Ariadne auf Naxos – Der Komponist
Opéra de Limoges, 2022
« Julie Robard-Gendre marque les esprits en Compositeur par la brillance de sa voix chaude et puissante au timbre profond et aux graves sûrs. Comme sa composition scénique, son phrasé est construit, voire parfois emporté dans un lyrisme poignant. » Damien Dutilleul – Olyrix
« C’est une très belle proposition portée par une distribution d’une grande cohérence mais que survole quand même le compositeur incandescent de la mezzo Julie Robart-Gendre, remarquable de souffle, de puissance et d’investissement scénique. On admire les couleurs extraordinaires de son timbre rond et chaud, irradiant de jeunesse et d’insolence et une technique superlative qui lui permet d’assumer les paradoxes de sa partition, entre théâtre et grand lyrique. » Steeve Boscardin – ResMusica
« Julie Robard-Gendre trouve avec le Compositeur un nouveau rôle travesti à sa mesure, et dans lequel elle s’investit avec une sensibilité vibrante. » Laurent Bury – Concertclassic.com
« Sombre, mais dardé jusqu’à l’incandescence, le premier Compositeur de Julie Robard-Gendre tutoie déjà l’idéal. » Mehdi Mahdavi – Opéra Magazine
Akhnaten – Nefertiti
Opéra de Nice, 2021
« En reine Nefertiti, Julie Robard-Gendre constitue le pendant de la voix haute-perchée de di Falco, avec son timbre capiteux, chaud et, en conséquence, plus terrestre. » Paul Fourier – Toute La Culture
« Julie Robard-Gendre (l’épouse, la reine Nefertiti) [a] la voix chaude, l’expression lyrique. » André Peyrègne – Forum Opéra
« Néfertiti est voulue voluptueuse avec le choix de Julie Robard-Gendre, très applaudie, au mezzo de geai bleu-noir, aux plumes sonores d’une belle facture luisante. Sa voix s’entrelace à celle de son époux, dans leurs duos, pour former ce mélange d’hydromel qui étanche les soifs divines. » Florence Lethurgez – Olyrix
« Fabrice di Falco livre avec Julie Robard-Gendre (Nefertiti) un exceptionnel duo, l’un des grands moments de chant de la pièce. De la générosité, du velours et de la puissance chez la mezzo, fort applaudie au terme de la représentation dominicale. » Michel Egea – Concert Classic
« Julie Robard-Gendre dans le rôle de Nefertiti, Patrizia Ciofi dans celui de la mère d’Akhnaten, la Reine Tye, sont toutes deux magnifiques de profondeur, de séduction vocale et d’engagement émotionnel. » Hélène Pierrakos – Web Theatre
La Clemenza di Tito – Sesto
Angers-Nantes Opéra, 2021
« Julie Robard-Gendre fait un tabac dans le rôle de Sesto, avec une expression revendiquée d’une individualité propre face à Vitellia, loin du pantin sous emprise. Elle défend un personnage exaltant et complexe, soutenu par des vocalises torrentielles et une exactitude du discours musical. Le placement n’est pas seul en jeu : il y a aussi la profondeur d’immersion dans les notes et le souffle intangible du vibrato. La mezzo nantaise campe l’amoureux et le traître repenti avec une conviction constante, et surtout un gosier insubmersible. » Thibault Vice – Opéra Online
« Julie Robard-Gendre est un Sesto épatant et ne fait qu’une bouchée d’une partition nécessitant des trésors de technique vocale et d’implication dramatique. Son « Parto, ma tu ben mio… », moment musical tant attendu, est à ce niveau une réussite. » Romaric Hubert – Première Loge
« De la très belle distribution, on retiendra déjà le Sextus de Julie Robard-Gendre. Sensible, aveuglé par son amour pour Vitellia, le personnage apparaît ici avec toute sa complexité, sa fragilité, ses hésitations, ses déchirures, comme avec sa noblesse et sa générosité. La voix, sombre, sonore, idéale pour cet emploi, est admirablement conduite. La progression psychologique est juste, également traduite par le jeu dramatique. L’émotion, d’une rare intensité au second acte (« Deh per questo istante solo »), hisse Sextus au premier plan. Le public lui réservera ses acclamations les plus chaleureuses. » Yvan Beuvard – Forum Opéra
« Julie Robard-Gendre prend le rôle de Sesto, oscillant dans son jeu entre fragilité et émotivité pour incarner sa torture entre amour et loyauté. La voix de la mezzo-soprano, ronde et sonore, présente une homogénéité dans les différents registres. Les couleurs sont variées, avec un travail sur les nuances et le mezza-voce, ainsi que des vocalises précises. Son timbre se mêle harmonieusement avec celui de la clarinette dans l’air « Parto, parto », et elle est fort applaudie » Véronique Boudier – Ôlyrix
« Du solide plateau se distingue nettement le Sesto ardent, et très crédible physiquement, de Julie Robard-Gendre. Son mezzo, sombre et puissant, est capable des vocalises de « Parto, ma tu ben mio », comme des phrases suspendues de « Deh, per questo istante solo ». » Thierry Guyenne – Opéra Magazine
Hamlet (Ambroise Thomas) – Gertrude
Opéra de Rennes, 2019
« Julie Robard-Gendre, mémorable Carmen en 2017 à l’opéra de Rennes, campe une Gertrude solennelle et grave, autant Reine que mère, autant altière qu’inquiète face à son fils. Son timbre puissant, allié à sa naturelle élégance, est un atout qu’elle met en avant à chacune de ses interventions. » Laurent Kontzler – Unidivers
« Julie Robard-Gendre, quant à elle, marie une présence souveraine et une sensualité électrique qui résonnent tout particulièrement pour le public rennais qui avait salué sa remarquable Carmen. » Tania Bracq – Forum Opera
« Les couleurs sombres de la voix de Julie Robard-Gendre campent une reine altière, tragique. » Ouest France
Opéra Angers-Nantes, 2019
« Julie Robard-Gendre est une Gertrude majestueuse, tant sur le plan vocal que scénique. » »Laurent Bury – Forum Opéra
« La nantaise Julie Robard-Gendre (remarquée dans son rôle de Carmen à Rennes) campe la mère d’Hamlet, la Reine Gertrude. Sa silhouette longiligne, son port altier lui donne une allure majestueuse qui convient parfaitement au rôle. La puissance de son timbre de mezzo-soprano homogène sur l’ensemble de la tessiture teintée de nuances fauves se déploie avec aisance. Investie dans son jeu d’actrice, elle sait tout aussi bien être royale, cajoleuse, inquiète et elle impressionne particulièrement à l’acte III lors de la confrontation houleuse avec son fils. » Véronique Boudier – Olyrix
« Julie Robard-Gendre, altière Gertrude, aussi proche d’une fée de Lewis Carroll que d’une Lady Macbeth, témoigne d’une homogénéité sans faille, du suraigu aux graves sombres sans poitrinage excessif. » Patrice Henriot – Opéra Magazine
Die Zauberflöte – Zweite Dame
Opéra National de Paris, 2019
« Chiara Skerath, Julie Robard-Gendre et Élodie Méchain sont trois Dames de luxe, bien appareillées vocalement et synchronisées rythmiquement. La Première offre une voix pure et acidulée, une projection directe et un vibrato rapide. La Deuxième dispose d’un médium électrique à l’intense vibrato. La Troisième creuse la douce profondeur d’une contralto. » Damien Dutilleul – Olyrix
Les trois dames, dans l’ordre Chiara Skerath, Julie Robard-Gendre et Elodie Méchain, forment un trio de grande qualité, dont on apprécie l’heureuse complémentarité des voix. Espiègles et charmeuses, les femmes de main de la Reine de la Nuit amusent autant qu’elles n’impressionnent. » Quentin Laurens – Web théâtre
Cendrillon – Le Prince
Angers-Nantes Opéra, 2018
« La mezzo française est poignante dans l’expression de la mélancolie, et elle a belle allure quand l’amour triomphe. » Jean-Luc Macia – Opéra Magazine
« Insoupçonnable travesti, Julie Robard-Gendre confirme combien il est regrettable de confier le rôle du Prince à un ténor. Son mezzo-soprano sombre parvient à tracer son propre sillon dans ce jardin de voix féminines. » Christophe Rizoud – Forum Opéra
« En mezzo travestie, la nantaise Julie Robard-Gendre (qui a récemment chanté le rôle d’Orphée à Avignon, et de Ghita dans Le Nain à Lille) est un véritable Prince Charmant, onirique et sincère mais qui fournit également la gravité au drame, (nonobstant sa scène comique cachée sous la couette, en prince mélancolique isolé sur un piédestal en marbre). Sa voix peut passer d’un timbre sombre vers les couleurs de l’exaltation, les passages aigus sont dramatiques et excitants, restant bien intégrés à tout l’ambitus, son phrasé est particulièrement liquide et musical. » Paula Gaubert – Ôlyrix
« De plus, sa voix s’harmonise très bien avec celle, aux couleurs plus fauves, de Julie Robard-Gendre qui s’investit dans le rôle du Prince avec une fougue peu commune mais dont le chant reste admirablement contrôlé. » Vincent Deloge – ResMusica
« Cette Cendrillon est aimée par le Prince de Julie Robard-Gendre, mezzo plus sombre, idéalement androgyne, faisant passer dans la vibration charnelle de ses emportements un mélange de flamme et de lassitude assez irrésistible. » Emmanuel Dupuy – Diapasonmag
« Elle trouve dans la mezzo nantaise Julie Robard-Gendre – inoubliable Orphée ici-même il y a quelques saisons – une interprète d’exception : son timbre riche, allié à un étonnant pouvoir d’émotion, traduit idéalement le mal de vivre et les premiers émois du Prince. On retrouve alors la véritable identité d’un rôle en travesti que la seule intégrale discographique avait jadis préféré confier à un ténor. » Emmanuel Andrieu – Opéra Online
Les Huguenots – Dame d’honneur / Une bohémienne
Opéra national de Paris, 2018
« Julie Robard-Gendre (Dame d’honneur et Bohémienne) fait danser une voix épaisse et large de mezzo-soprano, parfois proche d’un contralto. » Damien Dutilleul – Ôlyrix
Nabucco – Fenena
Opéra de Toulon, 2018
« La Fenena de la mezzo-soprano Julie Robard-Gendre est d’excellente tenue et son «Oh, dischuiso è il firmamento» est justement applaudi. » Christian Dalzon – ConcertoNet
« En à peine quelques phrases, de sa voix large et sombre de mezzo et de son élégance physique, Julie Robard-Gendre campe une Fenena pleine de noblesse tragique déjà prête au sacrifice. »
Benito Pelerin – Classique News
« La jeune mezzo nantaise Julie Robard-Gendre fait sensation en Fenena, avec notamment son très beau legato. » Emmanuel Andrieu – Opera Online
Opéra de Nice, 2018
« Fenena est habitée par la mezzo française Julie Robard-Gendre. Les graves sont d’une pleine cire chaude. Son ruban vocal fusionne étrangement avec le timbre plus léger d’Ismaël. La résonance de poitrine entonne un chant de la terre, avant de gagner le ciel, avec le viatique de magnifiques pianissimi. Le timbre de jour est transfiguré en nuit éternelle. » Florence Lethurgez – Ôlyrix
« L’ouvrage devrait-il s’intituler Fenena ? Ou Zaccaria ? La voix riche, homogène, souple, timbrée sur toute sa tessiture, la musicalité, l’allure scénique de la mezzo française Julie Robard-Gendre, signent une réévaluation de la première : un personnage principal. » Patrice Henrot – Opéra Magazine
« Julie Robard-Gendre en Fenena semble être la plus belle artiste de la soirée, le meilleur alliage entre puissance et beauté d’une voix riche en harmoniques. Elle délivre en tout cas de magnifiques piani. »
Irma Foletti – Anaclase
Le Nain (Zemlinsky) – Ghita
Opéra de Rennes, 2018
« A l’égocentrisme de l’Infante répond l’empathie de sa suivante, Ghita, que Julie Robard-Gendre colore de toute la palette de son art. Velouté, sensualité d’une voix d’or sombre, franchise de l’émission, justesse de l’incarnation, elle complète magnifiquement le trio des protagonistes du drame.» Tania Bracq – ForumOpera
« Sa camériste, plus compatissante, est interprétée par Julie Robard-Gendre qui confirme ses atouts : grâce et intensité scéniques, chaleur du timbre et aisance vocale. » Vincent Deloge – ResMusica
« Très convaincant, il reçoit rapidement la réponse d’une excellente Julie Robard-Gendre, un peu surdimensionnée pour un si modeste emploi. Pas étonnant qu’elle soit notre coup de coeur vocal du jour, tant son assurance et sa prestation la situent au-dessus du lot. » Thierry Martin – Unidivers
« Très applaudie et appréciée du public rennais grâce à sa prestation de Carmen la saison précédente, Julie Robard-Gendre est une Ghita impressionnante. Sa voix de mezzo-soprano est puissante, bien projetée. Le timbre chaud avec son vibrato très perceptible, son phrasé très expressif donne un caractère noble et humain à son personnage, le seul qui exprime de la compassion. » Véronique Boudier – Olyrix
« Julie Robard-Gendre n’en a que plus de facilité à l’éclipser. On ne voit qu’elle. Déjà remarquée, ici à Rennes, dans le rôle-titre d’un Carmen mémorable, elle casse la baraque. Son duo avec Mathias Vidal devient le sommet inattendu de ce spectacle inégal. À l’évidence, les deux chanteurs s’apprécient et livrent là un très beau moment où, enfin, l’émotion affleure. » Olivier Pansieri – Les Trois Coups
Opéra de Lille, 2017
«Très applaudie, Julie Robard-Gendre est une Ghita magistrale (…) son timbre somptueux de mezzo fait merveille pour le seul personnage vraiment humain de cette cour d’Espagne. » Laurent Bury – Forum Opéra
« The best singing of the evening on November 18 came from Julie Robard-Gendre as Ghita, principal lady-in-waiting. With sure, penetrating mezzo timbre, Robrad-Gendre appealed for the humiliation of the dwarf to stop. Her final confrontation with Vidal’s broken man was the most moving moment of the evening; she expressed love and respect for the character as she passed him the white rose given to him by the Infanta. » Stephen J. Mudge – Operanews
« Sa camériste, Ghita, est interprétée par Julie Robard-Gendre à la voix noble et ample, au timbre chaud et profond, au vibrato fort et rond. » Damien Dutilleul – Ôlyrix
« Mention spéciale, aussi, à la voix exquise de Julie Robard-Gendre, dans le rôle de Ghita, une camériste. » Benjamin Duthoit – La Voix du Nord
« Julie Robard-Gendre traduit elle aussi avec justesse les hésitations de Ghita, entre empathie, curiosité et détachement, d’un timbre voluptueux riche d’autorité » Chantal Cazaux – L’Avant-Scène Opéra
« Julie Robard-Gendre assure une prestation plus magnétique, par le volume et le timbre. » Sébastien Foucart – ConcertoNet.com
Eugène Onéguine – Olga
Opéra Théâtre de Metz, 2018
«Julie Robard-Gendre croque une Olga onctueuse et opulente. » Yannick Boussaert – Forum Opéra
« La mezzo-soprano Julie Robard-Gendre est une longiligne et légère Olga. Lorsqu’elle s’amuse avec Tatiana ou Lenski, elle atteint les sons les plus aigus de sa tessiture et les achève dans un éclat, mi-rire, mi-chant, qui apporte encore davantage de clarté à sa voix. À la fois puissants et enjôleurs, ses graves prolongent vocalement le couple Lenski-Olga dans leur alliance avec les aigus du ténor Jonathan Boyd. » Céline Wadoux – Ôlyrix
« Julie Robard-Gendre est tout à fait à l’aise en Olga, et sa voix de mezzo permet le contraste qu’on attend entre les deux soeurs. » Christian Wasselin – Opéra Magazine
Opéra de Nice, 2017
« Julie Robard-Gendre est presque trop attirante pour le rôle de soeur […] Elle impose une Olga à la présence et à la voix aux graves splendides dont on ne peut que comprendre, à revers de l’intrigue, le pouvoir de séduction. » Florence Lethurgez – Ôlyrix
« Une mention spéciale à la lumineuse et attachante Olga de Julie Robard-Gendre qui met en valeur dans ce rôle la belle couleur mordorée de son chaleureux timbre de mezzo-soprano. » Christian Jarniat – MetaMag
« Quant à la mezzo nantaise Julie Robard-Gendre, elle campe une idéale Olga, bien mise en valeur par une mise en scène soucieuse de différencier clairement les deux sœurs dès leur entrée. » Emmanuel Andrieu – Opéra Online
« Le reste de la distribution n’appelle cependant que des éloges grâce à l’Olga tantôt espiègle, tantôt désolée de Julie Robard-Gendre. » Eric Forveille – Concertonet
« Les quatre rôles principaux sont sublimes dans leur commune volonté de retenir leur voix pour mieux les laisser éclater dans leurs morceaux de bravoure. Olga (Julie Robard-Gendre) est une contralto aux graves faciles, amples et chaleureux… » Agnès Freschel – Journal Zibeline
« Des deux soeurs, c’est l’Olga de Julie Robard-Gendre qui séduit le plus immédiatement. La voix se projette sans effort apparent et quelle noblesse, quelle beauté de timbre ! » François Jestin – Opéra Magazine
Orphée et Eurydice – Orphée
Opéra Grand Avignon, 2017
«On a cité la présence de Julie Robard-Gendre, toute gansée de noir et d’une belle élégance scénique, mais cette artiste est aussi un tempérament hors du commun. Son Orphée n’est ni lisse, ni élégiaque, même dans l’air «J’ai perdu mon Eurydice », pris par l’orchestre dans un tempo assez lent, ce qui lui donne un profil inédit de lamento. On a ici affaire à un personnage torturé, servi par un chant indompté, âpre, sauvage, avec des vocalises qui ne sont en rien des ornements, mais l’expression d’une rage peu contenue («Amour, viens rendre à mon âme»). La richesse du timbre de Julie Robard-Gendre est l’occasion non pas d’une leçon pure et parfaite (…) mais d’une incarnation violente. » Christian Wasselin – Opéra magazine
« Le mezzo Julie Robard-Gendre est visuellement crédible en Orphée, tout de noir vêtue, pantalon de cuir, grande silhouette d’allure androgyne, cheveux noirs coupés à mi-longueur. Le timbre est chaud, riche et rond, le registre médium est vigoureusement projeté. » Irma Foletti – Anaclase
«L’interprétation d’Orphée par la mezzo française Julie Robard-Gendre est remarquable. Sa voix nuancée se déploie avec aisance dans tous les registres entre la passion, le désespoir et la tendresse amoureuse. Elle joue de son corps souple et longiligne comme de sa voix et accapare la scène par sa spontanéité et sa fraîcheur. » Jean-Louis Blanc – Le Bruit du off tribune
« C’est un Orphée de rêve qu’incarne la nantaise Julie Robard-Gendre, qui porte le travesti avec une vérité troublante, sachant accorder sa démarche virile aux accents véhéments de son chant. Avec une voix qui a gagné en puissance et en mordant depuis une mémorable production dans sa ville natale, on continue d’admirer par ailleurs la franchise de son émission autant que ses inflexions pathétiques tant dans sa supplication aux portes des Enfers que dans sa célèbre plainte « J’ai perdu mon Eurydice ». » Emmanuel Andrieu – Opera Online
Nantes-Angers Opéra, 2012
«Julie Robard-Gendre, mezzo onctueux, d’une couleur splendide, affrontant sans sourciller ni faiblir le redoutable air écrit pour Pauline Viardot à la fin du I: le feu conquérant d’un Orphée appelé à retrouver celle qu’il aime, s’embrase avec une implication admirable. Et le fameux « j’ai perdu mon Eurydice », chant d’un amant détruit (après avoir perdu pour la deuxième fois son aîmée) trouve des nuances doloristes amples et des phrasés raffinés à rendre jalouse les plus grandes tragédiennes.» Alexandre Pham, classiquenews
« La jeune Julie Robard-Gendre séduit par son timbre charbonneux de mezzo-soprano et sa diction impeccable autant qu’elle convainc par son intensité expressive et son intelligence dramatique. Son Orphée parvient en effet à mêler le chagrin de l’époux à la fierté du héros bien décidé à défier les Enfers pour retrouver son Eurydice. » Philippe Venturini, Les Echos
« La distribution sert le compositeur avec grandeur. C’est un Orphée de rêve qu’incarne la nantaise Julie Robard-Gendre, qui porte le travesti avec une vérité troublante, sachant accorder sa démarche virile aux accents véhéments de son chant. » Emmanuel Andrieu – Concertonet
« Lauriers également pour Julie Robard-Gendre, Nantaise plutôt prophète en son pays dans l’éprouvant rôle d’Orphée. » Benoît Fauchet – Diapason
«Julie Robard-Gendre incarne en effet un Orphée éperdu dont la longue voix de mezzo-soprano restitue avec subtilité la variété des émotions» Philippe Venturini, Classica
Carmen – Rôle-titre
Opéra de Rennes, 2017
« Face à eux Julie Robard-Gendre incarne une Carmen qui évoque les actrices de Cinecittà, impériale, sensuelle, obstinée dans son aspiration à un désir libéré. Son interprétation bénéficie de graves veloutés et d’une mise en œuvre ciselée de la ligne vocale qui cassent le rythme habituel de ces phrases que tout le monde connaît par coeur : La mezzo s’est approprié la partition avec une grande intelligence. » Tania Bracq – Forum Opéra
« Il faut en effet désormais considérer la mezzo française comme l’une des plus convaincantes Carmen du moment. Sur scène, elle se signale par la silhouette longiligne, le port altier, le sourire carnassier et l’aisance des mouvements ; sûre de son irrésistible pouvoir de séduction, sa cigarière croque la vie avec sincérité sans se soucier de quiconque. La voix, parfaitement homogène sur l’ensemble de la tessiture et teintée de nuances fauves, se déploie avec aisance mais refuse l’effet et ne cède jamais à la vulgarité. Julie Robard-Gendre maîtrise le rôle sans la moindre chute de tension et nous ravit en particulier au deuxième acte, d’une chanson bohème très virtuose à un «Je vais danser en votre honneur » de grande classe. » Vincent Deloge – ResMusica
« Carmen dégaine aussi. Son poignard est un rouge à lèvres. Ce personnage par Julie Robard-Gendre est un superbe oxymore, attisant le désir par sa voix chaude pour mieux doucher, littéralement, les ardeurs. Les graves sonores rayonnent d’harmoniques aiguës vibrées. Ses lignes tenues misent autant sur l’intensité du mezza voce mezzo piano que sur les éclats sonores. Elle tire ses Tralalala en d’immenses langueurs indolentes, avant qu’ils ne s’envolent dans les volutes de cigarettes en des laïlaïlaï orientaux. Les trilles de sa Séguédille ont même le pouvoir magique de défaire ses liens de prisonnière. » Charles Arden – Ôlyrix
« Dans une mise en scène donnée à Saint-Gall et Tenerife, on assiste alors à un bon spectacle, bien chanté, notamment l’impressionnante Carmen de Julie Robard-Gendre dans le rôle-titre. […] Quant à Julie Robard-Gendre, elle trouve tout de suite ses marques dans le rôle-titre, et offre du personnage une vision brulante, aussi crédible scéniquement que vocalement, réussissant à la fois à renouveler les airs les plus connus de l’ouvrage par une prosodie travaillée et à insuffler une dimension tragique à son incarnation. » Laurent Vilarem – Opéra Online
Opéra de Reims, 2011
« La très jeune Julie Robard-Gendre impressionne par un physique troublant et singulier qui conviendrait à une héroïne de tragédie grecque (Electre ou Antigone) et par une sensualité inquiétante. Le timbre est beau et la diction souvent précise […].» Jérôme Presqué – ODB Opéra
« Débutant dans le rôle-titre, Julie Robard-Gendre impose sa sensualité troublante et son physique grave à l’aura sombre […] Le timbre est beau et la voix puissante […]. Des moyens conséquents et de toute beauté pour cette jeune mezzo.» Nicolas Grienenbreger – Classiquenews
La Princesse de Trébizonde (Offenbach) – Le Prince Raphaël
Opéra de Limoges, 2015
« Dans le rôle de Raphaël triomphe la mezzo Julie Robard-Gendre, dont le timbre chaud et la belle diction font merveille dans ce rôle travesti. Et quand on la voit interpréter l’air du mal de dents, on ne comprend vraiment pas pourquoi ce morceau n’a pas trouvé sa place au panthéon des grands « tubes » offenbachiens au même titre que la griserie de La Périchole. » Laurent Bury, Forum Opéra
Le Guitarrero (Halévy) – Zarah
Théâtre de la porte saint-Martin, 2015
« C’est au tour de l’admirable Julie Robard-Gendre de briller, avec un timbre chaud et un authentique talent de tragédienne, comme l’exige entre autres son grand air du dernier acte. Habillée comme une sainte martyre de Zurbaran, elle incarne avec fougue un personnage au fort tempérament, écrit pour une mezzo-soprano habituée aux exigences italiennes en matière de vocalisation. On ne manquera pas sa Belle-Hélène vichyssoise, ni son Raphaël de La Princesse de Trébizonde à Limoges ! » Laurent Bury, forumopera.com
La Belle-Hélène – Hélène
Opéra d’Avignon, 2014
« Enfin, la mezzo nantaise Julie Robard-Gendre – plusieurs fois applaudie par nous sur la scène de sa ville natale – mène le jeu, avec la distanciation qui s’impose entre son personnage réel et l’Hélène rêvée : son charme, son élégance et sa musicalité font tout simplement mouche dans ce rôle. » Emmanuel Andrieu, Opera Online
Opéra de Rennes, 2013
« Julie Robard-Gendre qui nous avait séduite à Nantes, en Orphée de Gluck, brille en Hélène, allure classieuse et sensuelle, timbre moelleux, avec un vrai don pour la comédie.Son air du II où « cascade la vertu » est d’un style parfait. » Jean-Luc Macia, Opéra-Magazine
« Julie Robard-Gendre campe une Hélène de grande classe, femme moderne, sûre de ses désirs lorsqu’elle fait passer à Pâris un véritable casting, lui demandant de se présenter face, profil et trois-quarts. Dans un XIXe siècle corseté au propre comme au figuré, La Belle Hélène propose un « hymne réjouissant à la liberté et à la sensualité féminine » et son interprète l’incarne avec panache et naturel. Sa voix est ronde, pleine d’aisance avec des graves moelleux. » Tania Bracq, forumopera.com
« Le premier air d’Hélène, Amours divins, nous permet de découvrir son interprète Julie Robard-Gendre (mezzo-soprano). Sa haute stature, son port altier, une allure qui fait parfois songer à la grande Irène Papas, conviennent bien à la majesté de la reine de Sparte. Le choix d’une mezzo-soprano pour interpréter ce rôle d’ordinaire confié à une soprano nous indique déjà qu’il sera moins léger qu’à l’habitude.
Julie Robard-Gendre donne une vraie profondeur au rôle d’Hélène qui est ici au bord de voir couronnés ses appels à l’amour du premier acte. … L’interprétation de Julie Robard-Gendre, sans cesser d’être légère et brillante, est ici particulièrement sensible et nuancée. » Jean-François Picaut, lestroiscoups.com
Rusalka – Kitchen Boy
Monte-Carlo, 2014
“Julie Robard-Gendre séduit par la pure beauté du chant de son Marmiton d’un relief inusuel,…“ François Lebel, Opéra Magazine
L’attaque du moulin (Bruneau) – Marceline
Bern, 2011
«In Bern nun verkörperte die junge Mezzosopranistin Julie Robard-Gendre die Rolle – und liess aufhorchen: Ihre samtene, ausdrucksstarke Stimme füllte den Raum, sie verfügte über ein reiches Spektrum an Farben und Schattierungen, ihre Anklagen gingen wahrlich unter die Haut. Eine Stimme von erlesener Schönheit und packender dramatischer Ausdruckskraft!» K. Sannemann, Oper-Aktuell
La Périchole – Rôle-titre
Opéra de Metz, 2010
«La chanteuse des rues est excellemment interprétée par Julie Robard-Gendre à qui ce rôle va à ravir. Elle possède une vraie présence sur scène et, au final, tout tourne autour d’elle. C’est encore elle qui porte la qualité musicale de ce spectacle.» Marion Weber, la plume culturelle