-Catherine Gillet possède une longueur de souffle, une clarté éblouissantes. Plateau luxueux, on l’aura compris…» Luca Dupont-Spirio – Diapason 

 

 Manon – Rôle-titre

 Opéra de Monte Carlo, 2017

« Anne-Catherine Gillet en état de grâce dans la Manon de Massenet […] C’est peu dire que la cantatrice belge releva le défi avec panache dans une production de Lausanne qu’elle avait déjà défendue trois ans plus tôt. Son timbre jeune et cristallin sut rendre parfaitement justice au caractère hybride de la partition qui requiert deux voix pour le prix d’une : un soprano léger inscrit dans la tradition de l’opéra-comique et vocalisant à la perfection dans les deux premiers actes et un format plus lyrique exigeant une projection et un médium plus nourris à partir de la scène de Saint-Sulpice. Enfin, outre l’adéquation au rôle, cette Manon subtile et nuancée fut profondément émouvante grâce à un remarquable travail sur les couleurs, les pianissimi et l’articulation. » Eric Forveille – Concertonet

« La soprano (Anne-Catherine Gillet) préfère, au contraire de son partenaire, les délicatesses d’une écriture dont elle sait exprimer le moindre mot : la fraîcheur de « je suis encore tout étourdie » que sa voix claire et légère pare d’une grâce naïve, l’épanchement contenu d’une « petite table » dressée tout en délicatesse, sans sentimentalité excessive. L’air du Cours-la-Reine, moins brillant qu’élégant, confirme le portrait d’une Manon tendre et écervelée, dépourvue de perversité, héroïne d’opéra-comique plus que d’opéra, dont la séduction repose sur le cristal plus que sur l’étoffe, sur le charme plus que sur la sensualité. » Christophe Rizoud – Forumopera

Opéra de Lausanne, 2014

« L’héroïne trouve en Anne-Catherine Gillet – magnifique Leila dans Les pêcheurs de perles à Nantes en février dernier – une interprète peu s’en faut idéale, par son potentiel vocal et les nuances musicales qu’elle en tire. Elle tient le public sous le charme par son timbre charnu – agrémenté d’un délicieux vibratello, ses aigus éblouissants, sans parler de sa séduction féminine. Elle délivre notamment un déchirant « Adieu notre petite table », interprété avec autant de mesure que de contrôle dans la ligne de chant. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Quel bonheur d’entendre une voix aussi fruitée que celle d’Anne-Catherine Gillet (Manon). Une voix gorgée de soleil, avec le rouge et le jaune d’un fruit d’été, un fruit qu’on a envie de croquer à pleines dents. Avec cette prise de rôle, la soprano belge confirme au-delà du bien qu’on en avait dit lors de sa Blanche de la Force des Dialogues des Carmélites à Avignon en 2011 ou cette année de sa Leïla des  Pêcheurs de perles à Angers. La maturité éclatante de sa voix d’aujourd’hui, la simplicité du discours vocal, l’impeccable diction, le français admirablement chanté, les aigus solaires, le registre médium ample et le vibrato court donnent à la Manon d’Anne-Catherine Gillet une authenticité de ton entre insouciance et passion en symbiose totale avec le personnage voulu par Massenet. Dès lors, comment ne pas tomber sous le charme de cette jeune fille ? » Jacques Schmitt – Resmusica

« Silhouette fine et élégante, port de reine, Anne-Catherine Gillet a illuminé la Manon qui vient d’ouvrir la saison de l’Opéra de Lausanne. Aussi intense, passionnée et touchante dans les moments d’émotion qu’espiègle et enjouée dans les passages plus éclatants. Vocalement, la jeune chanteuse a tout pour elle aussi : une diction impeccable, un médium riche et corsé, un timbre puissant et bien projeté, des aigus sûrs et solaires, une parfaite maîtrise de la ligne de chant sur l’entier de la tessiture et une technique à toute épreuve, qui lui permet de faire fi des vocalises de la partition. Une prise de rôle mémorable, qui en dit long sur le talent de l’interprète, bien partie pour faire une carrière brillante. Quoi qu’il en soit, il était bien difficile de ne pas succomber à l’envoûtement de sa Manon, et le chevalier des Grieux n’a pas été le seul à tomber sous le charme ! » Claudio Poloni – Concertonet

« Anne-Catherine Gillet rayonne en Manon, surplombant ses rivales et ses prétendants dans une montgolfière de circonstance. La soprano belge, qui chante le rôle-titre de l’opéra-comique de Massenet depuis vendredi à Lausanne dans la mise en scène d’Arnaud Bernard, sait aussi emplir sa gorge de tendresse à la vue de son seul amour, le chevalier Des Grieux, et assombrir son timbre au moment de le trahir. » Marc Vanappelghem – 24heures

« Anne-Catherine Gillet, sensible et convaincante dans sa prise de rôle » La Liberté

« Etincelant rôle-titre, incarné par la soprano belge Anne-Catherine Gillet, opposé à la passion contenue de Des Grieux. » Marie Alix Pleines – Le Courrier

« La soprano belge Anne-Catherine Gillet a la jeunesse, la frivolité anxieuse de Manon (…) La voix longue et fruitée d’Anne Catherine Gillet, qui enfile les airs fameux avec des aigus de lumière et une technique d’acier… » Jean Jacques Roth – Le Matin Dimanche

« Anne-Catherine Gillet, elle, possède un très joli timbre également Les aigus sont bien placés, précis, lumineux, cristallins Elle émeut dans « Adieu, notre petite table », chanté avec une sobriété désarmante, et domine ses vocalises dans les airs plus brillants. » Le Temps

« D’allure plus juvénile que jamais […] Anne Catherine Gillet incarne idéalement l’adolescente de 16 ans jetée sur les routes de la vie sans aucune expérience. Jusqu’au bout, sa Manon reste une pauvre fille perdue dans ses rêves de grandeur, qui prend trop tard conscience des conséquences de ses caprices. » Richard Martet – Opéra Magazine

 

La Chauve-souris – Caroline

 Opéra Municipal de Marseille, 2016

« Avec une ligne souple et aérée, Anne-Catherine Gillet fait palpiter une Caroline au caractère français assumé, rehaussée par une diction aussi intacte… » Gilles Charlassier – Concertonet

« Dans le rôle de l’épouse respectable mais fleur bleue capable de se muer en femme rouée, Anne-Catherine Gillet est idéale de maintien, tant scénique que vocal, et fait de sa csardas une vraie gourmandise. » Maurice Salles – Forumopera

« La soprano wallone Anne-Catherine Gillet campe une Caroline au timbre fruité, qui brille grâce à des aigus d’une grande légèreté, et à une belle intelligence scénique. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« La fausse Comtesse hongroise (Anne-Catherine Gillet) qui (…) chante une czardas à la fois nostalgique, vaporeuse, voluptueuse puis d’une véloce ivresse presque désespérée : troublante. On découvre ici avec bonheur, dans la comédie, cette soprano habituée de rôles en général dramatiques et le début de l’œuvre lui donne l’occasion, patronne altière, de passer à la parodie, de l’épouse éplorée dont le mari part pour la prison, à la frétillante attente de l’amant, avec la même belle voix doucement fruitée. » Benoit Pelegrin – Classiquenews

« La Caroline de belle envergure d’Anne-Catherine Gillet, une interprète dont on n’a pas oublié à Marseille les étonnantes incarnations des héroïnes de Jean-Michel Damase, l’Héritière et Colombe. » Hervé Casini – Metamag

 

Monsieur Beaucaire (Messager) – Lady Mary

Maison de la Radio, 2016

« Autre bonheur : celui de retrouver la délicieuse (mais trop rare) soprano belge Anne-Catherine Gillet dans le rôle de Lady Mary » Nicolas d’Estienne d’Orves – Guide Classique

« Distribution épatante réunissant deux irrésistibles couples de chanteurs : Anne-Catherine Gillet / Jean-François Lapointe et Jodie Devos / Julien Behr » Opéra Magazine

« Anne-Catherine Gillet lui donne la réplique avec beaucoup de grâce, de simplicité et de fraicheur : elle incarne bien la rose anglaise telle qu’on l’imagine » Emmanuelle Pesqué – Le Forum

« Un plateau vocal de rêve pour ce répertoire, à commencer par la magnifique Anne-Catherine Gillet en Lady Mary. Une diction à faire pâlir un écran de surtitrage, un vibrato serré, extrêmement dynamique, et une manière de donner vie à son personnage jouant des intonations et des nuances avec beaucoup de justesse » Clément Rochefort – La Lettre du Musicien

« On s’incline surtout devant ces dames, une Anne-Catherine Gillet tout en légèreté, ce qui sied au dédain souriant de Lady Mary, puis à son amour tout neuf pour le faux-duc » François Laurent – Diapason

« On distingue la belle Lady Carlisle d’Anne-Catherine Gillet dont la voix semble avoir gagné en ampleur » Frédéric Norac – Musicologie

 

Béatrice et Bénédict – Héro

 Théâtre de la Monnaie (Bruxelles), 2016

« Anne-Catherine Gillet, […] prête sa voix délicieuse et sa brillante technique au personnage de Héro » Claude Jottrant – Forumopera 

« Anne-Catherine Gillet, Héro légère et fruitée » Didier Van Moere – Diapason 

« Anne-Catherine Gillet une lumineuse Héro » Bruno Serrou – La Croix

« Brassées de fleurs pour la Héro d’Anne-Catherine Gillet, franche et généreuse, avec les qualités de projection et d’intonation qu’on lui connaît mais aussi ce vibrato léger et toujours sous contrôle qui la rend reconnaissable entre toutes. » Nicolas Blanmont – La Libre

 

L’Aiglon (Ibert/Honneger) – Rôle titre

 Maison Symphonique Montreal, 2015

 « Il était important de réunir une distribution francophone. Celle-ci est convaincante. Anne-Catherine Gillet s’investit dans son rôle d’Aiglon comme une forcenée. La voix, ronde mais comme fragile, rend crédible un personnage de post-adolescent loser. » Christophe Huss – Le Devoir

« Miracle !, le chant de L’Aiglon est encore possible. Il faut avouer que du jour où Anne-Catherine Gillet parut, soudain un soprano très français – de projection, de couleurs, d’appuis, de timbres, de mots – ressuscita : celui, alerte, dru, lancé, où les mots claquent, où l’aigu signifie élan propre à Fanny Heldy ; du charme, mais d’abord du caractère. Anne-Catherine Gillet à elle seule emporterait l’affaire, dans l’exaltation – divine, ardente, solaire mais toujours avec cette brisure – comme dans l’expiration, lorsque Ibert reprend la plume à Honegger, faisant entendre un Te Deum spectral. » Jean-Charles Hoffelé – Avant-Scène Opéra

« Anne-Catherine Gillet, qui chante Juliette chez Gounod, éblouit dans le rôle-titre, en souligne l’angélisme enivré, la droiture morale, l’esprit d’espérance… d’autant plus flamboyant qu’elle est “cassée” minutieusement par le chant ombré, sarcastique, souterrain du ténébreux Prince de Metternich. » Hugo Papbst – Classiquenews 

« Dans le rôle-titre, la voix d’Anne-Catherine Gillet (le Duc de Reichstadt) semble un peu légère, même si la soprano belge s’investit beaucoup pour faire passer le personnage. Mais ne boudons pas notre affaire, avec l’extrême clarté de sa diction, c’est un régal. Elle est particulièrement touchante dans la scène de l’agonie du Duc. » Jacques Schmitt – Resmusica

« Diapason d’or de l’année 2016 : L’Aiglon d’Honegger et Ibert par Kent Nagano avec Anne-Catherine Gillet dans le rôle-titre » Benoît Fauchet – Diapason

« At its centre, in a trouser role that is a gift for a lyric soprano, is Anne-Catherine Gillet’s Duke, bright in tone and wonderfully subtle in her response to the complexities of both text and character. » Tim Ashley – Gramophone

« La distribution, comme l’on pouvait s’y attendre, brille (l’émission haute et le tranchant verbal de Gillet, incomparables !) » David LeMarrec – Operacritiques

 

L’Elisir d’amore – Adina

La Monnaie (Bruxelles), 2015

« L’Adina d’Anne Catherine Gillet est blonde et charmeuse avec une sensibilité à fleur de peau. Sa voix s’épanouit dans tous les registres, les vocalises sont aisées, les aigus puissants et lumineux. »    Martine D.Mergeay – La Libre 14/09/2015

« Anne Catherine Gillet : Une Adina fait le printemps. Deux soirs qui se suivent et un spectacle qui change d’âme sans rien perdre à son efficacité. A la superbe étincelante d’Olga Peretyatko, Anne-Catherine Gillet propose une Adina moins souveraine, espiègle et manipulatrice certes, mais profondément humaine et sérieusement éprise et qui sait le faire transparaitre habilement. L’élégance du chant, le sens de couleurs chatoyantes, un aigu moins éclatant mais plus savoureux, une complicité… Son Adina met la salle en poche en un clin d’œil. Serge Martin – Le Soir 11/09/2015

« La soprano belge Anne Catherine Gillet (…) est absolument formidable en Adina coquette, pragmatique et bientôt clairvoyante. » Valerie Colin – Le Vif (l’Express) 11/09/2015

« Anne-Catherine Gillet impose […] une Adina sacrée reine de la plage malgré elle. La musicienne déploie une ligne surveillée, une belle précision des traits et des aigus faciles ; l’actrice, touchante, noue un rapport presque maternel avec Antonio Poli, Nemorino. » Thierry Guyenne – Opéra Magazine

 

Les Mousquetaires au couvent – Simone

Opéra Comique (Paris), 2015

« Dans un emploi de servante coquine, Anne-Catherine Gillet montre qu’elle a tout l’abattage d’une meneuse de revue […] : depuis quelques années, la voix a pris une ampleur qui lui permet d’aborder un tout autre répertoire. » Laurent Bury – Forumopera

« Nous saluerons d’abord la superbe prestation de la soprano Anne-Catherine Gillet dans le rôle de la piquante Simone. Ceux d’entre nous qui l’ont entendue dans les grands rôles du répertoire, de Micaëla de Carmen à Sophie de Werther, ne s’attendaient pas forcément à lui découvrir une telle aisance à prononcer les couplets d’opérette ainsi qu’un talent comique de premier plan. » Caroline Dessaint – Bachtrack

« Les performances d’Anne-Catherine Gillet, ravissant colorature ici au service du rire […] sont remarquables. » François Vincens – Atlantico
« L’énergie comique d’Anne-Catherine Gillet : Anne-Catherine Gillet et Franck Leguérinel (Simone et Bridaine, la servante et l’abbé qui tirent les ficelles) unissent au plus haut niveau grâces vocales et énergie comique. » Emmanuel Dupuy – Diapason

« Anne-Catherine Gillet en Simone emporte le morceau avec une imparable présence. » Bertrand Renard – Culturebox

« Anne-Catherine Gillet domine la distribution avec son timbre enchanteur, sa technique aérienne et sa musicalité fondante. Une fois encore, la supériorité de cette artiste confirme son haut rang dans l’Olympe lyrique. » Emmanuelle Giuliani – La Croix

« La mélodicité et la gaieté, ce sont certainement les qualificatifs qui conviennent au mieux à Anne-Catherine Gillet. Vivifiante et espiègle, elle nous fait découvrir une nouvelle facette de son talent (surtout de danseuse !) et toute la salle est ravie ! » Victoria Okada – Resmusica 

« Saluons la soprano Anne-Catherine Gillet dont la performance vocale et la vivacité éblouissent dans le personnage de Simone » Helene Kuttner  – ArtistikRezo

« L’extraordinaire Simone d’Anne-Catherine Gillet, de laquelle on n’attendait guère un tel tempérament et un tel abattage vocal et théâtral, qui s’impose comme la révélation de cette production. » Frédéric Noras – Musicologie 

« Bravo à Anne-Catherine Gillet encore plus, inattendue en Simone, qui dans l’intrigue n’est qu’un hors-d’œuvre, mais délicieux, avec des airs brillants, exposés, qui font d’elle la reine lyrique de la soirée. » André Tubeuf – Qobuz

« Anne-Catherine Gillet qui, en servante délurée, éblouit une fois de plus, le corps monté sur ressorts, la voix grimpant aux cimes mine de rien, véritable meneuse de revue. Après L’Etoile de Chabrier et Carmen de Bizet sur cette scène de l’Opéra Comique, les rôles de Despina, Poppea, Susanna, Cendrillon, Manon, la soprano belge prouve que rien ne lui résiste. » Caroline Alexander – Webtheatre

« The best performances of the evening came from baritone Franck Leguérinel, whose pandering Abbé Bridaine was ripely sung and precisely timed, and soprano Anne-Catherine Gillet, who sang and danced with real star quality as the down-to-earth village girl, Simone. » Stephen J. Mudge – Operanews

« La production s’appuie également sur un plateau vocal sans faille, dominé par l’énergie revigorante d’Anne-Catherine Gillet (Simone), très en voix et d’une belle aisance dans l’aigu, sans parler de ses graves de velours. » Florent Coudeyrat – Concertonet 

« Le plateau est dominé haut la main par les dames, en premier lieu Anne-Catherine Gillet, qui nous enchante en Simone, l’accorte aubergiste. La voix de la soprano belge n’a jamais été plus belle, plus aisée, comme si le fait de s’amuser enfin, loin de ses rôles sérieux habituels, lui donnait des ailes. » José Pons – Opéra Magazine

 

Les Pêcheurs de perles – Leïla

Opéra Royal de Liège, 2015

« Comme prévu, Anne-Catherine Gillet est une Leila vif-argent, moins « déesse » que jeune femme au cœur simple mais néanmoins déterminée. Le vibrato serré n’empêche pas le trille. […] L’aigu héroïque de Lionel Lhote faisait penser à Ernest Blanc, c’est Renée Doria qu’évoque parfois la soprano belge. Nous sommes en bonne compagnie. » Christophe Rizoud – Forumopera

« A ses côtés, on retrouve avec bonheur Anne-Catherine Gillet, qui paraît avoir approfondi et mûri sa Leila depuis les concerts nantais de l’an dernier. Le timbre est toujours aussi transparent qu’un cristal de roche et le vibratello qui fait sa signature donne toujours à chacune de ses inflexions un caractère naturellement émouvant. La figure forte et fragile à la fois de la jeune femme s’incarne comme une évidence dans la gracieuse silhouette de la soprano, et on se souviendra longtemps d’un « Comme autrefois » palpitant et frémissant, glissant le long d’un tendre legato ; comme on n’oubliera pas de sitôt une confrontation avec Zurga au désespoir rageur. » Nicolas Grienenberger – Classiquenews

« Quant à Anne-Catherine Gillet, elle incarne Leïla avec un bel engagement et autant de sensibilité : on admire l’aisance et la fraîcheur de l’aigu ainsi que son medium corsé, tandis que la projection de la voix va dans le sens du dramatisme du personnage. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

Angers-Nantes Opéra, 2014

« Leïla agile, sobre et scrupuleuse, Anne-Catherine Gillet est objectivement irréprochable. » Mehdi Madhavi – Altamusica 

« Du rôle de Leïla, la ravissante soprano belge Anne-Catherine Gillet – superbe Blanche de la Force (Dialogues des Carmélites) ici-même en début de saison – maîtrise à la perfection la musicalité tout comme la vocalisation exigée par son personnage. La voix est suffisamment puissante pour rendre justice à la prière « O Dieu Brahma » , et elle phrase, avec l’élégance et la sensibilité à fleur de peau qu’on lui connaît, le touchant air « Comme autrefois ». » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Que dire d’Anne-Catherine Gillet ? Nous cherchons depuis longtemps comment exprimer avec des mots ce que cette soprano a de différent des autres. Cela tient à la fois à son timbre, à sa technique, à l’impression de facilité qu’elle dégage et à sa manière unique de communiquer avec le public, comme si elle voulait lui transmettre son essence intime. Bref, elle est sublime en Leïla. » Catherine Scholler – Opéra Magazine

 

Rigoletto – Gilda

Bolshoi, 2014

« Le personnage de Gilda, joué par la Belge Anne-Catherine Gillet constitue la plus grande réussite. » Ioulia Bederova – RBTH 

Théâtre de La Monnaie (Bruxelles), 2014

 « Anne-Catherine Gillet ajoute Gilda à son répertoire au bon moment. Dans la plénitude de ses moyens, elle s’identifie étroitement à cette jeune fille tendre et résolue à qui elle prête son timbre ravissant. La voix (…) ferme et agile, permet à la soprano belge de triompher de « Caro nome », qu’elle chante en privilégiant la retenue et la délicatesse sur les assauts de virtuosité. » Sebastien Foucart – Concertonet

« Ottima la Gilda di Anne-Catherine Gillet, la cui delicatezza di emissione, soprattutto nel registro acuto, le assicura dei risultati di pregio praticamente in tutta l’opera. A questo si aggiunga una decisiva capacità di caratterizzazione psicologica del suo personaggio, raggiunta attraverso l’attenzione per i particolari musicali. In particolare in « Caro nome », cantata su un’altalena sospesa a mezz’aria, sfrutta attentamente le pause previste per nella scrittura vocale del brano al fine di rendere tutto il senso di ansia e al tempo stesso di gioia di una ragazza che conosce per la prima volta l’amore. » Giuseppe Fasanella – Operaclick

« Enfant du pays, la soprano Anne-Catherine Gillet chantait Gilda pour la première fois. La fraîcheur de son interprétation tient autant à la beauté de son timbre clair, velouté, très à l’aise dans l’aigu malgré les difficultés du rôle, qu’à la verdeur de son art, encore marqué d’une certaine fragilité juvénile de fort bon aloi. Elle campe ainsi une Gilda à peine sortie de l’enfance, ce qui ne fait que renforcer la cruauté des violences dont elle est victime. » Claude Jottrant –Forumopera

« Formidable aussi, Anne Catherine Gillet qui signe ses débuts en Gilda parfaitement réussis, […] malgré des postures pas évidentes (même si Sireuil l’avait déjà perché sur une balançoire pour Mélisande) : la voix est ronde, pleine et bien assurée avec une intonation parfaite, ce qu’il faut d’énergie et de relances et le contrôle parfait de ce délicat vibrato léger qui est sa signature. » Nicolas Blanmont – La Libre

« Anne-Catherine Gillet a triomphé de sa toute première Gilda. L’ovation du public ne se trompe pas ! Elle « est » Gilda, une toute jeune fille, lumineuse, d’une sorte de naïveté spontanée qui électrise toute la tessiture de son soprano lyrique, un alliage de panache et de légèreté mais qui a du corps, de la fluidité et rien d’un rossignol mécanique. Stylée, élégante, d’une présence juste et sincère… Que du bonheur ! Vous l’imaginez caracoler dans les coloratures du « Caro nome » premier élan d’amour d’une gamine, perchée sur un trapèze en mouvement très haut, sous un ciel de cirque étoilé ? Belle métaphore! On la savait agile, déjà trapéziste pour la Mélisande que lui avait confiée Philippe Sireuil à Liège, elle le fait ici dans un des airs les plus difficiles et qu’elle aborde pour la première fois ! Chapeau! » Michèle Friche – Le Soir

« Anne-Catherine Gillet est une émouvante Gilda » Jean Lucas – Luxemburger Wort

« Anne-Catherine Gillet ist eine wunderbare Gilda » Hans Reul – BRF

 

Roméo et Juliette (Gounod) – Juliette

Opéra de Monte Carlo, 2014

« Autre grand bonheur, celui de retrouver Anne-Catherine Gillet, moins d’un mois après son éblouissante Manon à Lausanne. On admire une fois de plus la voix ample et l’aigu facile de la soprano belge, qui déploie ce soir des étincelles dans la célèbre Valse « Ah, je veux vivre », et trouve des couleurs envoûtantes, lorsque l’héroïne apprend l’identité de son admirateur inconnu. Son interprétation s’intensifie au cours de la représentation, les intentions se font progressivement plus vraies, le timbre devient plus charnu, jusqu’à un « Air du poison » particulièrement poignant. D’une égale homogénéité vocale que son partenaire, cette ardente Juliette partage ainsi avec Fanale une franchise vocale, une jeunesse, un élan, une poésie et une absence de mièvrerie qui préservent ces pages de toute sentimentalité convenue. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Anne-Catherine Gillet incarne une Juliette plutôt résolue, évitant soigneusement toute mièvrerie par une présence sereine, felle affirmant son désir dans un monde contraire. Le chant, de surcroît, est parfaitement maîtrisé : la qualité de l’émission, diction parfaite, aigus radieux. » Jean-Marc Proust – Opéra Magazine

 

Hänsel und Gretel – Gretel

 Opéra de Paris, 2014

 « Anne-Catherine Gillet. Après son triomphe en Aricie la saison dernière, la soprano belge montre une fois encore qu’elle mérite amplement […] occuper enfin des rôles de premier plan. Vocalement et scéniquement, aigus glorieux et jeu d’un naturel confondant, elle s’avère ici idéale. » Laurent Bury – Forumopera

« Anne-Catherine Gillet est une Gretel d’une exquise fraîcheur, la voix est pleine, lumineuse et sûre, infiniment à l’aise dans l’aigu. » Bruno Serrou

« Anne-Catherine Gillet déploie un allemand percutant et met autant de charme que de piquant à sa Gretel. » Jean-charles Hoffelé – Concertclassic

« Heureusement le reste de la distribution est un casting impeccable, notamment Anne-Catherine Gillet – une Gretel lumineuse et vive, rayonnante aussi quand il le faut, joliment associée au Hänsel rond et souple de Daniela Sindram. » Chantal Cazaux – Avant-Scène Opéra

« Anne-Catherine Gillet, la soprano belge que Nicolas Joël avait baptisée « La Princesse de Liège » compose une Gretel adolescente tout à fait crédible. » Caroline Alexander – Webtheatre

« Anne-Catherine Gillet, Gretel à la fois radieuse et consistante. » Olivier Mabille – Resmusica

« Il y a trois couples d’enfants, un qui chante, et fort bien, Daniela Sindram (Hänsel) et Anne-Catherine Gillet (Gretel) » Gérard Manoni – Altamusica

 

Cendrillon – Rôle-titre

Théâtre de la Monnaie (Bruxelles), 2011

« Mais ce spectacle n’aurait pas été réussi sans une Cendrillon de tout premier plan. La soprano Anne-Catherine Gillet prouve une fois de plus qu’elle est à l’aise dans tous les registres dramatiques, et que sa voix a atteint une plénitude et une souplesse qui lui permettront d’aborder de nombreux rôles (on veut l’entendre dans Manon !). Lyrique, sensible, piquante, touchante, elle fait montre d’une vaste palette théâtrale soutenue par une technique vocale décidément impeccable. Et puis elle ce charme naturel, presque rustique, qui fait d’elle l’une des chanteuses les plus attachantes de la scène musicale actuelle. » Nicolas D’Estienne D’Orves

« Mais c’est comme il se doit Cendrillon et son soupirant qui mettent la salle à leurs pieds. Dans le rôle-titre, Anne-Catherine Gillet fait merveille – davantage que les voix plus graves que l’on y distribue d’ordinaire -, fruit charnu, gorgée de féminité, d’aisance et de maîtrise absolue (et avec ça, l’artiste est jolie comme un cœur.) » Emmanuel Dupuy – Diapason

« La soprano belge déploie un talent formidable, tant vocal que scénique. » Valérie Colin – L’Express

« La charme agit également grâce à la distribution. Anne-Catherine Gillet : adorable, mine de rien, en souillon, d’une élégance aristocratique une fois vêtue de sa robe de bal, elle séduit du début jusqu’à la fin grâce à la clarté de son timbre, personnel qui plus est, et à la finesse de son chant. » Sébastien Foucart – ConcertoNet

« La distribution convoquée est d’une rare homogénéité. Anne-Catherine Gillet a tout pour séduire dans le rôle-titre : un timbre charnu mais à l’aigu lumineux, un profil à la fois souriant et mélancolique à la Audrey Hepburn, une simplicité, une candeur d’expression tout à fait touchantes. Mais on adore aussi sa vision du personnage, à commencer par son premier air « Reste au foyer, petit grillon » : loin d’être une femme résignée, précuseur d’une desperate housewife, elle invoque l’aide de sa marraine, la bonne fée, justement parce que le foyer et les lourdes tâches ménagères s’avèrent un horizon trop restreint pour ses aspirations et ses rêves. » Giuseppe Montemagno – L’Avant-Scène Opéra

« Anne-Catherine Gillet n’est plus une jeune soprano belge qui monte, mais une chanteuse parfaitement accomplie, ce dont nous nous étions rendu compte lors de sa récente Susanna des Nozze di Figaro à l’Opéra de Wallonie. Dès l’adorable air d’entrée « Reste au foyer, petit grillon » elle emballe la salle par son charme fou. Que dire alors de sa rencontre avec la Fée, puis des duos avec le Prince ou avec son père, ce dernier atteignant à une grandeur touchante grâce à la beauté du timbre et au legato de Lionel Lhote ? » Bruno Peeters – Crescendo Magazine

« On hurle quand même son bonheur face à la prestation d’Anne-Catherine Gillet dans le rôle-titre. Le miracle demeure que la beauté radieuse de ce chant s’exprime au travers d’un talent d’actrice simple et naturel. A ce niveau d’instinct magnifié, on craque. » Serge Martin – Le Soir

 

La Bohème – Musetta

Théâtre de la Monnaie (Bruxelles), 2010

« Réussir une Bohème tient aussi à l’équilibre de la distribution, à sa jeunesse et celle réunie à la Monnaie joue gagnant, dans une direction d’acteurs époustouflante : […] une Musetta bien connue, celle de notre compatriote Anne-Catherine Gillet, d’une présence de feu, superbe et nuancée. » Michèle Friche – Le Soir

« Massimo Cavalletti, qui apparaît pour la première fois à la Monnaie, et Anne-Catherine Gillet, familière des lieux depuis dix ans, campent avec non moins de conviction et de tenue vocale un couple Marcello/Musette improbable mais fusionnel. » Sébastien Foucart – ConcertoNet

« La soprano belge Anne-Catherine Gillet fait une apparition très remarquée en Musette, vamp en mini-jupe et talons hauts » Jean Lucas – Luxemburger Wort

 



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