Yann Beuron – Press review

Les Contes d’Hoffmann

– Spalanzani

Teatro alla Scala, 2023

« Yann Beuron, de son côté, se fait l’interprète raffiné de cette musique qu’il a beaucoup pratiquée et incarne un Spalanzani de luxe. » Paul Fourier – Toute la Culture

« Yann Beuron, très en voix ce soir-là, est bien sûr le plus idiomatique » Stéphane Lelièvre – Première Loge Opéra

« On mentionnera pour terminer la courte mais convaincante prestation de Yann Beuron en Spalanzani. » Claudio Poloni – ConcertoNet

– The four Servants

 Opéra Bastille, 2016

« En écoutant Yann Beuron distiller magistralement les couplets de Frantz, on est pris de nostalgie – quel Pâris, quel Fritz de La Grande-duchesse il fut pour Marc Minkowski – et de crainte : l’Opéra de Paris n’a-t-il désormais rien de mieux à confier à cet artiste, qui fut pourtant Pylade ou Admète ? » Laurent Bury – Forumopera

« C’est ainsi que Yann Beuron, habitué aux premiers rôles sur les grandes scènes internationales, interprète les Quatre Valets qui ne lui offrent qu’un seul air. Il était pourtant au centre de notre curiosité et nous avait confié dans une passionnante interview son intention de différencier les quatre personnages en leur conférant des couleurs vocales et des émotions variées. Le pari est réussi puisqu’il figure parmi les chanteurs les plus applaudis malgré la modestie de ses rôles. Déjà, le premier, Andrès, parvient à faire rire malgré ses interventions monosyllabiques, grâce à un jeu appuyé. Le second, Cochenille, bigle et bègue, est plus drôle encore : cheveux gras, épaisses lunettes, démarche maladroite et sourire niais mais voix bien projetée chaque fois que la partition le permet. C’est avec le personnage de Frantz, le valet sourd, dont l’air fait partie des passages les plus connus de l’opéra, que le ténor cherche à émouvoir. Et en effet, malgré la grande dose de dérision que provoque le personnage, celui-ci se montre touchant. La prosodie du chanteur, qui fait parler le texte, n’y est pas pour rien. Le dernier, Pitichinaccio, avec ses longs cheveux blonds et son bouc de mousquetaire, présente une mine dédaigneuse. Les spectateurs les plus attentifs aux détails se plairont à entendre la voix si caractéristique de Yann Beuron dans le sextuor magnifiquement interprété de ce troisième acte. »  Damien Dutilleul – Olyrix

« Dans ses quatre rôles – Andrès, Cochenille, Frantz et Pitichinaccio – Yann Beuron est tout simplement génial. Son plaisir à jouer et chanter Offenbach est évident et très communicatif, particulièrement dans les couplets de Frantz. Il est bien dommage qu’il soit devenu si rare sur la scène de l’Opéra de Paris. »  Jean marc Piriou – Bachtrack

« Yann Beuron, ténor haut de gamme tant de fois applaudi, se coupe ici en quatre – personnages – pour imposer son jeu délié et sa voix lumineuse toujours prête à se parer d’ombres et de morsures. Son Frantz, le sourd, remporte la palme tant par son jeu au comique amer que par la clarté volontairement voilée de son timbre. »  Caroline Alexander – Webtheatre

« Yann Beuron veut-il, comme Michel Sénéchal jadis, se faire ténor de caractère, alors qu’il était il n’y a pas si longtemps l’Admète d’Alceste ? Rien ne l’en empêche : ses trois comiques sont impayables. » Didier Van Moere – ConcertoNet

« Prestations remarquées de Yann Beuron parfait dans les rôles d’Andrès, Cochenille, Pitichinaccio et surtout Frantz – une véritable leçon de style ! » Michel Le naour Concertclassic.com

« Heureusement, le reste de la distribution est conforme à ce qui était prévu, avec Yann Beuron, parfait vocalement et scéniquement dans les quatre rôles d’Andrès, Cochenille, Pitichinaccio et Frantz. » Alain duault – Opera Online

« Yann Beuron apporte à son quadruple emploi, une « inquiétante étrangeté » qui jamais ne sacrifie à l’ordinaire bouffonerie ; la sûreté de son chant, la justesse de son jeu, son tempo di minuetto démentiraient presque la maxime de Frantz (« Chanter n’est pas commode ! »). » Patrice Henriot –  Opéra Magazine

« Les performances d’un Yann Beuron, d’un Paul Gay et d’un François Lis ne passent pas inaperçues, surtout par rapport au premier, avec un art du langage délectable. » Sabino Pena Arcia – Classiquenews

« It was a pleasure to hear a largely French supporting cast using the language stylishly, with a special mention for four comic roles handled by Yann Beuron. » Stephen Mudge – Operanews

 

Barbe-Bleue (Offenbach) – Rôle-titre

Opéra de Lyon, 2019

« Le Barbe-Bleue de Yann Beuron qui paraît prendre un malin plaisir dans ce rôle décalé, entre sérieux et comique, légèreté et tragique, arroseur et arrosé. La voix est d’une ampleur impressionnante, le phrasé des plus agréables, et la ligne de chant claire pose un beau charisme pour ce personnage. Quant au jeu, il va sans dire qu’il est hautement à la hauteur de l’attente : inquiétant juste ce qu’il faut avant de redevenir plus léger et comique, sans jamais sombrer dans le ridicule. Difficile en réalité d’imaginer un meilleur Barbe-Bleue. » Elodie Martinez – Opera Online

« Yann Beuron est impérial dans cette composition, d’une aisance physique et vocale aussi sidérante qu’est limpide sa sculpture des mots, hissant le chant burlesque à la dignité de grand art. » Emmanuel Dupuy – Diapason Mag

« En grand seigneur méchant homme (il y a du Don Juan dans Barbe-Bleue), Yann Beuron fait merveille : méconnaissable avec sa superbe barbe, sa nuque rasée et son manteau de cuir noir, il donne au personnage une présence inquiétante et magnétique, que la beauté de la voix et de la diction rendent magistrale, dans le chant comme dans le texte parlé. Ce qui ne l’empêche pas de bondir et de danser avec une aisance surprenante lorsque, dans la salle où reposent, pense-t-il, les cadavres de ses femmes précédentes, et devant le corps apparemment sans vie de Boulotte, il s’imagine ses futures nouvelles épousailles (« Amours nouvelles, / Changer de belles… »). » Fabrice Malkani – Forum Opéra

« Yann Beuron incarne le rôle-titre avec la désinvolture et la gaieté nécessaires, doublées de sa charmeuse voix de ténor. » Philippe Venturini – Les Echos

 

 

Roméo et Juliette (Berlioz) – Roméo

Philharmonie de Paris 2019

« Yann Beuron interprète avec toutes les ressources de sa voix de ténor (timbre lumineux, qualité de l’engagement) le trop court scherzetto de la Reine Mab. » José Pons – Olyrix

Opéra National de Paris, 2018

« (…) la clarté d’élocution de Yann Beuron et de la basse Nicolas Cavallier permettent de suivre aisément le texte de leurs parties respectives. Même si le premier intervient peu, on retrouve avec plaisir sa voix au timbre lumineux et son investissement scénique remarquable, notamment quand il se joint à la danse. » Caroline Mounier-Vehier – Ôlyrix

Opéra National de Paris, 2009

« Yann Beuron se joue avec intelligence des irrégularités rythmiques du scherzetto de la reine Mab, et son timbre clair favorise une clarté appréciable dans la diction. » Gilles Charlassier – Concerto Net

 

Pinocchio – Deuxième escroc, le directeur de cabaret, le juge, premier meurtrier, le marchand d’ânes

CD, Cypres, 2018

« Yann Beuron chante les méchants, encore que la générosité du directeur de cabaret nous rappelle combien le compositeur aime ses personnages, si noirs puissent-ils être.» Yvan Beuvard – Forum Opéra

Festival d’Aix en Provence, 2017

« Yann Beuron et Julie Boulianne rivalisent, eux aussi, d’implication et de talent. » Cyril Mazin – Opéra Magazine

« Yann Beuron doit pour sa part endosser pas moins de cinq rôles (Stéphane Degout en a pour sa part quatre) : ceux du deuxième escroc, du directeur de cabaret, du juge, du premier meurtrier et du marchand d’ânes. Malgré ses multiples changements de vestes, il reste constant dans chacun d’eux, donnant à voir et à entendre des interprétations tout à fait satisfaisantes et investies. » Elodie Martinez – Opera Online

« Plus osé et élancé, le ténor Yann Beuron est tout particulièrement remarquable dans le rôle du Marchand d’ânes. » François Cavaillès – Anaclase

« Yann Beuron, excellent notamment en brigand, timbre clair, belle diction (indispensable dans ce travail) qui parodie Mignon d’Ambroise Thomas avec entrain et justesse » Guy Cherqui – Wanderer

« Yann Beuron et Vincent Le Texier ne déméritent pas, l’un dans la peau du directeur de cabaret ou du marchand d’ânes notamment, l’autre en incarnant un Geppetto bien trop absent et un maître d’école tout de même fort amusant. Leur présence scénique incontestable ne suffit pas à véritablement apprécier ce nouveau Pinocchio. » Charlotte Saulneron-Saadou – Res Musica

« Impeccables Yann Beuron (en de multiples rôles secondaires) et Julie Boulianne (en Chanteuse de cabaret et Mauvais élève). » Chantal Cazaux – L’Avant-Scène Opéra 

« Bien que moins sollicité par l’œuvre, Yann Beuron vise juste, lui aussi, en Deuxième escroc (savoureuse scène 7 avec son acolyte et le Pantin). » Alain Cochard –  Concert classic

« Le ténor français Yann Beuron est, tour à tour, Deuxième escroc, Directeur de cabaret, Juge, Premier meurtrier et Marchand d’ânes, figures contrastées auxquelles il donne généreusement sa voix de miel, tour à tour solaire et séductrice. » Florence Lethurgez –   Olyrix

Le Roi Carotte (Offenbach) – Fridolin

Opéra de Lille, 2018

« Yann Beuron retrouve aussi Fridolin et prouve une fois de plus que cet emploi princier lui convient à merveille. » Sébastien Foucart – ConcertoNet.com

«Si la distribution vocale est en partie renouvelée, le sémillant Yann Beuron – en superbe forme vocale – endosse à nouveau les habits de Fridolin XXIV, un personnage qu’il interprète de façon plus vraie que nature, fanfaron et niais certes, mais surtout fort attachant ! » Emmanuel Andrieu – Opera Online

«Mais si les personnages sont si réussis, ils le doivent aussi à leurs interprètes. Yann Beuron offre à Fridolin une présence scénique remarquable, un jeu engagé et une voix de ténor sonore et lumineuse. La qualité de sa projection et son articulation très nette permettent d’entendre et de comprendre aisément tous ses propos, qu’il parle ou qu’il chante. » Caroline Mounier – Vehier – Ôlyrix

«Yann Beuron, splendide Fridolin XXIV, au chant toujours timbré, compréhensible et bien projeté. » Guillaume Saintagne – Forum Opéra

« Yann Beuron fait valoir sa grande classe dans la déclamation théâtrale (…) beau timbre clair parfaitement projeté.» Florent Coudeyrat – ClassiqueNews.com

« Yann Beuron, Fridolin d’une aisance folle (…) »Pierre Cadars – Opéra Magazine

Opéra national de Lyon, 2015

« Et le plateau est au diapason, emmené par un Yann Beuron impeccable, Fridolin débordant de verve, fier de son clair ténor et de sa diction à se damner.  » Emmanuel Dupuy – Diapason Mag

« En tête d’affiche, Pelly retrouve l’un de ses fidèles interprètes, Yann Beuron. Le ténor, qui interprète le roi Fridolin, apporte toute sa gouaille au personnage, jouant chaque situation jusqu’au bout et portant à bout de bras nombre de situations comiques. Ses talents de comédien sont particulièrement appréciables dans cet opéra dans lequel les parties parlées sont conséquentes. Vocalement, il est également resplendissant, puissant quand il le faut, subtile si nécessaire (son duo avec Antoinette Dennefeld, « Vers ce gnome que j’abhorre » en est un bon exemple).  » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Le plateau est dominé par Yann Beuron, irrésistible d’abattage en souverain noceur et gaffeur.  » David Verdier – ResMusica

« Yann Beuron, ténor alerte et léger, idéal pour incarner le “petit” Fridolin  » Clément Rochefort – La Lettre du Musicien

« Yann Beuron donne au roi Fridolin XXIV l’équilibre d’une voix épanouie, dotée d’une belle projection et d’une diction parfaite, permettant de suivre le texte des airs autant que les passages parlés  » Fabrice Malkani – Forum Opéra

« Yann Beuron gibt einen agil jugendlichen Tenor » Sabine Weber – Die deutsche Bühne
Yann Beuron, ténor agile et juvénile

« Racé, admirable de diction, évoquant de plus en plus Nicolaï Gedda, Yann Beuron incarne Fridolin XXIV avec panache et vaillance. » Patrick Favre-Tissot-Bonvoisin, Lyon-Newsletter

« Yann Beuron (Fridolin), Chloé Briot (Rosée du Soir) et Antoinette Dennefeld (Cunégonde) dominent un plateau joyeux et bondissant » Antonio Mafra – Le Progrès

« Yann Beuron, impécable de style, de diction et de légèreté en Fridolin » Philippe Venturini – Les Echos

« En tête d’affiche, Pelly retrouve l’un de ses fidèles interprètes, Yann Beuron. Le ténor, qui interprète le roi Fridolin, apporte toute sa gouaille au personnage, jouant chaque situation jusqu’au bout et portant à bout de bras nombre de situations comiques. Ses talents de comédien sont particulièrement appréciables dans cet opéra dans lequel les parties parlées sont conséquentes. Vocalement, il est également resplendissant, puissant quand il le faut, subtile si nécessaire. » Damien Dutilleul – Olyrix

« Es ist auch einem erstklassigen Sängerensemble zu verdanken, der in Sachen Offenbach erfahrene Tenor Yann Beuron als Fridolin XXIV überzeugt » Dieter David Scholtz – Neue Musikzeitung
Il faut aussi remercier des chanteurs de première classe : expérimenté en matière d’Offenbach, le ténor Yann Beuron convainc en Fridolin XXIV.

« Les interprètes des rôles principaux sont à la hauteur de cette direction tonique. Yann Beuron (Fridolin) [a] particulièrement investi [son] personnage » Franck Giroud – Culturebox

« La distribution réunie (Beuron, Mortagne, Boulianne, Dennefeld) est impeccable et, comme il se doit, entièrement francophone. » Nicolas Blanmont – La Libre

« L’expérience dans le répertoire d’opérette et d’opéra dont dispose Yann Beuron, en plus de son timbre de ténor rond et puissant font de lui un choix […] parfait » Beate Langenbruch – Bachtrack

« Yann Beuron war mit frischem, unverbrauchtem Tenor der unbedarfte Fridolin, der durch seine Abentueur und Prüfungen zum starken Herrscher heranreifte. » Walter Nowotny – Online Merker
Avec son timbre frais et lumineux, Yann Beuron était le candide Fridolin, qui à travers ses aventures et ses épreuves devient un puissant souverain.

« Qui verrait-on d’autre en Fridolin que Yann Beuron, dont on attendait le retour en opérette ; le jeu et la projection de la voix font merveille. » Didier Roumilhac – Opérette

« Yann Beuron, impayable Fridolin. » Jean-Pierre Robert – L’Education musicale

« Pour cette recréation, il dispose d’un ensemble de chanteurs-comédiens qui savent bouger et parler, tout en restant bons musiciens. Tel est le cas, en premier lieu, de Yann Beuron qui, une fois encore quel ténor distingué il peut être, vif dans son jeu, raffiné dans son chant, traversant avec panache les situations les plus cocasses. » Pierre Cadars – Opéra Magazine

 

Recital – Fernand de La Tombelle Festival

Palazzetto Bru-Zane, Venice, 2017

« Dicevamo dell’adeguatezza degli interpreti: in effetti Yann Beuron si è rivelato – oltre che un cantante in possesso di una vocalità davvero ineccepibile, quanto a bellezza ed omogeneità timbrica, nonché dotato di uno spiccato senso delle sfumature – un fine dicitore di poesia, dal fraseggio scolpito e sempre aderente al testo, mentre Jeff Cohen lo ha accompagnato – com’è suo costume – con sensibilità e raffinatezza, talora evocando un’orchestra immaginaria. I due musicisti hanno saputo aderire con sensibilità e padronanza tecnica ai diversi temi, che caratterizzano i brani proposti: l’ineluttabile trascorrere del tempo in Le Livre de la vie di Latombelle, da Lamartine, e Pages d’amour (1912), una raccolta di sei poesie, scritte e musicate – in base a una salda architettura tonale – ancora da La Tombelle, costituenti un vero e proprio ciclo nel corpus delle opere di un compositore incline piuttosto alla pagina isolata: L’Ultime idole, Nuits d’amour, Sérénade, Retour, L’Apaisement, La Flambée. Di queste mélodies il tenore ha saputo rendere con giusto accento la sensualità delle immagini e le e usioni appassionate, che vi ricorrono e – come recitano, in particolare alcuni versi de La Flambée – scaldano “i tetri inverni”, trasformandoli in un’eterna primavera. Analogamente espressiva l’interpretazione delle mélodies d’altri autori in programma per questo concerto: Le Soir di Lamartine (musicata da Gounod e datata 1840); Rêverie, La Cloche e L’Enlèvement di Victor Hugo (Saint-Saëns, rispettivamente: 1851, 1856, 1866); C’est l’extase, En sourdine e Prison di Verlaine (Gabriel Fauré, rispettivamente:1891, 1891 e 1894, in cui i compositori a nano la loro arte lirica, adattandola nel contempo all’intimismo dei salotti. Più appassionato il Madrigal de Shylock, tratto dalle musiche di scena composte da Fauré per lo Shylock di Edmond Haraucourt (1889). Successo pieno e caloroso. Tre fuoriprogramma: Offrande di Reynaldo Hahn, da Verlaine, e due romanze di Francesco Paolo Tosti, un autore particolarmente amato da Yann Beuron (Chanson d’adieu e “Il pescatore canta”).  » Roberto Campanella – GBOpera

« I due artisti impegnati, Yann Beuron, tenore, e Jeff Cohen, pianista, sono gli artefici dell’esecuzione di alto livello. L’intesa è palpabile e basata sulla spiccata sensibilità interpretativa d’entrambi. Beuron è in possesso di una vocalità solida che riesce a piegare a propria discrezione in mezzevoci sorvegliate, florilegi dinamici accurati e fraseggio elegante. Raramente capita di ascoltare una tale musicalità al servizio del repertorio cameristico, affrontato con dovizia di dettagli e attenzione alle esigenze autoriali.  »

 

Songs with orchestra by Saint-Saëns

Orchestra della Svizzera italiana (CD, Alpha), 2017

« Dass die Musik mitunter förmlich narkotisiert, dankt man auch dem lyrisch-eleganten Terrorschwung von Yann Beuron  » Christoph Zimmermann – Fono Forum

« Que ce soit pour le ténor français Yann Beuron ou le baryton grec Tassis Christoyannis, la diction est parfaitement limpide et superbement utilisée pour donner du relief aux différents poèmes. Mais c’est le travail de Yann Beuron qui emporte totalement notre adhésion. Le ténor est tour à tour délicat dans l’envol des Papillons ou ardent dans L’enlèvement. Sa tessiture est d’une uniformité exemplaire, les demis-teintes sont maîtrisées et assumées ; autant d’éléments qui nous font penser qu’il serait bon de mettre plus en avant ce magnifique chanteur. » Frédéric Degroote – AgoraVox

« Yann Beuron und Tassis Christoyannis sind ideale Interpreten für Saint-Saëns’ spröden Stil. Sie erfassen die Melodie ganz aus dem Wort, deklamieren aufs Genaueste und vermitteln doch mit ihren Stimmen die für die französische mélodie so essenzielle Leichtigkeit der Tongebung und Eleganz der Artikulation. Neuron mit seinem bis in die Kopfstimme mühelos ansprechenden Tenor, dem die eher lyrischen Stücke zufallen, steht, wenn nötig, auch ironische Lichter » Uwe Schweikert – Opernwelt

 

 

 

L’Heure espagnole – Gonzalve

Amphithéâtre, Orchestre National Bordeaux Aquitaine, 2016

« Le lyrisme de Yann Beuron sait à la fois multi plier les métaphores et éviter de surchanter pour suggérer qu’à défaut d’être vieux, le bachelier Gonzalve n’est pas vif ; la préciosité n’est ni ajoutée, ni caricaturée, elle émane du phrasé. » Patrice Henriot – Opéra Magazine

Teatro alla Scala de Milan, 2016

« Dans le rôle de Gonzalve, l’excellent Yann Beuron retrouve Laurent Pelly après Le Roi Carotte de Lyon (qui vient par ailleurs d’être récompensé aux Opéra Awards), mais également ce rôle qu’il avait déjà interprété dans cette mise en scène en 2004 à Paris. Il fait de ce Gonzalve un personnage risible dans son obsession des vers qui lui permet au passage de faire entendre une voix toujours aussi agréable et une prononciation an accord avec celle de sa partenaire. » Elodie Martinez – Toute la Culture

« Yann Beuron (Gonzalve) laisse entendre des voix magnifiques, ce dernier se révélant en outre un très bon acteur accoutré en drôle de hippie. » Raffaele Mellace – Opera Online

Royal Opera House, 2009

« Yann Beuron, as ever, was a superb Gonzalve, dressed hideously in orange shirt, flares and Jarvis Cocker glasses, his nerdy tenor making the most of the pretentious would be poet. » Barnaby Rayfield – www.concertonet.com

« The hapless poet, Gonzalve, is sung by the French tenor, Yann Beuron, whose warm, passionate tone conjures a suitably dreamy air » Claire Seymour – Opera Today

 

Récital – L’Instant Lyrique

L’Eléphant Paname, 2016

«La quatrième saison de “L’Instant Lyrique” s’ouvre par une soirée hors des sentiers battus, tout entière consacrée à la mélodie française, et à des sommets très rarement visités de celle-ci, par deux artistes exemplaires dans le même approfondissement de la simplicité. […] Ici, chanteur et pianiste concourent à une même élévation.

Le cycle de neuf mélodies Tel jour telle nuit, sur des poèmes d’Eluard, créé e 1937 par Pierre Bernac, révèle le Poulenc grave dont la déroutante prosodie exige une diction parfaite et la sinuosité des phrases, un souffle à toute épreuve. À toutes brides, dans un tempo enfiévré, Figure de force brûlante et farouche, témoignent d’un véritable pouvoir de vision. Le récital se prolonge par trois bis judicieusement appariés : Bleuet de Poulenc, pudique et poignant, évoque le jeune homme qui “connaît mieux la mort que la vie”. Offrande de Reynaldo Hahn vient rappeler la présence en filigrane ce soir, de celui qui a rendu illustres la Prison verlainienne et la Rêverie hugolienne. C, sur le poème d’Aragon est assurément simplicissime et linéaire. Il faut une maîtrise absolue pour en restituer l’immense nostalgie.

Ténor noble (selon l’ancienne appellation signifiant legato et dignité de la diction), voué à l’opéra classique (Gluck) et à l’oratorio moderne (L’Enfance du ChristJeanne d’arc au bûcher), Yann Beuron est assurément […] “l’ambassadeur de la mélodie française” » Patrice Henriot – Opéra Magazine

 

Un dîner avec Jacques (concert)

Auditorium du musée d’Orsay, 2016

« Un trio de lascars qui ne s’en laissent pas conter, excellents chanteurs et formidables comédiens. Déchaînés, Yann BeuronActeur en superbe voix, Jean-Sébastien Bou […] et Franck Leguérinel. » Michel Parouty – Opéra Magazine

 

Spontini – La Vestale

La Monnaie, 2015

« Yann Beuron and Dran set the scene by giving us pin sharp diction, Beuron singing the hero’s part with a warm, open tone. » David Karlin – Bachtrack

« Dans sa partie masculine, la distribution est fort satisfaisante : Yann Beuron campe un Lucinius solide et cohérent à la diction claire servie par une voix bien timbrée. »  Claude Jottrant – Forumopera

« Le ténor Yann Beuron (Licinus), grande classe vocale, musicale et théâtrale. » Martine D. Mergeay – La Libre

« Licinius (Yann Beuron) est émouvant et juste. » Thibaut Radomme – Ruedutheatre

« Yann Beuron – qui nous a accordé un entretien à l’occasion de sa prestation bruxelloise – est idéal dans le rôle de Lucinius, par la conjonction d’une diction parfaite et d’une louable sûreté de projection. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Yann Beuron trouve en Licinius un emploi à sa mesure et confirme la place importante qu’il occupe parmi les chanteurs français actuels. Ce ténor infaillible signe une composition d’une grande justesse » Sébastien Foucart – ConcertoNet

« Yann Beuron, dans le rôle de Licinus a des tempos justes et chaleureux, des phrasés éloquents, une puissance romaine naturelle, dépouillée de toute mièvrerie, une ardeur de guerrier et d’amant passionné. Il célèbre également la vraie amitié et l’amour vrai qu’il éprouve pour sa Julia : « Je vis pour défendre ses jours ! »  Il s’offre héroïquement pour la sauver tandis qu’elle a choisi de crier en  vestale de l’amour, sa liberté dernière : celle de marcher avec fierté vers la mort et de taire le nom de celui qu’elle aime. De bouc émissaire elle devient martyre glorieuse.   Leurs duos sonnent juste et touchent les coeurs. »  Deashelle – Arts et Lettres

« Une mention spéciale pour Yann Beuron, excpetionellement incisif et expressif (…) qui possède aujourd’hui les moyens exacts de Licinius, avec une voix ayant gagné en projection et en résonance dans le bas du registre, très sollicité dans ce rôle parfois plus proche du baryton que du ténor. L’aigu n’a rien perdu de sa lumière et le phrasé impresionne par son intensité et son absence d’affectation. Impossible de trouver mieux aujourd’hui pour la « tragédie lyrique » à la française dont la Vestale constitue l’un des ultimes accomplissements ! » Richard Martet – Opéra Magazine

« Rien à dire sur l’énergie convaincante du Cinna de Julien Dran, ni sur le Licinius de Yann Beuron, dont la grande scène au début de l’acte III se révéla un modèle d’action dramatique, et un des plus forts moments du spectacle. » Bruno Peeters – Crescendo Magazine

 

Au Monde – Le Mari

Opéra Comique, 2015

« son ambitieux mari offre à Yann Beuron l’une de ses meilleures incarnations. » François Lesueur – www.concertclassic.com

« Les voix sont droites, précises, timbrées. Celle de Yann Beuron, au mieux de sa forme, y prend la résolution de son personnage avec l’intelligence de l’homme qu’il incarne. » Claude Helleu – Altamusica

Bruxelles Théâtre de la Monnaie, 2014

« Fflur Wyn as the youngest sister and Yann Beuron as the son-in-law are both excellent. » Francis Carlin – Financial Times

« Les exigences requises pour Ori et le mari de la fille aînée se situent, de toute évidence, en deçà des capacités de Stéphane Degout et Yann Beuron, qui livrent chacun une remarquable prestation. » Sébastien Foucart – Concertonet

« Dans un personnage tout aussi intéressant, Yann Beuron saisit au vol la moindre inflexion, s’imprègne et s’infiltre dans cette famille, pour mieux en prendre les rênes. » François Lesueur – Concertclassic

 

Uthal (Méhul) – Rôle-titre

Opéra Royal de Versailles, 2015

« Une distribution vocale remarquable, largement dominée par Karine Deshayes et Yann Beuron. » Rémy Stricker – Opéra Magazine

« Nel ruolo virilmente lirico di Uthal troviamo la bella voce baritonale e la nobile linea di canto di Yann Beuron » Giordano Cavagnino – GBOpera

 

Pelléas et Mélisande – Pelléas

Bruxelles Théâtre de la Monnaie, 2013

« Au contrôle absolu de Stéphane Degout, qui réitère, plus clair, moins large et opératique donc qu’à la Bastille, son inégalable leçon de chant français, Yann Beuron oppose des élans plus spontanés, une fragilité aussi, jusque dans l’aigu de son ténor assombri, et un verbe plus naturel et frémissant. » Mehdi Mahdavi – Altamusica

 

Madrid Teatro Real, 2011

« su timbre de tenor francés era precioso y perfecto para el papel. » Mikel Chamizo – www.mundoclasico.com

« Yann Beuron ha interpretato un Pelléas apparentemente innocente, anche ingenuo, mostrando una voce estremamente duttile in grado di valorizzare ogni situazione e stato d’animo. » Mercedes Rodriguez – GBOpera

« Yann Beuron, délicat, lyrique, presque léger, est un Pelléas plus « garçon » que d’habitude, un choix légitime lorsqu’on a ses qualités vocales. » Santiago Martín Bermúdez – www.concertonet.com

 

Alceste – Admète

Opéra National de Paris, 2013

« Admète tombe en revanche sans un pli sur les épaules de Yann Beuron, modèle de déclamation nourrie par un timbre en gloire et une projection de javelot. » Emmanuel Dupuy – Diapason

« Fortunately, tenor Yann Beuron brought his warm, baritonal timbre, exemplary diction and stylish singing to the role and scored the biggest success of the evening. » Stephen J. Mudge – Opera News

« On aura rarement vu (…) un Admète aussi subtil, aussi élégant, aussi naturel que Yann Beuron dont le chant noble, les longues phrases pleines de mots clairs et de lignes fluides attestent qu’un certain idéal du chant selon Gluck est demeuré à Paris à travers les âges. » Jean-Charles Hoffelé – www.concertclassic.com

« Roberto Alagna aurait dû être Admète, mais comment regretter un instant son désistement lorsqu’on voit et entend ce que fait Yann Beuron dans ce rôle, lui qui a si souvent interprété Pylade dans Iphigénie en Tauride ? Tout est là, le style, le raffinement joint à l’expressivité, et sa prestation remporte un triomphe mérité. » Laurent Bury – Forumopera

« Le grand triomphateur de la soirée est assurément Yann Beuron. Désigné à la suite de la défection de Roberto Alagna, le ténor impose un Admète qui a appris auprès de Pelléas ce que le mot « distinction » signifie. La projection est splendide et la couleur rayonnante. » David Verdier – Anaclase

« Le phrasé inspiré, l’élocution parfaite, la musicalité de Yann Beuron sont, comme toujours, des modèles ; son Admète est digne, noble, émouvant. » Michel Parouty – Opéra Magazine

« Yann Beuron qui enfile les tenues et les grands airs du roi, offre [à Admète] la grâce et l’énergie d’une voix toute en finesse et raffinement. » Caroline Alexander – www.webtheatre.fr

 

Recitals

Hommage à Guillaume Apollinaire, Amphithéâtre Bastille, 2013

« Yann Beuron, comme à l’opéra, y incarne l’essence du style français. Juste dosage entre le chant et la déclamation, articulation affûtée, subtilité ne se muant jamais en mièvrerie : le ténor restitue tout un art que peu, malheureusement, perpétuent à ce degré d’excellence. Mais ce qu’on admire davantage encore, c’est la maîtrise du souffle et de l’émission, qui rendent incomparable « Fagnes de Wallonie », la troisième des Banalités : les longues phrases vont de soi, parfois murmurées dans un infime pianissimo, comme dans « Tombeau dans un parc » de Barber ou « C » de Poulenc. » Didier van Moere – ConcertoNet

Amphithéâtre Bastille, 2012

« Diseur autant que chanteur, artisan autant qu’artiste, Yann Beuron est un interprète que les mélomanes français se doivent de chérir. Et d’autant plus que sa carrière s’épanouit harmonieusement sans besoin de tapage médiatique. Son instrument vocal, on sent qu’il le respecte, le protège, le polit. Avec la maturité, il a su conserver la clarté et la jeunesse du timbre propres à la tessiture de ténor lyrique léger qui est la sienne. Cela ne l’a pas empêché d’approfondir, d’embellir les graves, de rendre encore plus délicats les pianissimi et d’autoriser à la voix centrale un peu de raucité dans le cri qui le rend plus émouvant. Bien des instants de grâce se sont succédés. Gabriel Fauré et Claude Debussy ont l’un et l’autre exalté le chant du rossignol qui achève le poème de Verlaine En sourdine. La musique de Francis Poulenc a magnifié l’art poétique de Paul Éluard. Les Cinq poèmes de Charles Baudelaire ont jailli avec leur mystérieuse force intérieure ; en particulier le sublime Recueillement dans lequel le poète exhorte sa douleur à la sagesse avant de s’enfoncer avec elle dans « une douce Nuit qui marche ». » Brigitte Cormier – Forumopera

« Pourquoi Yann Beuron se fait-il si rare sur nos scènes ? Trop modeste, trop exigeant, trop perfectionniste ? Il dispose pourtant d’atouts précieux. La projection vocale est parfaite, la clarté, la vitalité du timbre sont sans rivales. Combien sont-ils à placer avec cette franchise et cette délicatesse, à donner à chaque mot ses contours, son juste poids et sa lumière – tout ce qu’une fréquentation régulière de Mozart peut apporter à un artiste ? Combien peuvent passer sans effort d’un forte conquérant à un pianissimo quasi impalpable ?
Avec les années, la voix du ténor français s’est élargie, a pris du corps ; et si l’aigu ne se libère pas toujours complètement, la faute en revient probablement au trac, mais qui resterait de marbre face à un programme aussi difficile ? Fauré, Poulenc, Debussy, mais aussi Verlaine, Éluard, Baudelaire : autant de pages qui comptent dans l’histoire de la mélodie française, transcendées par une interprétation sincère et chaleureuse, d’un style et d’un goût irréprochables.
Les couleurs varient d’un poème à l’autre : lumineuses et irisées pour les Cinq mélodies de Venise de Fauré ou les Fêtes galantes de Debussy, animant de leurs contrastes le pur chef-d’œuvre qu’est Tel jour, telle nuit de Poulenc, sensuelles et sombres dans les Cinq poèmes de Baudelaire, magnifique union de l’art du poète et de celui du compositeur.
Mathieu Pordoy l’accompagne avec tact et finesse, mais on dirait qu’une certaine timidité empêche son jeu de s’épanouir pleinement. Heureux d’entendre un Amphithéâtre Bastille plein à craquer lui manifester son affection. Yann Beuron se lâche dans un dernier bis, un Satie délirant, Allons-y Chochotte. Qu’espérer, sinon le revoir souvent ? » Michel Parouty – Opéra Magazine

Le Salon de Marguerite de Saint Marceaux – Paris (Musée d’Orsay), 2011

« [Yann Beuron], surtout, rappelle à chaque seconde le magnifique artiste qu’il est : la voix semble avoir gagné de la rondeur et de l’assise dans le grave sans avoir rien perdu de la clarté juvénile qui, à l’origine, en faisait tout le prix. La ligne de chant, impeccablement maîtrisée, est de celles qui donnent à l’auditeur une confondante impression de facilité–qualité rare des plus grands, et qui fait merveille chez Fauré. Le diseur, surtout, se fait véritablement poète, le temps d’un « Rêve » debussyste ou d’un « Martin-pêcheur » ravélien hors du temps. » Clément Taillia – Forumopera

 

Iphigénie en Tauride, Pylade

Amsterdam DNO, 2011

« Yann Beuron a lui aussi mûri et livre une interprétation exemplaire de style. » Laurent Bury – Forumopera

Opéra National de Paris, 2008

« Nous savions ce que nous pouvions attendre du Pylade Yann Beuron, déjà parfait en 2006 : le revoici tel qu’en lui-même, magnifique dans ce rôle meurtrier pour l’aigu et le passage, à peine moins souple d’émission depuis que la voix s’est corsée, incarnant lui aussi avec éclat le grand style français. » Didier von Moere – www.concertonet.com

 

Roméo et Juliette (Berlioz)

Opéra National de Paris, 2009

« Yann Beuron se joue avec intelligence des irrégularités rythmiques du scherzetto de la reine Mab, et son timbre clair favorise une clarté appréciable dans la diction. » Gilles Charlassier – www.concertonet.com

 

Idomeneo – Idamante

Festival d’Aix en Provence, 2009

« [La Voix] de Yann Beuron, Idamante fait ténor pour « rendre plus sensible le rapport père-fils », nous vaut le moment le plus intense de la soirée, un « Non temer amato bene » en état de grâce. Et bien plus encore, un prince, sanglé dans une latinité qui n’est pas vraiment sienne (…) mais à l’élégance suprême avec une utilisation habile de la technique, poitrine ou mixte, pour distinguer le fils de l’amant et des sons raffinés à l’extrême dont on avait, depuis Léopold Simoneau, oublié la douceur. » Christophe Rizoud – Forumopera

« Yann Beuron convainc: son Idamante est touchant et sincère. » Christian Dalzon – www.concertonet.com

 

Platée – Mercure

Opéra National de Paris, 2009

« Yann Beuron, au look de rocker argenté de la tête aux pieds, affiche le même naturel. La voix est belle, souple, l’émission claire et la diction parfaite. » Anne Le Nabour – Forumopera

« Yann Beuron, heureusement, sauve l’honneur des voix aiguës, Mercure rocker d’anthologie, d’une suprême élégance. » Didier de Moere – www.concertonet.com

« Yann Beuron, dont on adore le timbre chaleureux et l’allure de rocker de pacotille en Mercure » Carlos Tinoco – www.classiqueinfo.com

 

L’Enfance du Christ – Le Récitant

Sweedish Radio Symphony

« Yann Beuron here has warmth and vivid drama. » Nicholas Kenuon – The Guardian

« Yann Beuron reste fidèle à lui-même : clair de ligne et de timbre, d’une intelligibilité irréprochable, il propose un récitant en tous points parfait. » Dominique Joucken – Forumopera

 



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