Critiques d’I Capuleti e i Montecchi

I Capuleti e i Montecchi – Liceu Barcelone

« Patrizia Ciofi fue la nueva Giulietta y fue la triunfadora popular de la representación. Esta soprano tiene una voz que no destaca por su calidad ni extensión, pero ella es siempre artista y tiene la rara habilidad de saber perfectamente transmitir emociones al público. A fin de cuentas es de lo que se trata en la ópera. »
Patrizia Ciofi était la nouvelle Giulietta et fut la triomphatrice de la représentation.Cette soprano a une voix qui ne ressort pas par sa qualité ni son extension, mais elle est toujours une artiste et a la rare habilité de savoir parfaitement transmettre les émotions au public. Au final c’est ça, l’opéra.
José M. Irurzun – Beckmesser

« Patrizia Ciofi lleva ya casi veinte años paseando su buen hacer por los escenarios de medio mundo. Su canto posee un singular magnetismo, que se impone seguramente por encima de las demás virtudes de su interpretación Lo que convence y maravilla en Ciofi es el concepto, muy por encima del material. […] El instrumento de Ciofi es como un junco flexible, que se deja mecer por el viento y que puede torcerse hasta el extremo sin que se rompa. Y así precisamente es también la melodía de Bellini, como un acordeón en miniatura que requiere una aquilatada mezcla de preciosismo y contemplación para que todo flote y el teatro entero se suspenda en una admiración constante. Ciofi encandila con un sonido dulce y fluido, de una rara fragilidad, ya desde el « Oh quante volte » y sobre todo bordando la escena del segundo acto, « Morte io non temo », cuando su sonambulismo parece fundirse en escena con la filigrana vocal, como si todo en ella se moviera en un arriesgado equilibrio. (…) Su voz (de Joyce DiDonato) se empasta a las mil maravillas con el de Ciofi, quedando sus duetti como las páginas más convincentes de toda la velada. »
Patrizia Ciofi a fait le tour des scènes du monde entier pendant près de vingt ans avec son savoir faire. Son chant est d’un magnétisme unique, qui prévaut assurément sur les autres qualités de son interprétation. Ce qui convainc et émerveille en Ciofi est le concept bien au-dessus du matériau […]. L’instrument de Ciofi est comme un jonc flexible, qui est battu par le vent et peut être tordu sans à la fin se rompre. Et c’est aussi précisément ainsi qu’est la mélodie de Bellini, comme un accordéon en miniature qui requiert un mélange équilibré de préciosité et de contemplation pour que tout flotte et que le théâtre entier soit suspendu dans une admiration constante. Ciofi éblouit avec un son doux et fluide, d’une rare fragilité, depuis le « Oh quante volte » et surtout brodant la scène du deuxième acte, « Morte io non temo », quand son somnambulisme paraît se fondre en scène avec le filigrane de sa voix, comme si tout en elle se mouvait en un équilibre audacieux. […]  La voix [de Joyce di Donato]  se mélange à merveille avec celle de Ciofi, les duos demeurant les pages les plus convaincantes de la soirée.
Alejandro Martínez – Platea Magazine

 

« Patrizia Ciofi ofreció una Giulietta muy emocional y en estilo »
Patrizia Ciofi a offert une Giulietta pleine d’émotion et de style.
Pablo Meléndez-Haddad – ABC

 

« En Giulietta, Patrizia Ciofi troba un paper ideal per mostrar les seves qualitats: una ciència belcantista de molts quirats, un art consumat del clarobscur, una capacitat encomiable per traduir tota la morbidezza de les melodies bellinianes i deixar-les surar de forma extàtica, una franquesa expressiva, com en el cas de la seva partenaire, digna d’agraïment. Es pot al·legar, en una i altra, un perceptible enduriment de l’agut, detall nimi davant la màgia desplegada en totes les seves escenes, en solitari com en duo, que culminen en un final excels. »
En Giulietta, Patrizia Ciofi trouve un rôle idéal pour montrer ses qualités : une grande connaissance du belcanto, un art consumé du clair-obscur, une capacité remarquable pour traduire toute la morbidezza des mélodies belliniennes et les laisser flotter de manière extatique, une expressivité franche, comme sa partenaire, digne d’éloges. On peut entendre, chez l’une et l’autre, un endurcissement perceptible de l’aigu, détail minime devant la magie se déroulant dans toutes ces scènes, en solo ou en duo, qui culmine en un final excellent.
Xavier Cester – ara.cat

 

«Saluons en premier lieu les performances de Joyce DiDonato et Patrizia Ciofi, remarquables à tous points de vue. […] Elle a pourtant livré une magnifique performance vocale et ses duos avec DiDonato étaient incontestablement les points forts de la soirée. » Xavier Pujol – Opera Online

 

« Patrizia Ciofi té una veu molt particular. És una bona Julieta i coneix molt bé l’estil belcantista i el paper i va estar totalment coordinada amb Joyce DiDonato en tot moment […] La seva Julieta és emocionant a nivell vocal. »
Patrizia Ciofi a une voix très particulière. C’est une bonne Juliette qui connaît fort bien le style belantiste et le rôle, et elle est en accord total avec Joyce DiDonato en tout moment. […] Sa Juliette est émouvante au niveau vocal.
Antoni Garcés –  Llegir en cas d’incendi

 



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