Patrick Bolleire – Press review

L’Africaine (Meyerbeer) – Don Pedro

Opéra de Marseille, 2023

« Puissant et arrogant Don Pedro, l’immense et sépulcral Patrick Bolleire, rival du héros en amour, émule en navigation. » Benito Pelegrin – Chroniques

« Patrick Bolleire, dans le difficile rôle du Portugais borné, imbu de lui-même et tricheur sans scrupules, mais la musicalité est impeccable comme de coutume. » Maurice Salles – Forum Opéra

« Patrick Bolleire est comme toujours impeccable » Raphaël Pisano – ODBOpéra

« Patrick Bolleire semble épanoui en Don Pedro. Meyerbeer lui confie certaines de ses plus belles pages et il les sert d’une voix d’ébène, large et très ouverte. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

 

Dialogues des Carmélites – Marquis de la Force

Opéra royal de Wallonie-Liège, 2023

« La distribution masculine n’est pas en reste. Patrick Bolleire, déjà bien connu de la scène mosane, à la voix puissante et lustrale, donne du Marquis de La Force une stature à la fois inquiète et un rien monolithique, exacte représentation d’une noblesse en perdition aux premières heures révolutionnaires. » Benedict Hévry – ResMusica

« Durant sa courte intervention en Marquis de la Force, Patrick Bolleire, déploie un sens exquis du récitatif mélodique propre à Poulenc. » Vincent Borel – Concert Classic

« Cantonné au premier tableau du premier acte, Patrick Bolleire trouve dans le marquis de La Force un rôle qui convient idéalement à son physique bonhomme comme à sa voix grave et sonore. Impayable dans sa robe de mamamouchi, il est un vieil aristocrate désabusé de l’existence et prisonnier de sa routine : sa sieste, sa pipe et son fauteuil sont tout son horizon et l’annonce de la clôture de sa fille est comme un grain de sable qui vient déranger ses habitudes. Vocalement, le récit de la mort de sa femme ne lui pose aucune difficulté : l’artiste s’y révèle excellent conteur, capable de notes graves mais intelligibles comme d’aigus claironnants à la fin de la réplique « une vitre vole en éclats ». »

« De bons chanteurs endossent les rôles masculins, avec une valeur sûre, Patrick Bolleire, irréprochable en Marquis de la Force » Sébastien Foucart – ConcertoNet

 

Falstaff – Pistola

Opéra de Nice, 2023

« Le duo de domestiques de Falstaff se montre virtuose dans l’art du retournement de veste. Le personnage Bardolfo du ténor Vincent Ordonneau, bien déluré, s’articule étroitement à celui du Pistola de la basse Patrick Bolleire, bien déclamante. » Florence Lethurgez – Ôlyrix

« Pistola de luxe de Patrick Bolleire » Didien van Moere – Diapason

« Thomas Morris, Vincent Ordonneau et Patrick Bolleire sont des comprimari impeccables. » Romaric Hubert – Première Loge Opéra

« Excellents, également, le Docteur Caïus rageur de Thomas Morris et le duo de serviteurs opportunistes, que campent un Vincent Ordonneau (Bardolfo) et un Patrick Bolleire (Pistola) très en voix. » Emmanuel Andrieu – ConcertoNet

Opéra de Monte-Carlo, 2019

« Les deux compères Rodolphe Briand (Bardolfo) et Patrick Bolleire (Pistola) marquent les esprits par leur précision rythmique et leur énergie constante. » Manon Décrois – Bachtrack

 

Pelléas et Mélisande – Arkel

Opéra de Lille, 2023

« Patrick Bolleire est un Arkel sensible, aux graves profonds mais lumineux et aux aigus solides. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Très bien distribué également, l’Arkel de Patrick Bolleire apporte, par sa grande taille, son port majestueux et sa voix profonde, toute la noblesse qui sied au rôle, celui à qui l’on doit le peu d’explication que Maeterlinck veut bien donner à son lecteur. » Claude Jottrand – Forum Opéra

« Patrick Bolleire, voix de bronze et de velours mêlés, très sonore et projetée […] Au cinquième acte cependant, qui lui offre plus à chanter, son timbre soyeux se pare d’une sombre et fascinante lumière dans le haut médium, qui irradie de plus en plus à mesure que le personnage, lui, sent l’action lui échapper, et donne ainsi une touche très personnelle à son incarnation de roi à la démarche hésitante. » Philippe Manoli – Toute la Culture

« Le reste du plateau vocal s′inscrit avec la même homogénéité dans cette élégance : on admire […] la noblesse poignante aux intonations fatalistes de Patrick Bolleire en Arkel. » Pierre Brévignon – Première Loge Opéra

« De son côté, Patrick Bolleire (à la place de Jean Teitgen, lors de la captation vidéo) offre sa voix d’airain et la noblesse de son phrasé, en même temps qu’une profonde humanité à son personnage. » Emmanuel Andrieu – Classique News

« Patrick Bolleire crée un Arkel idéal dans sa sensibilité constante » Romaric Gergorin – Classica

 

L’Amour des trois oranges – La Cuisinière

Opéra national de Lorraine, 2022

« la Cuisinière aux vrais graves de basse de Patrick Bolleire » Didier Van Moere – Diapason

« La basse Patrick Bolleire campe une réjouissante et truculente Cuisinière. Sa taille immense est rendue plus impressionnante encore par la largeur de la robe jaune qu’il arbore (et ayant nécessité le travail d’une carcassière pour en construire la structure). Sa voix tonnante et profonde sert un jeu dont le chanteur prend plaisir à accentuer le comique par ses moues et ses postures. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Gigantesque, Patrick Bolleire incarne à merveille l’ogresse cuisinière, stupide » Yvan Beuvard – Forum Opéra

« une Cuisinière (rôle travesti) truculente et parfaitement incarnée par Patrick Bolleire » Marc Portehaut – Classicagenda

« Patrick Bolleire a toute la noirceur des graves nécessaires à souligner le contraste entre le plumage et le ramage de la Cuisinière. » Laurent Bury – Concert Classic

« Patrick Bolleire délivre un numéro de drôlerie complète en Cuisinière, qu’un timbre de diamant éblouit d’éclats amoureux. » Thibault Vicq – Opera Online

« Comment, enfin, passer sous silence le numéro très attendu de Patrick Bolleire ? Nous ne sommes vraiment pas déçus par sa savoureuse et grotesque Cuisinière, armée de sa louche géante. » Sébastien Foucart – ConcertoNet

 

Faust – Méphistophélès

Festival d’opéra de Québec, 2022

« L’imposant Méphistophélès de Patrick Bolleire domine la scène avec les multiples facettes de son jeu et de ses ressources vocales. Démoniaque à souhait dans la chanson du veau d’or, tandis que le vin descend l’escalier comme une immense coulée de lave, il est redoutable avec Marguerite lors de la scène de l’église (acte IV), et drôle dans son duo avec Marthe. » Irène Brisson – Revue L’Opéra

« Patrick Bolleire personnifie avec beaucoup d’aplomb le personnage de Méphistophélès dans la production Faust présentée au Festival d’opéra de Québec. Le Satan de Patrick Bolleire est imposant vocalement et solide côté jeu. Il est très expressif corporellement et avec ses mouvements de bras. » Yves Leclerc – Le Journal de Québec

« Patrick Bolleire est tellement Mephisto qu’on se demande ce qu’il fait dans la vie à ses heures perdues. Il ne surjoue jamais et incarne un diable fielleux très en contrôle. » Christophe Huss – Le Devoir 

« D’un naturel confondant et ne versant jamais dans la caricature, Patrick Bolleire incarne pour sa part un Méphisto qui, non content de se rire des difficultés de la ronde du veau d’or, est réellement terrifiant à l’église. » Louis Bilodeau – L’Avant Scène Opéra

« La basse Patrick Bolleire est d’une redoutable efficacité en Méphistophélès, avec une voix souple, ronde et puissante. » Emmanuel Bernier – Le Soleil

 

Die Entführung aus dem Serail – Osmin

Opéra de Marseille, 2022

« Patrick Bolleire révèle en Osmin toute la profondeur de ses graves […]. » Laurent Bury – Wanderersite

« [Osmin] trouve en Patrick Bolleire une basse capable d’assumer les graves abyssaux du rôle, tout en jouant de la morgue et de la bonhommie mêlées du gardien-contrôleur, avec des accents particulièrement bien joués. Il va jusqu’à vocaliser avec élégance dans « Ach, wie will ich triumphieren », marquant les esprits à chaque intervention, grâce à une remarquable présence scénique, malgré un rôle dont les contours sont mal définis par la mise en scène : quel tour de force ! » Philippe Manoli – Concertonet

« Obstiné aussi l’Osmin de Patrick Bolleire mais obtus et brutal dans une voix de basse profonde pour des colères qui n’impressionnent personne. Très en place vocalement et scéniquement. » Jocelyne de Nicola – GbOpera

« Parfait pour Osmin, la profonde voix de basse de Patrick Bolleire sonde les notes caverneuses de son personnage avec aplomb et sûreté. » Cyril Mazin – Opéra Magazine

 

Roméo et Juliette (Berlioz) – Frère Laurent

Opéra Comique, 2021

« Le timbre chaleureux de Patrick Bolleire et son registre grave sonore lui permettent de camper un Frère Laurent bienveillant et paternel. » Christian Peter – Forum Opéra

«  Le Frère Laurent de Patrick Bolleire apparaît imposant, tant par sa taille immense et théâtrale, contrastant avec la fragilité de Juliette par exemple, que par la noirceur inhérente à son timbre qui apporte au personnage quelque chose tirant à la fois vers le réconfort et la fatalité, propice au drame. » GMA – Olyrix

« Patrick Bolleire a la profondeur et la noblesse tutélaire de Frère Laurent. » Didier Van Moere – Diapason Mag

« La basse Patrick Bolleire en frère Laurent éminemment théâtral. » Denis Sanglard – Un Fauteuil pour l’Orchestre

Orchestre national du Capitole de Toulouse, 2016

«  La voix [de Patrick Bolleire] est franche d’émission et la diction suffisamment précise pour en imposer et obtenir ce fabuleux serment de paix. » Hubert Stoecklin – Classique News

« Enfin, les déploiements sonores de la dernière scène sont admirablement ponctués par la belle voix de basse de Patrick Bolleire qui incarne un Père Laurent plein d’autorité et de juste indignation. L’écriture si hardie, si originale par ses modulations inattendues, du grand Berlioz, reçoit ici une lecture à la fois fidèle et passionnée. » Serge Chauzy – ClassicToulouse

 

Guillaume Tell

– Walter Furst

Opéra de Marseille, 2021

« Walter Furst est, comme à Lyon également, campé par Patrick Bolleire et sa voix sombre et tonnante, jusque dans des aigus renversants. » Damien Dutilleul – Olyrix

« Patrick Bolleire confère à Walter sa présence imposante et le poids vocal qui en fait un partenaire à part entière dans le trio du deuxième acte. » Maurice Salles – Forum Opéra

« Camille Tresmontant (Rodolphe) et Patrick Bolleire (Walter) forment avec Enea Scala un trio patriotique de haute volée. » Patrick Di Maria – La Marseillaise 

Opéra de Lyon, 2019

“Les trois basses, Melcthal, Gessler et Walter sont irréprochables. Tomislav Lavoie, résolu, Jean Teitgen, impérieux, Patrick Bolleire, sombre, forment une brochette aussi exemplaire que caractérisée.” Yvan Beuvard – Forum Opéra

Patrick Bolleire, affublé d’une crinière adolescente, chante Walter Furst d’une voix solide et épanouie, avec une diction percussive.” Damien Dutilleul – Ôlyrix

– Melcthal

Opéra de Monte Carlo, 2015

« Patrick Bolleire affiche une autorité paternelle autant que de circonstance en Melchthal. » Gilles Charlassier – ConcertoNet

« Patrick Bolleire dans le rôle de Melchthal, père d’Arnold, à la fois plein de sagesse et de retenue » Anne-Laure Faubert – Bachtrack

De Nederlandse Opera, 2013

« The ill-fated Melchtal was well served by Patrick Bolleire, who made the most of his stage time offering a powerful, controlled, characterful performance. » James Sohre – Opera Today

« Una menzione per il carismatico Melchtal di Patrick Bolleire » Edoardo Saccenti – OperaClick

 

Don Carlos – Le Moine

Opéra royal de Wallonie, Liège, 2020

« Avec son timbre impressionnant, il est incontestable que le moine incarné par Patrick Bolleire joue dans la cour des grands. Nous souhaiterions désormais l’entendre dans des personnages de premier plan. » Paul Fourier – Toute La Culture

« Est-il si fréquent de disposer d’un Moine (Patrick Bolleire) dont l’ascendance royale ne fait pas de doute ? » Christophe Rizoud – Forum Opéra

« Patrick Bolleire impressionne en tant qu’autoritaire Moine/Charles Quint » Patrice Lieberman – Bachtrack

« le Moine de Patrick Bolleire mérite tous les éloges. » Michel Le Naour – Concert Classic

 

 

 

Don Giovanni – Le Commandeur

Opéra national du Rhin, 2019

« Patrick Bolleire est un Commandeur tonnant, au timbre clair et au legato bien construit » Damien Dutilleul – Ôlyrix

Opéra de Rouen Normandie & Opéra Royal de Versailles, 2016

« Patrick Bolleire, une basse aux belles sonorités profondes » Albina Belabiod – Opera Online

« Enfin, dans le rôle du Commandeur, on apprécie la voix impressionnante de la jeune basse  Patrick Bolleire. » Brigitte Cormier – Forum Opéra

« Solide Commandeur de Patrice Bolleire » Didier Van Moere – ResMusica

« Patrick Bolleire est imposant dans ce rôle par sa voix de basse noble et par sa grande stature. » Victoria Okada – Resmusica

« Sonore Commandeur de Patrick Bolleire » Jean-Luc Macia – Opéra Magazine

 

Rigoletto – Sparafucile

Opéra de Massy, 2019

« Quant à Patrick Bolleire, il a campé un Sparafucile sans foi ni loi. Son timbre sombre, sa technique sûre et son interprétation efficace (tant musicalement que scéniquement) lui ont permis de contribuer à la réussite des ensembles du dernier acte : son trio avec Gilda et Maddalena, mais aussi son quatuor avec Rigoletto, le Duc et Gilda. » Anne Heijboer – Forum Opéra

 

Robert le Diable – Alberti

Théâtre royal de la Monnaie, 2019

« Patrick Bolleire dans le rôle d’Alberti se mêle aux chœurs en maître des foules. Sa voix de basse, profonde et ornementée se chante avec une très belle liberté, un détachement élégant et un dessin précis. » Soline Heurtebise – Ôlyrix

« Des seconds rôles bien tenus, du Raimbaut souple et plein de fraicheur de Julien Dran au Alberti claironnant de Patrick Bolleire (un nom à retenir) » Dominique Joucken – Forum Opéra

« Heureusement, le spectateur peut compter sur la très belle qualité du plateau, jusque dans les rôles de Raimbaut – le solaire ténor français Julien Dran – et d’Alberti – la solide basse belge Patrick Bolleire. »  Thierry Guyenne – Anaclase

 

Les Huguenots – Thoré / Maurevert

Opéra national de Paris, 2018

« Patrick Bolleire est un fier chevalier goguenard en Thoré mais un sinistre traître en Maurevert. Sa voix large et sombre s’appuie sur un beau souffle et un ancrage profond. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Cyrille Dubois, François Rougier, Philippe Do ou Patrick Bolleire méritent évidemment mieux, en regard de leur talent, mais il n’y a pas de personnage mineur dans Les Huguenots : il fait le meilleur, jusqu’au plus modeste conspirateur ! » Richard Martet – Opéra Magazine

 

Le Comte Ory – Le Gouverneur

Opéra Comique, 2017

« Patrick Bolleire est un fier Gouverneur, colosse à la voix profonde et vibrante, claire et homogène en timbre jusque dans les tréfonds de la tessiture » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Toujours irrésistibles, et toujours précis, Jean-Sébastien Bou et Patrick Boleire son impayables en Gouverneur et en Raimbaud » Revopéra

« Le Gouverneur de Patrick Bolleire présente une superbe assise et renforce sa présence dès le premier air, parfaitement tenu sur l’ensemble du spectre » Vincent Guillemin – Altamusica

« Autour, on va de sommet en sommet : (…) Patrick Bolleire raffinant les teintes de son Gouverneur »  Chantal Cazaux – L’Avant-Scène Opéra

« Quant au truculent rôle du Gouverneur, Patrick Bolleire cabotine avec grand style. » Laurent Vilarem – Opera Online

Opéra national de Lyon, 2014

« Ajoutons tout le bien qu’on pense de la prestation du Gouverneur, Patrick Bolleire, tirant un très bon parti de sa grande carcasse et de ses graves ténébreux dans l’air « Veiller sans cesse », mais aussi sous sa coiffe de religieuse dans le deuxième acte » Fabrice Malkani – Forum Opéra

« La basse belge Patrick Bolleire, Gouverneur au beau legato et au style parfait, confirme également l’impression positive laissé en début de saison dans De la Maison des morts de Janacek, à l’Opéra national du Rhin. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

 

Lucia di Lammermoor – Raimondo

Opéra de Lausanne

« On oubliera, en revanche l’Enrico mal dégrossi d’Àngel Òdena, qui éructe ses notes, pour se rappeler le Raimondo de Patrick Bolleire, aussi noble par le timbre que par le chant. » Didier Van Moere – Diapason

« De son côté, la basse belge Patrick Bolleire apporte à Raimondo une voix pleine et sonore » Emmanuel Andrieu– Opera Online

« Ihm zur Seite steht der Geistliche Raimondo, Lucias «Beschützer», den Patrick Bolleire mit bald schmeichelnden, bald drohenden Tönen eindrucksvoll verkörpert. » Thomas Schacher – Neue Zürcher Zeitung

 

Anna Bolena – Lord Rochefort

Opéra Grand Avignon, 2017

« Patrick Bolleire incarne le noble Rochefort, doté de graves vibrants » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Sur scène, deux belles surprises nous attendent et sautent aux oreilles, ce sont les prestations de deux Français, dans des seconds rôles. Il s’agit de Patrick Bolleire, Rochefort d’une réelle autorité vocale, émission d’une parfaite rondeur, timbre de basse aux harmoniques superbes, projection luxueuse pour cet emploi » Robert Pénavayre – ClassicToulouse

 

Hamlet – Le Spectre

Opéra de Marseille, 2016

« Patrick Bolleire n’a nul besoin de sonorisation pour rendre le Spectre du feu roi impressionnant » Catherine Scholler – Opéra Magazine

« C’est Patrick Bolleire qui est, comme en 2010, ce Spectre qui fait résonner sa voix sépulcrale de basse » Jocelyne De Nicola – GBOpera

« au dernier acte on entend la voix profonde de Patrick Bolleire » Maurice Salles – Forum Opéra

« Le spectre de Patrick Bolleire est une merveille de dramatisme et de noirceur. » Sébastien Herbecq – Bachtrack

« Le spectre de Patrick Bolleire possède toute l’autorité nécessaire pour être crédible. » Patrick Di Maria – La Marseillaise

Opéra Grand Avignon, 2015

« Patrick Bolleire concentre l’autorité nécessaire au Spectre du souverain défunt, habilement mis en perspective acoustique, tandis qu’un double acrobate évolue à la perpendiculaire du plateau: venue des cintres célestes, l’apparition n’en devient que plus écrasante aux vivants. » Gilles Charlassier – ConcertoNet

« Le Spectre, chanté avec autorité par Patrick Bolleire. » Patrice Malkani – Forum Opéra

« Planant et pesant sur eux comme l’épée de Damoclès du  remords, Patrick Bolleire, immense, a la voix froide et sépulcrale du Spectre déjà apprécié à Marseille. » Benito Pelegrin – Classique News

« Patrick Bolleire en spectre abyssal […] [complète] avec bonheur le casting. » Michel Le Naour – ConcertClassic

« Patrick Bolleire, un Spectre plein de profondeur » Catherine Scholler – Opéra Magazine

Opéra de Marseille, 2010

« La dernière apparition du Spectre permet d’apprécier en direct la voix ferme de Patrick Bolleire » Maurice Salles – Forum Opéra

 

Olympie (Spontini) – L’Hiérophante

Théâtre des Champs-Elysées, 2016

« Chez les hommes, on apprécie l’autorité de Patrick Bolleire en grand-prêtre. » Laurent Bury – Forum Opéra

 

 

Zelmira (Rossini) – Leucippo

Opéra de Marseille, 2015

« Patrick Bolleire est un Leucippo de belle tenue, à la voix ample et sonore. » Fabrice Malkani – Forum Opéra

« La basse belge Patrick Bolleire, dans le rôle de Leucippo (confident d’Antenore) gratifie l’auditoire de son impressionnant registre grave.  » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« On est très agréablement surpris par le Leucippo de Patrick Bolleire, grave sonore, diction impeccable, belle présence, voix posée et d’une très grande qualité. » Le blog du Wanderer – Le Monde

« Patrick Bolleire, qui campe l’adjuvant machiavélique du lieutenant de Mytilène, devient grâce à sa basse aussi belle qu’imposante un outil clé du complot ourdi contre la famille princière de Lesbos. » Beate Langenbruch – Bachtrack

« Patrick Bolleire est une sonore Leucippo » François Jestin – Opéra Magazine

 

La Jacquerie (Lalo) – Le Sénéchal

Festival de Radio France Montpellier, 2015

« Le Sénéchal de Patrick Bolleire, sonoreet bien timbré, particulièrement intelligible, est pleinement convaincant. » Yvan Beuvard – Forum Opéra

« Les belles prestations de Patrick Bolleire (Le Sénéchal) et d’Enguerrand de Hys (Le baron de Savigny) achèvent de faire de cette Jacquerie monpelliéraine une pleine réussite. » Alain Cochard – ConcertClassic

« Le Sénéchal de Patrick Bolleire justement puissant et menaçant. » Sebastien Herbecq – Bachtrack

« Patrick Bolleire n’appelle que des éloges. » Pierre Cadars – Opéra Magazine

 

Semiramide – Oroe

Opéra de Lyon & Théâtre des Champs-Elysées, 2014

« Oroès, joué avec majesté et noblesse par Patrick Bolleire. » Beate Langenbruch – Bachtrack

« Patrick Bolleire en Oroe, impressionnant dans le deuxième acte » Fabrice Malkani – Forum Opéra

 

Manon – Comte des Grieux

Opéra de Lausanne, 2014

« De son côté, Patrick Bolleire est impressionnant d’autorité vocale » Jacques Schmitt – ResMusica

« Patrick Bolleire, très digne et imposant Comte des Grieux » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Patrick Bolleire a naturellement l’autorité péremptoire du Comte des Grieux » Pierre-André Demierre – Crescendo Magazine

« [Ils] s’expriment, en plus, dans un français aussi intelligible que riche de sens, à l’instar de leurs partenaires, d’où l’on distinguera l’impressionnant Comte de Patrick Bolleire. » Richard Martet – Opéra Magazine

 

De la maison des morts – Le Commandant

Opéra national du Rhin, 2014

« La basse profonde de Patrick Bolleire, sa haute taille et son assurance en font un commandant particulièrement impressionnant de sadisme et de compromission. » Elisabeth Bouillon – Forum Opéra

« Au sein d’un monolithique et impressionnant « bloc humain », il faut toutefois noter (…) la caractérisation de Patrick Bolleire en commandant du camp, ivre et sadique. » Michel Le Naour – ConcertClassic

 

Roméo et Juliette – Frère Laurent

Opéra royal de Wallonie, 2013

« Frère Laurent a la voix caverneuse de Patrick Bolleire, aux graves superbes et pleins de bonté. Et quel sens de la ligne vocale ! » Bruno Peeters – Crescendo Magazine

« Fort applaudi également par le généreux public liégeois, Patrick Bolleire campe un père Laurent plein d’une grave humanité » Claude Jottrand – Forum Opéra

« Frère Laurent de Patrick Bolleire à l’humanité communicative. » Michel Le Naour – ConcertClassic

« Le Frère Laurent de Patrick Bolleire en impose dans son incarnation sobre et subtile, annonçant Arkel » RTBF.be

« Avec l’excellent Patrick Bolleire, Frère Laurent trouve la vraie voix de basse et la parfaite diction que requièrent l’invocation « Dieu, qui fis l’homme à ton image » et la description des effets produits par le philtre. Son personnage, bienveillant et mystérieux échappe à la convention. » Patrice Henriot – Opéra Magazine

 

Fidelio – Rocco

Opéra de Rouen, 2013

« Patrick Bolleire incarne un Rocco pétri d’humanisme » Jean-Luc Macia – Opéra Magazine

« La basse belge Patrick Bolleire possède la voix idéale pour chanter Rocco sans faillir » Brigitte Cormier – Forum Opéra

« le Rocco de Patrick Bolleire va se bonifiant, livrant bientôt un chant ferme qui sied idéalement au personnage. » Bertrand Bolognesi – Anaclase

 

Une flûte enchantée – Sarastro

Théâtre des Bouffes du Nord, 2011

« Des voix saines, justes, joliment timbrées, des phrasés expressifs : on peut, dans l’avenir, attendre beaucoup de Patrick Bolleire. » Michel Parouty – Opéra Magazine

« Incarnant le grand prêtre et symbole de l’Humanité Sarastro, la basse française Patrick Bolleire offre une performance vocale d’exception. Ses graves sont d’une profondeur impressionnante et ses phrasés expriment tantôt fort bien la tendresse à l’endroit de la Pamina qu’il prend sous son aile protectrice et la complicité avec Tamino. » Daniel Turp

« Patrick Bolleire, impérial Sarastro, assure joliment ses basses. » Philippe Chevilley – Les Echos

« The belgian bass Patrick Bolleire is an impressive Sarastro. » Opera Canada

« Patrick Bolleire is astonishingly tall—which feels reassuringly right for his firm, solid lower bass register. » Paul Levy – The Wall Street Journal

« Un Sarastro immense et vaste comme la gravité profonde de sa voix. » La Croix

« Patrick Bolleire incarne Sarastro, le sage avec la dose de calme et de solidité qui donne foi en l’homme, ce « mensch » autour duquel tourne toute la féerie humaniste de Mozart. » Caroline Alexander – WebThéâtre

« Quant au Sarastro de Patrick Bolleire, il possède une simplicité et une tendresse qui font mouche » Carlos Tinoco – ClassiqueInfo



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