Lionel Lhote – Press review

Henry VIII – Title part

Théâtre royal de la Monnaie, 2023

« Lionel Lhote incarne le roi Henry VIII avec une force autoritaire, puissante mais aussi pudique dans la fragilité et la solitude, que sa voix lente et profonde vient cerner, complexe. Tenu en retrait avec une certaine pudeur, le chanteur figure un personnage tiraillé entre esprit et passion, servi par une voix liant les registres. Le public ovationne son élégance de jeu, qui acquiert à la cause du personnage. » Soline HeurtebiseÔlyrix

« C’est un triomphe total pour le baryton-basse belge Lionel Lhote, Henry VIII flamboyant et ravageur, splendide tant par l’homogénéité du timbre sur toute la tessiture que par une conduite vocale d’une incroyable ductilité, outre une implication physique quasi surhumaine, au vu de son écrasante prestation scénique d’une autorité vraiment menaçante, d’un cynisme ravageur et inflexible, même si point aussi avant l’entracte, une sentimentalité réfrénée. » Bénédicte Hévry – ResMusica

« La distribution vocale est […] dominée par la prestation magistrale de Lionel Lhote dans le rôle-titre. Voix souveraine […], présence scénique exceptionnelle, il s’impose à chaque instant et trouve ici un emploi qui lui sied parfaitement. Cet excellent baryton belge, remarqué déjà en 2004 lors de sa participation au Concours Reine Elisabeth de chant, a atteint la pleine maturité vocale qui lui permet d’aborder aujourd’hui les grands rôles, et il est bien heureux qu’il trouve dans son propre pays des opportunités à la hauteur de ses moyens. » Claude Jottrand – Forum Opéra

« La distribution mérite les plus vifs éloges, à commencer avec le superbe Henry VIII de Lionel Lhote. Le baryton belge chante superbement et excelle à rendre l’ambition, la vanité, la duplicité, la sexualité débordante et le manque total de scrupules de ce très antipathique personnage. » Patrice Lieberman – Bachtrack

« Outre une excellente galaxie de petits rôles, triomphe surtout, sous la couronne d’Henry VIII, un Lionel Lhote époustouflant – par l’endurance, la noble sculpture des mots, la plasticité d’un chant dont les demi-teintes épousent toutes les variations du sentiment, la beauté d’un timbre » Emmanuel Dupuy – Diapason Mag

« Quant à Lionel Lhote, il trouve en Henry VIII un rôle à la mesure de son très grand talent : noblesse et clarté de la déclamation, qualité d’un timbre gardant son velouté sur toute la tessiture, interprétation sensible et nuancée, convaincant dans la noirceur, la violence comme dans l’introspection, le chanteur belge apparaît ici comme le très digne héritier des barytons francophones qui, d’Ernest Blanc à Robert Massard (pour ne citer qu’eux), ont fait les beaux jours du chant français au XXe siècle. » Stéphane Lelièvre – Première Loge Opéra

« Le baryton Lionel Lhote incarne parfaitement un tyran sans merci aux redoutables sautes d’humeur, paradant sur un vrai cheval noir moussant dans son mors, ou jouissant du supplice imposé à l’un de ses favoris » Valérie Colin – L’Echo

« Le superbe baryton-basse belge Lionel Lhote est un Henry VIII ardent et cruel, à la fois despotique et désarmé par la passion pour celle qu’il aime. Sa présence scénique et sa voix, intense et expressive sur toute la tessiture, sont épatantes.  Il est aussi impressionnant en homme amoureux, déployant sa sentimentalité sans retenue aucune dans “Qui commande quand il aime ?”, qu’en souverain tyrannique, toxique et manipulateur. » Hannah Starman – Toute La Culture

« Dans le rôle-titre, à seigneur tout honneur puisqu’il est non seulement la pierre angulaire du spectacle mais aussi le chanteur qui domine les débats et rallie tous les suffrages, le baryton wallon Lionel Lhote est un Henry VIII de rêve, cochant toutes les cases que nécessite sa partie (les mêmes que réclament Posa dans Don Carlos de Verdi auquel l’ouvrage offre nombre de troublantes similitudes)  : noblesse d’accent, beauté et mordant du timbre, autorité, puissance vocale, des qualités doublées d’une magistrale présence scénique. » Emmanuel Andrieu – Classique News

 

Hamlet – Title part

Opéra royal de Wallonie-Liège, 2023

« Grand habitué de cette scène, Lionel Lhote creuse et dessine le rôle-titre en humanité et profondeur. Dans ce monde de mocassins, il marche en basket avec le naturel désarmant de son allure, comme de sa voix maîtrisée sans effort apparent. Jamais poussée, toujours sur le filin de la justesse émotionnelle et vocale, la voix reste tenue, humble parfois, vibrant avec une élégance raffinée même pour basculer dans la tragique raucité, retenue encore et puissante toujours. » Soline Heurtebise – Ôlyrix

« On se doutait que le rôle d’Hamlet conviendrait à Lionel Lhote, la voix du baryton hennuyer étant connue pour posséder un ambitus impressionnant (Hamlet, rôle conçu pour un ténor avant d’être adapté pour un baryton, a gardé des pages initialement écrites pour ce ténor, aux aigus très ardus). Cependant le rôle est écrasant, Hamlet étant en scène la plupart du temps, et demande un investissement dramatique phénoménal pour exprimer tous les méandres de la psychologie altérée du prince danois. Lionel Lhote réussit un tour de force, alliant panache et profondeur, éclat et introspection. Profitant de l’excellente acoustique de la salle liégeoise, Lionel Lhote chante la plupart du temps piano, ce qui lui laisse la possibilité de colorer son chant à l’envi, et d’exprimer les plus fines nuances psychologiques d’un personnage complexe entre tous. Il se permet même des sons parfois gutturaux (« Je n’ai pas le cœur d’une femme »), voire étouffés (« (« ô mon père » face au spectre) pour exprimer le désarroi du héros, mais la plupart du temps, il fait preuve d’une grande délicatesse (« de doux serments d’amour »), voire d‘une certaine langueur un rien suppliante (« verse l’ivresse et l’oubli dans nos chœurs ») de furieux éclats (le « verse l’ivresse » final, fortissimo puissant et tenu) ou de subtils pianissimi (« et s’endort dans ses bras »). Bien sûr le monologue « Être ou ne pas être » est un très grand moment, tenu sur un fil de voix, les « dormir » exprimant un soulagement émouvant, tout comme l’aria du cinquième acte « Comme une pâle fleur » où le smorzando sur « hélas » est d’une grande justesse, et le legato qui sous-tend l’aria est somptueux.
L’acteur tend la main à l’interprète, totalement impliqué : l’air absent ou le regard fou, selon les instants, parfois le pied léger, comme inconscient de ce qui se trame, parfois ivre de gaité, tournant sur lui-même comme un gamin, parfois prostré, aussi prenant dans sa posture de scène qu’impressionnant quand son visage est projeté, lui aussi tient son accomplissement, pour une prise de rôle : chapeau ! » Philippe Manoli – Toute La Culture

 

La Périchole – Don Pedro de Hinoyosa

Théâtre des Champs-Elysées, Opéra de Toulon, 2022 & Opéra de Dijon, 2023

« Lionel Lhote et Rodolphe Briand, respectivement Don Pedro de Hinoyosa sonore et bien ancré et le Comte Miguel de Panatellas léger mais sans nasalité, avec un chant mixte doux et agréable, apportent à leur duo comique un jeu vif et une complicité qui, bien qu’harmonieuse, fonctionnent parfaitement avec l’accumulation de gags qui leur sont attribués. » GMA – Ôlyrix

« Les seconds rôles : Chloé Briot, Alix Le Saux et Eléonore Pancrazi en pétillantes trois cousines, tout comme le duo de courtisans obséquieux (Rodolphe Briand et Lionel Lhote) ou encore les notaires intempérants (Mitesh Khatri et Jean-Philippe Fourcade) sans oublier Natalie Pérez en courtisane délurée et l’excellent Chœur de l’Opéra national de Bordeaux complètent avec bonheur cette distribution qui échappe à toute critique. » Patrice Imbaud – ResMusica

« Rodolphe Briand et Lionel Lhote campent deux sbires impeccables de drôlerie, en t-shirt et casquette, en smoking ou en uniforme de soldat. » François Laurent – Diapason Mag

« Just about every one of the cast deserves a name-check for great comic acting and enjoyable singing, but I’ll limit myself to Rodolphe Briand and Lionel Lhote as the viceroy’s flunkeys » David Karlin – Bachtrack

« Rodolphe Briand et Lionel Lhote rivalisent de rouerie dans leur emploi de courtisans obséquieux et serviles et déclenchent les rires à chacune de leurs apparitions. » Christian Peter – Forum Opéra

« les deux nobles péruviens (Lionel Lhote et Rodolphe Briand) vocalement solides » Jacques Bonnaure – Classica

« De leur côté, le duo Don Miguel / Don Pedro campé par Rodolphe Briand et Lionel Lhote fonctionne également, et ne sont pas en reste pour actionner les zygomatiques des spectateurs. » Emmanuel Andrieu – Classique News

« Deux pantins, hommes à tout faire du Vice-roi, changeant de costume comme retournant leur veste, sont respectivement Don Pedro de Hinoyosa (le baryton Lionel Lhote) et Don Miguel de Panatellas (le ténor Rodolphe Briand) sans démériter sur le plan vocal. Le second, débonnaire, a un timbre lumineux tandis que le premier, plus sec et nerveux, est plus sombre. Ils expriment un réel plaisir à interpréter leur rôle, sans démériter vocalement, usant de leur diction impeccable et de leur plasticité physique pour faire avancer énergétiquement l’action. » Florence Lethurgez – Ôlyrix

« Le duo de gentilshommes de cour formé par Lionel Lhote et Rodolphe Briand (Hinoyosa et Panatellas) mérite une mention toute particulière. Plus encore que dans l’immensité du TCE, leur duo de choc fait à Toulon des étincelles, tant dans l’élégance de leurs pas dansés que dans l’éclat de leur déclamation ouvragée (si difficile à maintenir au cours de tant de dialogues !) sans compter une incarnation particulièrement forte scéniquement et brillante vocalement, dans un équilibre parfait entre les deux personnalités, ténor et baryton, figures de gentilshommes benoites et pitoyables mais si humaines. Grâce à eux on sifflote les couplets-boléro («Les maris courbaient la tête») longtemps après la représentation. » Philippe Manoli – Toute La Culture

« Les talents de Rodolphe Briand et de Lionel Lhote se répondent parfaitement dans les rôles jumeaux de Don Miguel et Don Pedro, les deux sbires du vice-roi du Pérou. Courtisans velléitaires et serviles, les deux artistes ne craignent ni le ridicule des situations que leur impose le livret, ni les difficultés des airs et ensembles qu’Offenbach a composés pour eux et dans lesquels il s’agit à la fois d’être dramatiquement crédibles et musicalement justes. Habitué des rôles de caractère, Rodolphe Briand perpétue la tradition des chanteurs-acteurs que Jacques Offenbach appréciait tant tandis qu’on sent poindre sous le Don Pedro du baryton belge Lionel Lhote toute la noblesse d’un timbre aussi à l’aise dans le grand répertoire que dans les pochades de l’opéra bouffe. » Nicolas Le Clerre – Première Loge Opéra

« Avec sa voix charpentée et un sens comique affirmé, Lionel Lhote est un savoureux Don Pedro de Hinoyosa » Pierre Géraudie – Ôlyrix

 

Lakmé – Nilakantha

Opéra royal de Wallonie-Liège, 2022

« Lionel Lhote campe un Nilakantha de fière allure, avec un art du chant pleinement maîtrisé. Cette belle et large voix de baryton, quoiqu’un peu claire de timbre pour le personnage, donne toute sa juste dimension au rôle. » José Pons – Ôlyrix

« Ce qui surprend moins est le triomphe de Lionel Lhote en Nilakantha. Le baryton belge dispense à pleines mains son legato impérial, ses réserves de puissance et sa justesse jamais prise en défaut. Toutes des qualités qu’il avait déjà montrées lors de participation au Concours Reine Elisabeth de chant en 2004, et qu’il porte petit à petit vers des sommets. Il serait aisé d’évoquer un succeseur à José van Dam, mais ce chant est d’une nature foncièrement différente, plus physique, plus en lien avec les tripes de l’artiste. » Dominique Joucken – Forum Opéra

« Lionel Lhote est un Nilakantha stylé, au chant noble, capable de concilier tout à la fois la tendesse du personnage (superbe « Lakmé, ton doux regard se voile ») mais aussi sa rudesse et sa brutalité. » Stéphane Lelièvre – Première Loge Opéra

« De sorte que c’est le baryton-basse Lionel Lhote qui rallie tous les suffrages en Nilakantha racé, paternaliste et impérial. On ne peut que louer cette puissante et autoritaire voix d’airain au vibrato juste et pondéré, aux incroyables capacités expressives, passant du courroux le plus dévastateur à la tendresse la plus suave par exemple au fil du célébrissime « Lakmé ton doux regard se voile ». » Bénédict Hévry – ResMusica

« Lionel Lhote, lui, est souverain en Nilakhanta, dont il traduit parfaitement le caractère inquiétant mais sans jamais bousculer sa ligne de chant. » Laurent Bury – Concert Classic

 

Simon Boccanegra – Paolo Albiani

Opéra royal de Wallonie-Liège, 2022

« Habitué de la scène liégeoise, Lionel Lhote complète le trio de voix graves indispensables à l’interprétation de Simon Boccanegra. Du veule Paolo Albiani, le chanteur belge fait un personnage torturé, animé d’un violent désir de revanche sociale, qui annonce déjà la noirceur de Jago. Noirceur et violence se retrouvent ainsi dans le chant de Lionel Lhote, que ce soit dans le récit belcantiste « L’atra magione, vedete ? » ou les interventions plus brèves du dialogue entre Paolo et Pietro « Che rispose ? Rinuncia a ogni speranza » chantées devant le rideau fermé. L’artiste s’y révèle alors aussi bon tragédien que chanteur verdien. » Première Loge Opéra

« Le belge Lionel Lhote, grand habitué des planches de la maison personnifie Paolo Albiani d’une manière très personnelle, s’imposant avec une liberté naturelle à la mesure de sa voix généreuse, vive, précise et large. » Soline Heurtebise – Ôlyrix

« Le vipérin Lionel Lhote y est odieux de caractère mais intense de timbre et on se dit que le personnage de Iago n’attend que lui. » Vincent Borel – Concert Classic

« Lionel Lhote est une autre valeur sûre du chant verdien. Par la noirceur de son timbre, il incarne la parfaite félonie manipulatrice de Paolo Albiani, véritable prototype du futur rôle de Iago dans Otello, et par un jeu scénique à la hauteur de ses qualités vocales restitue à merveille un personnage fourbe calculateur et foncièrement antipathique, bien suivi en cela par son second, Pietro. » Bénédict Hévry – ResMusica

« Plus endurant et dominateur, le Paolo de Lionel Lhote n’a aucun mal à passer la rampe et rejoindre le panthéon des méchants. La palette d’affects est variée et puissante, passant en un tournemain de la perfidie douceâtre à l’aveu vitupérant. » David Verdier – Wanderer

« La prestation de Lionel Lhote n’encourt à ce titre aucun reproche : cet excellent baryton, aujourd’hui au sommet de sa maturité, incarne un Paolo Albiani de grande classe. » Sébastien Foucart – ConcertoNet

« tandis que Lionel Lhote campe un plébéien Paolo d’une méchanceté suggestive, revanchard jusqu’à la traitrise » Michel Le Naour – AltaMusica

 

Cendrillon (Massenet) – Pandolphe

Opéra National de Paris (Bastille), 2022

« Plus juste, la dépiction du père par Lionel Lhote en patriarche contrarié et inhibé, aux intuitions toujours contre-productives, tord habilement le cou aux représentations coutumières : la belle ligne vocale du baryton […] sait se faire tantôt poétique, tantôt comique. » Suzanne Lay-Canessa – Bachtrack

« Pandolphe du baryton belge Lionel Lhote, paterfamilias déchu, aussi sensible et veule que compatissant. » Marie-Aude Roux – Le Monde

« Lionel Lhote, toujours parfait, ne laisse son Pandolfe dominé que scéniquement par sa femme » Jean-Luc Clairet – ResMusica

« Lionel Lhote revient à Bastille en Pandolfe, six ans après sa dernière production dans ces lieux. Son timbre riche et mat […] nourrit une voix ferme aux aigus éclatants. Il est un père touchant, au vibrato brillant portant de belles lignes, douces et travaillées. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

Festival de Glyndebourne, 2019

« Lionel Lhote, as Pandolfe, sang the role of an oppressed passive-aggressive father exceptionally well. » Jennifer Pyron – Opera Wire

« Lionel Lhote est un Pandolfe jeune et très en voix, doté d’une diction superlative » Laurent Bury – Forum Opéra

« Belgian baritone Lionel Lhote as Pandolfe, Cinderella’s father, was another cast member who excelled, absolutely convincing dramatically and of fine, full voice. » Colin Clarke – Seen and Heard International

 

Werther – Albert

Opéra de Bordeaux, 2022

« Le Albert de Lionel Lhote est également de belle tenue. Amical, compréhensif, il tentera d’aider Werther à reporter son amour sur une autre, en vain. » Romaric Hubert – Première Loge Opéra

« Lionel Lhote, dépassant le cadre imparti par le metteur en scène pour son rôle, livre un Albert somme toute attachant et de fière allure. » José Pons – Ôlyrix

« Avec son phrasé élégant, Lionel Lhote incarne un Albert tout en noblesse. » Tristan Labouret – Bachtrack

« Lionel Lhote atteint comme son rival une forme de perfection en termes de présence, d’élégance et de prononciation » Christophe Rizoud – Forum Opéra

« L’Albert du baryton Lionel Lhote est également particulièrement bien dessiné et le style est irréprochable. » Steeve Boscardin –  ResMusica

« Lionel Lhote va sur le versant de la compassion, de la douceur et de la grandeur d’esprit pour le personnage d’Albert. » Thibault Vicq – Opera Online

« Lionel Lhote offre à Albert la ligne et l’ampleur d’une voix dense et contrastée » Didier Verdier – Wanderer

« Lionel Lhote endosse les (très seyants) habits d’Albert avec bonhomie et compassion, une voix claire et haute d’émission » Philippe Manoli – ConcertoNet

 

Lucia di Lammermoor – Enrico

Opéra de Bordeaux, 2020

« Lionel Lhote pour Enrico et Luca Dall’Amico pour Raimondo apportent leurs couleurs dans le bas-médium et le grave ainsi qu’un superbe chant. » Vincent Guillemin – ResMusica

« Énergique Enrico de Lionel Lhote, toujours irréprochable. » Serge Martin – Le Soir

« Coup de chapeau aussi à Lionel Lhote pour son Enrico noir et claquant à souhait – sa voix a gagné en métal » Nicolas Blanmont – La Libre

« Lionel Lhote est, vocalement et scéniquement, Enrico, ce frère pour qui seul importe le salut de sa lignée. » Stéphane Gilbart – Crescendo Magazine

« Récoltant aux saluts de très chaleureux applaudissements, lui aussi, Lionel Lhote livre, comme à son habitude, une prestation impeccable en Enrico, incarné avec une indéniable probité artistique. Doté d’une voix toujours aussi somptueuse, le baryton affiche, en particulier, une maitrise du phrasé et du legato remarquable. » Sébastien Foucart – ConcertoNet

 

Il Trovatore – Il Conte di Luna

Opéra de Rouen, 2021

« Lionel Lhote s’est pleinement approprié sa partie du Comte de Luna […] en chantant Verdi comme s’il le parlait, d’un soutien d’acier. » Charles Arden – Ôlyrix

« Lionel Lhote domine la distribution d’une courte tête, grâce à un phrasé exemplaire assis sur une solide technique. Ce chant propre permet un portrait contrasté du Comte entre tyrannie et fragilité. » Yannick Boussaert – Forum Opera

« Lionel Lhote tire facilement son épingle du jeu dans le rôle du Comte de Luna avec son baryton verdi typique. » Patrice Imbaud – ResMusica

« Lionel Lhote est un superbe Luna, qui cisèle ses interventions avec raffinement et qui campe avec morgue un magnat du Big Data » Laurent Bury – Concert Classic

 

Così fan tutte – Don Alfonso

Opéra royal de Wallonie-Liège, 2021

« Lionel Lhote est un Alfonso mordant et bien chantant, qui n’a pas besoin de jouer au vieux philosophe pour montrer qu’il est le maître du jeu. Un regard, un geste suffisent parfois amplement à caractériser son personnage, et le peu qu’il chante ne suffit pas à le mettre au rang de personnage secondaire. » Claire-Marie Caussin – Wanderer

« Lionel Lhote a l’expérience de Don Alfonso sans en avoir passé l’âge, il chante vraiment un rôle que d’autres se contentent de parler, et son timbre se distingue bien de celui de l’autre baryton de la distribution. » Laurent Bury – Concert Classic

 

La Traviata – Giorgio Germont

Opéra de Bordeaux, 2020

« Le baryton Lionel Lhote fait une prestation stupéfiante (longueur du souffle, variété des nuances, goût impeccable), et réussit le tour de force de hisser le personnage de Germont père au sommet où évoluent Alfredo et Violetta. » François Desbouvries – Première Loge Opéra

« Lionel Lhote campe un Germont autoritaire, voire féroce. La projection de la voix et la souplesse de la ligne de chant impressionnent : le baryton semble chanter ce rôle avec une aisance déconcertante. Cependant, et malgré des aigus brillants et généreux (le chanteur ose même un si bémol tenu à la fin de son échange avec Alfredo) l’interprétation du personnage est assez classique mais subtilement nuancée. » GMA – Ôlyrix

« Le Germont de Lionel Lhote se situe sur les mêmes hauteurs. Beauté du timbre, longueur du souffle, panel de nuances extrêmement varié (le second couplet de « Di Provenza il mare » est chanté presque intégralement piano !), tout y est. Par ailleurs, la grande humanité dont le timbre du chanteur est naturellement chargé confère au personnage un éclairage nouveau : Germont en devient presque touchant, et apparaît moins comme le « salaud » de l’histoire que comme une victime, lui aussi, des préjugés et du poids des conventions sociales qu’il semble défendre comme malgré lui. » Stéphane Lelièvre – Bachtrack

« Lionel Lhote est ici un très grand Giorgio Germont, à n’en pas douter. Avec son timbre superbement profond, son phrasé artiste, le chanteur belge parvient à doter son personnage d’une complexité rare. Impossible de le détester tout à fait. » Christine Ducq – La Revue du Spectacle

 

Don Carlos – Posa

Opéra royal de Wallonie-Liège, 2020

« Dès sa première apparition sur les planches, Lionel Lhote en Rodrigue impressionne par le volume de son baryton sombre. La voix saine est aussi stable dans les aigus puissants que dans les doux piani chantés falsetto. L’intonation sûre lui permet d’enchaîner des passages exigeants sans encombre, ainsi que de briller dans les duos et quatuors. Il se distingue également par une couleur et un phrasé veloutés, grâce au contrôle remarqué du souffle et un français soigné (en particulier sa douce supplication pour sauver son ami et prétendant au trône). Il est à la fois émouvant et fièrement vigoureux dans son ultime scène, offrant sa vie pour son amitié. » Vojin JaglicicÔlyrix

« En face de lui, le marquis de Posa de Lionel Lhote est le véritable triomphateur de cette production. Son baryton ferme, sa ligne de chant soignée, la clarté de sa diction, son talent d’acteur font très forte impression. » Patrice Lieberman – Bachtrack

« Toute première fois aussi pour Lionel Lhote dont le Posa se hisse d’emblée à des hauteurs enviables, non pour sa dimension théâtrale mais pour la clarté de l’articulation qui, en plus de rendre le texte compréhensible, impose à la phrase sa largeur déclamatoire caractéristique de la langue française ; pour son souci des nuances en dépit d’une partition dont l’ampleur invite à l’emphase ; pour son respect de l’écriture dans ses moindres notes sans céder à la tentation de la simplification ; pour l’aisance, l’impression de facilité qui nous permet d’enclencher en toute sérénité le pilotage automatique et, porté par la beauté du chant, de décoller. » Christophe Rizoud – Forum Opéra

« Don Carlos à l’Opéra de Liège: le sacre de Lionel Lhote […]
Lionel Lhote, magnifique, campe son premier Marquis de Posa avec une sûreté, une humanité qui a embrasé la salle à la première » Michèle Friche – Le Soir

« Lionel Lhote lui donne une exemplaire réplique en Rodrigue, marquis de Posa, pris dans l’étau cornélien du devoir face à l’indéfectible amitié : par son incarnation sans faille, avec une santé vocale impressionnante doublée d’une diction française hallucinante de précision, il confirme sa fibre verdienne et l’excellent souvenir de son Amonasro (dans Aïda) sur la même scène en mars dernier. » Bénédict Hévry – ResMusica

« Uni à la vie à la mort à Don Carlos, le Rodrigue de Lionel Lhote prend toute sa dimension au fur et à mesure du déroulement du spectacle avec une ligne de chant toujours égale et une diction idéale. » Michel Le Naour – Concert Classic

« Lionel Lhote, le grand style verdienPerdu, amoureux sans espoir de celle qui fut sa fiancée mais a dû (raison d’État) épouser le roi d’Espagne, Carlos se raccroche à l’amitié du marquis de Posa, le courageux et subtil Rodrigue. Confié à la voix de baryton, ce personnage qui allie hauteur de vue et intelligence de stratège, tendresse et dureté, trouve à Liège un interprète magnifique en la personne de Lionel Lhote. Dès que l’aigu de sa voix s’est chauffé et arrondi, l’artiste déploie tout son talent, noble et intense, rehaussé par une diction élégante et un legato caressant. Il domine le plateau vocal » Emmanuelle Giuliani – La Croix

« A ses côtés, le wallon Lionel Lhote triomphe dans son rôle de Rodrigo, à force de solidité dans la ligne et de conviction dans l’incarnation. » Florent Coudeyrat – Classique News

« Totalement en phase avec Carlos, Lionel Lhote est un Rodrigue stupéfiant. Assumant le rôle d’une voix solide, sans jamais faillir, il interprète un Marquis de Posa d’un bloc, volontaire, dévoué à Carlos, qui pousse et défend son ami sans arrière-pensée. La complémentarité de son timbre avec celui du ténor s’avère étonnante et leurs duos, qui les unissent « comme deux frères », atteignent des sommets. » Paul Fourier – Toute La Culture

 

Benvenuto Cellini – Fieramosca

European tour (La Côte Saint-André, Berlin, Proms Versailles), 2019

« Le baryton Lionel Lhote (Fieramosca) projette sa voix avec une très vigoureuse énergie, sans altérer la qualité du timbre ni de l’élocution » François Jestin – Bachtrack

« Fieramosca, l’infortuné, stupide, ridicule (Orphée en proie aux Bacchantes), est magistralement incarné par Lionel Lhote. L’émission est ample, épanouie, d’une grande sûreté, assortie d’une expression parfaite, tout comme son intelligibilité. Un grand chanteur qui se double d’un comédien investi. » Yvan Beuvard – Forum Opera

« Lionel Lhote s’amuse en Fieramosca, grimaçant, boudant, trébuchant, se gargarisant, maniant avec succès le comique de répétition, l’absurde et la farce. C’est en revanche avec un grand sérieux qu’il sculpte son interprétation musicale, avec précision, façonnant des volumes aussi bien dessinés dans le grave que dans de fougueux aigus. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Fieramosca interprété par Lionel Lhote représente aussi un caractère bouffon qui essaye à tout prix d’obtenir l’amour de Teresa (alors qu’elle aime Cellini). Il est très convaincu et souverain sur la scène, tant musicalement que dans l’action dramatique. D’autant qu’il demeure attentif aux glissements et éclats comiques dans sa voix de fausset, alors que son instrument résonne fort durant la scène « d’escrime » (« Je suis vainqueur ») chantée à pleins poumons. » Vojin JaglicicÔlyrix

« Lionel Lhote triomphe en Fieramosca : puissance, variété des couleurs, diction impeccable (rendant le texte intelligible jusque dans le difficile trio du premier acte !), caractérisation : tout y est. » Première Loge Opéra

« Lauriers pour le Fieramosca de Lionel Lhote, qui coule ses pathétiques manigances dans le métal argenté d’un baryton épris de legato. » Emmanuel Dupuy – Diapason Mag

« Le rival Fieramosca et artiste institutionnel (en opposition, puisque l’œuvre se veut un manifeste esthétique), bénéficie de la projection claire et de la prestation irrésistible de Lionel Lhote – l’un des grands triomphateurs de la soirée. » Pierre-René Serna – Concert Classic

« Fieramosca à l’éloquence charismatique du baryton Lionel Lhote » Emmanuelle Giuliani – La Croix

 

Aida – Amonasro

Opéra royal de Wallonie-Liège, 2019

« L’Amonasro de Lionel Lhote, somptueux et grandiose, est un autre point fort de la soirée. D’un timbre de baryton-basse de bronze et d’une incroyable santé vocale, d’une diction impeccable, très investi dans son duo avec Aïda au troisième acte, il campe un personnage paternel tout en nuances, tour à tour compatissant puis vindicatif et manipulateur. » Bénédict Hévry – ResMusica

« Lionel Lhote (Amonasro) ravit par ses intentions justes et sa voix ronde » Gaëlle Moury – Le Soir

« D’autres rôles nécessitent des moyens vocaux et une présence scénique tout aussi consistants. A ce jeu, c’est incontestablement Lionel Lhote (Amonasro) qui se taille la part du lion, en imposant dès son entrée en scène une technique sans faille et une autorité rayonnante. » Jacques Holbeux – Crescendo Magazine

« L’apparition de Lionel Lhote en Amonasro constitue un véritable soulagement : enfin un chant soigné et de grande école, auquel s’ajoute une composition juste et subtile du personnage. » Sébastien Foucart – Concerto Net

« Belgian baritone Lionel Lhote displays virile tone as Amonasro, with beautifully sensitive phrasing in “Ma tu, Re, tu signore possente” » Mark Pullinger – Bachtrack

 

Faust – Valentin

Opéra royal de Wallonie-Liège, 2019

« Les premières interventions de Lionel Lhote en Valentin sont entachées d’un vibrato excessif, mais il se maîtrise en quelques minutes. Le baryton fait ainsi valoir longueur de souffle, puissance et diction remarquées, ainsi qu’une projection claire et percutante. » Stéphane Lelièvre – Ôlyrix

« Lionel Lhote assume un Valentin d’excellente tenue » Gilles Charlassier – Toute La Culture

« Lionel Lhote se porte garant de la tradition du chant français : le Valentin de ce grand artiste se révèle juste et impeccable. » Sébastien Foucart – Concerto Net

 

 



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